Se changer et changer sa vie !

[cam_z]

Coucou @alexia5656  
C'est vrai que c'est assez difficile à comprendre, et encore plus à mettre en pratique, mais je pense que tu as saisi l'idée : un désir amène inévitablement à une contrariété ; pour vivre le bonheur total, il faut réussir à se défaire de tout désir.
Personellement j'essaye d'adapter ce qui est dit dans le livre à ma vie au quotidien, et cette idée, je la mets en pratique en me disant "Apprends à ne rien espérer mais à surtout tout apprécier" (phrase vue dans un tumblr mais je en me souviens plus où :$ ). (d'ailleurs la phrase exacte était : "Happiness happens when we learn to expect nothing but appreciate everything").

Voilà, sans aller dans l'extrême de ne plus avoir aucun désirs, dans ma vie au quotidien j'essaye d'apprendre à les modérer pour m'épargner la décéption, l'insatisfaction. (genre je dis ça comme si c'était trop facile et évident aha.)

Toujours pas convaincue ?

 

[boomchikibam]

Coucou les Madz!

Après avoir lu toute cette vibe de motivation, j'ai réussi à prendre mon élan pour certains changements:

1.Être plus positive: j'ai tendance parfois à partir défaitiste quand ça me concerne, j'ai tendance à voir l'avenir négativement (quand je suis en forme et que tout me sourit j'arrive à voir les choses positivement, mais uniquement quand tout va bien).

2.Arrêter de procrastiner: je me couche le soir hyper motivée par ce que j'ai à faire le lendemain, je me lève dans la même motivation mais je sais pas ce qui se passe après, je n'arrive pas à me motiver pour bouger mes fesses. Temps que je n'ai pas le couteau sous la gorge, c'est-à-dire que ça devienne (hyper) urgent, je n'arrive pas à me motiver.

C'est peu mais je pense qu'il faut aller étape par étape, c'est plus facile à tenir les changements petit bout par petit bout.

 

[Leech]

Hahum, c'est vrai qu'ici c'est un peu plus désert qu'avant (mais un peu comme ailleurs sur le forum j'ai l'impression ...). Bon, allez, après un petit temps de pause je vais essayer de re-poster un plus plus fréquemment.

Alors déjà je vais commencer par dire que je me suis enfin attaquée au livre "Plaidoyer pour l'altruisme. La force de la bienveillance" de Matthieu Ricard. Bon, faut pas avoir peur de lire parce que le livre est absolument énooooorme . Mais alors, qu'est-ce qu'il est biiiiiiieeen :loveyes:. Je crois que je n'avais pas autant apprécié un livre dans le thème bouddhisme, développement toussa, depuis Les 8 marches vers le bonheur.

Chaque page est tellement intéressante, je me sens accrochée comme si je lisais un roman avec une histoire de fou . Pour l'instant je n'ai lu "que" 200 pages (sur plus de 770p c'est même pas la moitié quoi ) mais j'ai déjà appris tellement de choses. J'aime beaucoup le fait qu'il y est plein d'anecdotes et d'histoires vraies relatées. Bon sang, ce bouquin vous redonne foie en l'humanité (oui, j'étais vraiment comme ça en lisant les histoires de solidarité, de bienveillance dans des situations de catastrophes horribles). Toute la partie "L'altruisme véritable existe-t-il ?" est géniale. Ca démonte complètement l'idée tenace qui voudrait que l'être humain soit par nature égoïste. Ca fait vraiment du bien de lire ça.

Aussi, j'aime le fait qu'il y est mention d'études scientifiques venant appuyer les propos (c'est pas juste un moine bouddhiste qui vient balancer ses théories).

Sinon, ce qui m'a pas mal "travaillé" c'est la distinction qui est faite entre l'empathie et l'amour altruiste, la compassion. Bon, comme je suis assez nulle pour expliquer, je vais citer :

"[...] les chercheurs ont mené à bien plusieurs programmes de formation d'une semaine avec des sujets novices qui ont pratiqué des méditations sur l'amour altruiste et sur l'empathie. Cette étude préliminaire a déjà montré que, chez la plupart des gens, l'empathie ressentie face à la souffrance de l'autre est systématiquement corrélée avec des sentiments entièrement négatifs - douleur, détresse, inquiètude, découragement. La signature neuronale de l'empathie est similaire à celle des émotions négatives.

Tania Singer et ses collègues ont donc divisé une centaine de sujets en deux groupes. L'un méditait sur l'amour et la compassion, tandis que l'autre ne travaillait que sur l'empathie. Les premiers résultats montrent qu'à l'issue d'une semaine de méditations orientées vers l'amour altruiste et la compassion, des sujets novices perçoivent de manière beaucoup plus positive et bienveillante des extraits de vidéos montrant des personnes en souffrances. "Positive" ne signifie nullement ici que les observateurs considèrent la souffrance comme acceptable, mais qu'ils réagissent à celle-ci par des états mentaux constructifs, comme le courage, l'amour maternel, la détermination à trouver un moyen d'aider, et non des états mentaux "négatifs", qui engendrent plutôt la détresse, l'aversion, le découragement et l'évitement.

En revanche, lorsque les sujets consacrent une semaine à cultiver uniquement l'empathie et à entrer en résonance affective avec les souffrances des autres, ils continuent à associer l'empathie à des valeurs négatives et manifestent une perception accrue de leur souffrance, parfois au point de ne pouvoir contrôler leurs émotions et leurs larmes. Pour ces sujets, les affects négatifs augmentent à la vue des vidéos dépeignant des scènes de souffrance. Ce groupe de participants a également éprouvé plus de sentiments négatifs vis-à-vis des scènes habituelles de la vie quotidienne. [....] L'une des participantes a témoigné qu'en regardant les gens autour d'elle en prenant le tramway le matin, elle commençait à voir de la souffrance partout.

Conscient de ces effets potentiellement déstabilisant, Tania Singer et Olga Klimecki ont ajouté un entraînement à l'amour altruiste (une heure par jour) après la semaine consacrée à l'empathie. Elles ont alors observé que cet ajout contrebalançait les effets négatifs de l'entraînement à l'empathie : les affects négatifs retombaient à leur niveau de départ et les affects positifs augmentaient. "

En fait, ça m'a fait réfléchir dans le sens où je pense être parfois trop dans la pure empathie. Sauf que ce n'est pas quelque chose de bénéfique, c'est dur moralement à supporter. J'aimerais donc arriver à développer plus mon amour altruiste (ça tombe bien, c'est le thème du bouquin haha . Mais je suis pas encore arrivée à la partie qui parle de comment faire ça). C'est là que je me suis dis que finalement la méditation ça pourrait être vraiment quelque chose de pas mal à faire et qu'il faudrait que je me penche un peu plus sérieusement sur ça, comment m'y mettre.

J'ai vu que dans ma ville il y avait une asso qui proposait une séance de découverte, initiation gratuite à la méditation. Je pense que j'irai voir (de toute façon c'est gratuit hein). Puis je vais emprunter quelques bouquins à la médiathèque sur ça aussi.

Hum, et dernier truc, en tombant sur la chaîne du Fossoyeur de films j'ai regardé sa vidéo parlant de Cloud Atlas et je pense qu'il faudrait que je re-regarde le film. Avec du recul j'ai l'impression que ça aborde pas mal les thèmes du karma, de la réincarnation, toussa. Et en googlant je suis tombée sur un forum et notamment un topic qui recense des films à portée spirituelle. Je crois que je vais piocher dedans des idées de films à regarder prochainement .

 

[Canapé]

@Leech   Comme tu es très investie dans ce topic, je me demandais : Est-ce que tu ne penses pas que ce serait intéressant d'éditer la première page pour y indiquer quelques livres intéressants (notamment par "niveau" : ce qui est pas trop complexe et bien pour une première approche, etc.) ?

 

[morrigan]

J'en ai pas parlé ici, mais je dois le faire!
Par rapport a mon problème de jalousie en fait.. bah, visiblement, je me soigne plutôt bien!
Je vous copie/colle le message que j'ai mis sur le topic des amoureuses et des en couple!

"Je lui ai demandé si il m'avait pardonné de notre dispute de y'a deux mois et demi. (Qu'il avait failli me quitter parce que j'avais fais une énorme crise de jalousie, et que j'en faisais assez souvent d'ailleurs..). Il m'avait dit qu'il me pardonnerait mais plus tard, parce que là je l'avais blessé donc il était pas prêt. Donc j'avais promis de faire des efforts, etc.

Donc tout a l'heure je lui demande "Mais au fait… tu m'as pardonné..?". Il m'a regardé, surpris et m'a répondu "Bah, il semblerait que oui ". Je lui ai alors demandé si ça faisait longtemps, sa réponse: "Je sais pas trop, je pense depuis le début en fait. Mais j'attendais de voir tes efforts. En vrai, j'attendais une crise de jalousie mais… elle est jamais venue. Pourtant parfois je te provoquais un peu mais je crois que tu t'en rends compte parce qu'a chaque fois tu me faisais ton petit sourire et tu t'en fichais. Et euh… bah je suis fier de toi mon ange, et je t'aime fort beaucoup…".

Vous permettez que je pleure de joie..?   Il m'a pardonné, il est fier de moi, il m'aime fort beaucoup, et le pire, LE PIRE, c'est que je me suis moi-même rendue compte de mes efforts. Je suis toujours jalouse, mais je relativise et je lui fais énormément confiance alors, je sais que je crains rien. "


Serais-je donc guérie?

Maintenant, prochain projet : Arrêter mon état végétatif qui dure depuis 4 mois. Je dois me reconstruire une vie avant de devenir totalement dépressive.

 

[nathalienoo]

Premier message sur madmoiZelle, et je suis ravie d'avoir trouvé ce topic 

Ca fait du bien de vous lire toutes (j'ai quasiment lu les 18 pages de messages avant d'écrire !), je me sens tout d'un coup moins seule. Quand on voit les gens dans la rue on se dit, qu'on est seule à être angoissée; à se sentir différente, à réfléchir sur sa vie,...

Je vais essayer de ne pas trop vous étaler ma vie (je veux pas vous perdre en route ^^ ) mais je voulais vous partager quand même mon expérience personnelle.

Il ya de ça 4 ans et demi, pendant mes études, j'ai fais un burn-out, les profs nous mettaient une énorme pression et mon corps n'a pas suivi. Surtout qu'ils étaient plutôt du genre à aimer dire des choses méchantes, et à magouiller pour virer le plus d'élèves possible. Bref, à partir de ce moment là j'ai fais des crises d'angoisse quasiment quotidiennes. Depuis ce moment là, il y a des périodes où ça allait mieux mais aussi des périodes de rechutes. Jusqu'à janvier dernier où j'ai commencé à faire des crises de spasmophilie (donc coeur qui bat vite, tremblements, etc), je subissais mon quotidien. En plus niveau boulot, je m'étais engagée à travailler à mon compte et je me mettais une pression de dingue, donc ça n'aide pas.

En août dernier, je me suis dis qu'y en avait marre, j'ai décidé de consulter une psychothérapeute. Je me suis tatée un bon moment avant d'y aller. Parce que j'avais peur qu'elle ne puisse pas m'aider. Entre temps j'ai lu pas mal de bouquins aussi et qui m'ont permis d'apprendre qui j'étais réellement et vers quoi j'aspirais.

J'ai changé donc ma manière de penser et de vivre : moins de stress, moins de pression, moins de questionnements, une meilleure alimentation (je mange bio, local, quasiment plus de viande), je sors plus souvent, etc
La psychothérapeute m'apporte aussi beaucoup car elle me permet d'avoir une vision objective sur ce que je vis et ce que je ressens.

Donc mes conseils seraient :

-bien vous entourer et choisir les personnes à qui vous parlez de vos problèmes (car finalement dans mon cas beaucoup de gens ne me comprennent pas que ce soit dans ma famille ou dans mon cercle d'amis)

- Lire : je vous conseille Exercices de méridiens : depuis que je fais ses exercices, normalement quotidiennement (y'en a pour 15 minutes par jour si on fait les exercices de base) j'ai fais une crise en 7 mois ! Y'a des paragraphes à lire plusieurs fois pour bien comprendre, mais c'est ce genre de livre qui m'a sauvé la vie.
Sinon j'ai lu du Pierre Rabhi aussi, même si ce n'est pas directement lié au développement personnel, sa vision du monde nous permet aussi de relativiser. Et puis de se dire qu'en se battant on peut réussier à s'en sortir et à faire de belles choses Du Sahara aux Cévennes.

- Ecrire : ou dessiner dans un carnet, quand vous êtes mal surtout, ça permet de faire sortir les mauvaises choses.

- Faire du sport : parce que ça élimine les toxines
- Pleurer si besoin : parce que quand on pleure on élimine aussi des toxines !

- Se relaxer : avec exercices de sophrologie, ou avec de la musique relaxante. Accompagné d'huiles essentielles en diffusion (lavandin super, marjolaine à coquilles, petit grain bigaradier, ylang-ylang,...). Les huiles m'aident aussi beaucoup depuis quelques mois, elles font partie de mon quotidien. Et je me sens beaucoup mieux à prendre soin de mon corps avec des produits naturels plutôt que de me bourrer de médocs. Fuyez les médecins qui vous disent "on va vous prescrire des anxiolytiques". Y'a tellement plus sain. Sinon j'ai essayé aussi les fleurs de Bach. Pour résumer, vous prenez tous les jours quelques gouttes d'un mélange d'elixirs floraux que vous aurez choisi en répondant à des questions et en définissant quels sont vos "symptômes". Vous pouvez faire le test sinon pour aller plus dans les détails je pense qu'un bouquin avec les questionnaires c'est peut etre plus complet. (y'a plus le livre dont je me suis servie sur Amazon, donc je ne peux pas vous conseiller  )

Voilà, j'espère ne pas avoir été trop longue.. En tout cas ça fait vraiment du bien de vous lire ..

 

[Endless]

En ce moment, je lis un bouquin sur les angoisses en gros (Ces gens qui ont peur de tout, de Linda Sapadin). Je viens de terminer la première partie, c'est plutôt bien fait, j'ai appris quelques trucs sur mes styles de peurs. Ce sont des choses que je sais au fond de moi, mais ça fait du bien de les voir écrites! Et surtout, ça m'aide à mettre en lumière mes mécanismes inconscients... Chose sur laquelle je ne m'étais jamais réellement penchée!

Ce qui est intéressant c'est que jusque là je restais dans une position d'autoflagellation, je considérais que j'étais censée être capable de changer les choses en me forçant un peu, en poussant, en me "bottant les fesses". Forcément je n'y arrivais pas, et je me dévalorisais encore plus ("tu n'es même pas capable de faire ça, c'est honteux").

J'ai toujours su que la "méthode forte" ne marchait pas sur moi. Enfant, quand on me remontait les bretelles, je m'isolais encore plus, j'étais tellement dépitée que je n'avais plus goût à rien. Car je n'ai jamais eu le goût du challenge. Quand mes parents ou mes profs m'engueulaient pour mon bien, pour me motiver, ça ne faisait que me décourager un peu plus. Je suis le genre de personne qui aime être rassurée, on obtient de bien meilleurs résultats de moi en étant encourageant et rassurant. Il est facile de me casser.

Sauf que je me suis toujours appliquée cette "méthode forte", cette intransigeance, sans jamais me laisser de marge de manoeuvre ni le droit de douter (ou d'échouer!). Et forcément ça m'a entraînée dans cette spirale de dévalorisation, avec toutes les conséquences que ça peut avoir.

Aujourd'hui je me lâche la grappe. Je suis humaine. J'ai le droit d'échouer, de ne pas avoir envie de certaines choses, d'hésiter, d'essayer, et de faire des erreurs. Comme tout le monde. Tant que ça ne nuit pas à autrui, tout va bien. Je me sortirai de mes impasses, je veux apprendre à me faire confiance. A être une adulte construite, qui pourra vivre sans être constamment sur le qui-vive, sans être encore une enfant perdue au fond.

Je veux prendre soin de moi. Il faut aussi que j'arrête de considérer mon corps comme une poubelle, en lui balancant du tabac, de l'alcool, de la mauvaise nourriture. Mon corps est le sancturaire de mon âme, comment me sentir valable si je me néglige ainsi? J'espère pouvoir arrêter totalement l'alcool et la cigarette avec le temps, et devenir, à terme, vegan. J'ai déjà réussi à passer d'une alimentation junk-food à quelque chose d'à peu près sain (je cuisine beaucoup maintenant!), et j'aimerais beaucoup éliminer tout "produit" animal de mon alimentation. Le fait de me nourrir sur le malheur me pose beaucoup de soucis moraux, j'espère réussir à trouver la balance entre mes soucis de santé / mon éthique avec le temps !

 

[Mitchie]

En ce moment je me pose beaucoup de questions si je me heureseuse, épanouie dans ma vie, si je profite vraiment de celle ci.
Je me demande si les choix que je fais maintenant me permettront d'aller vers la vie auquelles j'aspire (bouger beaucoup voir le monde, vivre divers, créative) et pour l'instant j'ai l'impression que ce n'est pas le cas.
Je sais pas trop comment faire pour aller vers mes aspirations qui me semble pas toujours réalisable.
J'ai l'impression que soit j'ai envie de fuir, de tout changer en déméangeant, changeant de boulot, etudes en me disant que ça va s'arranger en ayant peur d'un retour de boomerang, soit rester parce qu'il faut continuer a progresser même si pour l'instant on se sent pas bien dans cette vie, environnement;
j'ai lu un livre "vivre l'instant présent" qui dit que c'est que nous faisons dans l'instant qui compte, que fuir n'est pas toujours une solution.
Le problème c'est que si je reste sur le présent j'ai peur de rater des choses.

 

[Pinceau_]

Je ne suis pas sûre que ce soit la sujet approprié mais c'est pas grave.

Je me rends compte que j'ai vraiment énormément de mal à communiquer (principalement avec mon copain) et ça me rend folle. Je suis incapable de lui dire ce que j'ai sur le coeur. J'ai toujours eu ce problème avec mes ex. Enfin quand il s'agit de dire des trucs positifs ça va, mais dès que j'ai un souci, un mal-être, je me ferme littéralement comme une huître, je n'arrive plus à sortir un traître mot. Pourtant ce n'est pas compliqué de dire que ça ne va pas, mais je n'y arrive pas. Et le problème c'est que ça le fait souffrir, j'en viens à mentir pour ne pas avoir à dire ce que j'ai vraiment sur le coeur. Lui essaie différentes techniques pour me faire parler, mais y'a rien à faire.  Je n'y arrive pas.

Si vous connaissez des articles ou sites sur le net qui peuvent m'aider (?), je suis preneuse... (jusque là je tombe que sur des forums et ça ne m'inspire pas des masses...)

 

[Leech]

@khalea

Tu dis "ce n'est pas compliqué de dire que ça ne va pas" pourtant je pense qu'au contraire que si, ça peut être compliqué de dire les choses. La communication ce n'est pas forcément quelque chose de siiii évident et simple. Surtout quand il s'agit de dire des choses pas ultra joyeuses, positives. Tu peux avoir peur de blesser l'autre personne, de la rendre triste, en colère, etc. Peut-être que c'est ça qui te bloque ? La crainte que tes paroles auront un impact, des conséquences négatives ?

Je ne sais pas si ça pourra t'aider mais peut-être que tu pourrais te pencher du côté de la communication non-violente ? Il y a notamment le livre "Les mots sont des fenêtres ou bien ce sont des murs" qui est un peu considéré comme "La Bible" en matière de livre sur la CNV. Mais je pense que tu as aussi moyen de trouver des articles sur le net parlant de tout ça.

 

[Pinceau_]

@khalea

Peut-être que c'est ça qui te bloque ? La crainte que tes paroles auront un impact, des conséquences négatives ?

Oui je pense que c'est ça, clairement. J'ai toujours peur de la réaction en face.
Bon aujourd'hui j'ai réussi à dire un truc, même si c'était un peu "entre deux portes" et donc que ça n'a pas eu l'impact que ça aurait pu/du, mais c'est déjà ça.

Je vais me renseigner sur la CNV, merci pour la piste

 

[Cottontail-]

Salut les cocottes 
Est ce qu'il y en a parmi vous qui suivent une thérapie? Je me dis que ça peut être bénéfique pour mieux se connaitre, mais est ce que c'est vraiment efficace/pertinent si on a pas de problèmes particuliers?