@Nastja et bah, les flics/militaires interviendront. Ou alors les gens vont piger qu'on fait le nécessaire, ils vont prendre le rythme chez eux, parce qu'ils auront eu le temps de trouver des mécanisme d'occupation, et ils vont faire " oh bah c'est chiant, mais bon, faut ce qu'il faut, et en plus ca marche". Ou bien, ils vont se dégonfler.
Faut pas non plus se fixer sur les scénario catastrophes, au pire, il aura quelques péons qui vont aller jouer les hooligans parce qu'ils sont cons, mais ils vont se faire cueillir vite fait. La France est-elle si incapable de se tenir ?
En Italie, des médecins s'effondrent parce qu'ils doivent laisser mourir des gens. Si ca arrive en France, les gens vont se calmer. Parce qu'à la longue, l'espèce de fantasme de l'effondrement apocalyptique, la revolution contre les autorités, permis par une pandémie, faut arrêter. On y est pas. On reste chez nous, on protège les gens, on attend. La courbe va devenir survivable pour le système hospitalier, ce dernier va faire son travail, au pire, ca va tirer un peu, les gens auront qu'à aller faire leur marche-jogging une fois par jour avec le papier sur l'honneur, faire leurs courses, les coursiers-alimentaire-soins - juridiques continuent à travailler. La société fonctionne. Alors l'apocalypse, les péons qui se la joue madmax on est des rebelles nique le système , ils se feront latter , parce que ca ne sera pas un mouvement de foule. On est pas le pays 0 . On suit le mouvement. On fait pas les cons. On se répand pas dans les scénarios catastrophe. Ca fait BIEN CHIER, je l'entend. Mais l'apocalypse, c'est pas demain. Clairement pas. On a nos logis, electricité, eau, alimentations. Le seul ennemis, c'est l'ennuis, l'angoisse, et le reste. C'est pas les meilleurs, j'entend, très bien. Mais c'est pas l'apocalypse.