J'ai lu Long week-end de Joyce Maynard.
Dans les années 80, pendant la période du Labor day, un évadé de prison se réfugie chez une femme plongée dans une torpeur dépressive et son fils adolescent. Ils vont cohabiter pendant quelques jours qui vont changer leur vie à tous les 3.
Malgré un postulat de départ un peu tiré par les cheveux, on se laisse embarquer dans cette histoire d'amour entre 2 écorchés de la vie vue à travers le regard du jeune garçon en plein tsunami hormonal. C'est sensible, touchant, étonamment pudique mais ça manquait de sensualité pour me faire définitivement chavirer.
Dans les années 80, pendant la période du Labor day, un évadé de prison se réfugie chez une femme plongée dans une torpeur dépressive et son fils adolescent. Ils vont cohabiter pendant quelques jours qui vont changer leur vie à tous les 3.
Malgré un postulat de départ un peu tiré par les cheveux, on se laisse embarquer dans cette histoire d'amour entre 2 écorchés de la vie vue à travers le regard du jeune garçon en plein tsunami hormonal. C'est sensible, touchant, étonamment pudique mais ça manquait de sensualité pour me faire définitivement chavirer.