Bon. 
Je crois qu'il est temps que je fasse ce post sur mon boulot, qui me tracasse particulièrement. Je ne sais pas vraiment si tout a sa place ici (j'en mettrai donc une bonne partie en spoiler) mais c'est important pour moi de mettre tout ça par écrit, pour pouvoir le relire. Ca m'a beaucoup servi jusqu'ici
.
Je suis toujours sur la lancée de mon dernier post, à savoir essayer de profiter au mieux de ma vie, d'apprécier beaucoup plus mon quotidien et de suivre mes envies. Mais le constat est toujours le même, je suis en partie bouffée par le stress engendré par mon travail.
Forcément, au bout d'un moment, tout ça impacte la façon dont je me sens au quotidien, et je ne sais pas comment lutter contre tout ça, comment apprécier les choses malgré tout. Parce que vraiment, je trouve que globalement ma vie est vraiment très chouette, que j'ai fait beaucoup d'efforts pour ça et je voudrais pouvoir en profiter.
Je crois qu'il faudrait VRAIMENT que je fasse du sport régulièrement. Mon "problème", c'est que je suis parfois tellement fatiguée à la fin de mes journées que ça me parait inenvisageable de me bouger le cul, et mes week-ends sont souvent pris par le travail également. Je pourrais peut-être essayer d'en faire le matin avant le boulot, ou m'inscrire dans une salle de sport
(je crois que le fait de payer me pousserait à y aller plus souvent
)
Et je me suis aussi renseignée sur des salons de massage à Paris. Il y en a qui ont l'air chouette et pas trop cher, je crois que je vais tenter d'en faire régulièrement aussi parce que ça me fait toujours du bien
Le fait de voir mes amis, eux aussi en médecine, m'aide beaucoup. C'est toujours une bouffée d'air frais, parce qu'ils ont les mêmes difficultés que moi, les même inquiétudes, les mêmes satisfactions. Une sorte de psychothérapie de soutien
(HS mais je sais pas si vous avez déjà eu affaire à des étudiants en médecine ou des médecins, quand y en a plusieurs dans la même pièce ils se retrouvent toujours à discuter de médecine entre eux
). C'est difficile de trouver le temps de se voir plus d'une fois par semaine, pour eux comme pour moi, et souvent j'hésite à sortir parce que je me sens trop fatiguée, mais au final je trouve toujours que ça me fait du bien.
Pour conclure mon méga pavé, je refuse que mon boulot me pèse autant. Il faut que j'apprenne à compartimenter. Une fois que je suis chez moi, au delà d'un petit SAS de décompression de 15 à 30 minutes, je ne pense plus au travail et advienne que pourra. Si je me plante lors de la présentation de mes patients et que mes chefs me regardent comme ça
, tant pis. Si je ne fais pas quelque chose de parfait, tant pis aussi.
Je vais y arriver, je suis suffisamment solide pour, je le sais. Il faut juste que je trouve des moyens de me préserver au quotidien. Que je me concentre sur la grande, très grande satisfaction de pouvoir aider quelqu'un, de remplir des petits objectifs régulièrement, de me sentir progresser et de me sentir efficace.
Mon objectif c'est de passer un mois d'avril serein. J'ai plus envie d'être tellement fatiguée et stressée que le moindre effort devient une corvée. Et j'espère que je vais y arriver, ça me soulerait vraiment de retomber dans tout ça.
Voilà, fin du pavé

Je crois qu'il est temps que je fasse ce post sur mon boulot, qui me tracasse particulièrement. Je ne sais pas vraiment si tout a sa place ici (j'en mettrai donc une bonne partie en spoiler) mais c'est important pour moi de mettre tout ça par écrit, pour pouvoir le relire. Ca m'a beaucoup servi jusqu'ici
.Je suis toujours sur la lancée de mon dernier post, à savoir essayer de profiter au mieux de ma vie, d'apprécier beaucoup plus mon quotidien et de suivre mes envies. Mais le constat est toujours le même, je suis en partie bouffée par le stress engendré par mon travail.
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Forcément, au bout d'un moment, tout ça impacte la façon dont je me sens au quotidien, et je ne sais pas comment lutter contre tout ça, comment apprécier les choses malgré tout. Parce que vraiment, je trouve que globalement ma vie est vraiment très chouette, que j'ai fait beaucoup d'efforts pour ça et je voudrais pouvoir en profiter.
Je crois qu'il faudrait VRAIMENT que je fasse du sport régulièrement. Mon "problème", c'est que je suis parfois tellement fatiguée à la fin de mes journées que ça me parait inenvisageable de me bouger le cul, et mes week-ends sont souvent pris par le travail également. Je pourrais peut-être essayer d'en faire le matin avant le boulot, ou m'inscrire dans une salle de sport
(je crois que le fait de payer me pousserait à y aller plus souvent Et je me suis aussi renseignée sur des salons de massage à Paris. Il y en a qui ont l'air chouette et pas trop cher, je crois que je vais tenter d'en faire régulièrement aussi parce que ça me fait toujours du bien

Le fait de voir mes amis, eux aussi en médecine, m'aide beaucoup. C'est toujours une bouffée d'air frais, parce qu'ils ont les mêmes difficultés que moi, les même inquiétudes, les mêmes satisfactions. Une sorte de psychothérapie de soutien
(HS mais je sais pas si vous avez déjà eu affaire à des étudiants en médecine ou des médecins, quand y en a plusieurs dans la même pièce ils se retrouvent toujours à discuter de médecine entre eux
). C'est difficile de trouver le temps de se voir plus d'une fois par semaine, pour eux comme pour moi, et souvent j'hésite à sortir parce que je me sens trop fatiguée, mais au final je trouve toujours que ça me fait du bien.Pour conclure mon méga pavé, je refuse que mon boulot me pèse autant. Il faut que j'apprenne à compartimenter. Une fois que je suis chez moi, au delà d'un petit SAS de décompression de 15 à 30 minutes, je ne pense plus au travail et advienne que pourra. Si je me plante lors de la présentation de mes patients et que mes chefs me regardent comme ça
, tant pis. Si je ne fais pas quelque chose de parfait, tant pis aussi.Je vais y arriver, je suis suffisamment solide pour, je le sais. Il faut juste que je trouve des moyens de me préserver au quotidien. Que je me concentre sur la grande, très grande satisfaction de pouvoir aider quelqu'un, de remplir des petits objectifs régulièrement, de me sentir progresser et de me sentir efficace.
Mon objectif c'est de passer un mois d'avril serein. J'ai plus envie d'être tellement fatiguée et stressée que le moindre effort devient une corvée. Et j'espère que je vais y arriver, ça me soulerait vraiment de retomber dans tout ça.
Voilà, fin du pavé

Dernière édition :


) et ça m'occupe l'esprit. Et je chante aussi (
Du coup je suis allée regarder d’autres vidéos, je trouve qu’il sort parfois des trucs contradictoires mais globalement je vois où il veut en venir et je suis assez d’accord avec lui. De plus, le fait qu’à première vue en le voyant je me suis dit « ah mais c’est un gamin maigrichon 

je me suis rendue compte qu'avant je visualisais ma vie comme un itinéraire, un chemin, que je faisais seule. En ayant croisé la route du Ménestrel, c'est comme si j'avais quitté des yeux ce chemin, me laissant hypnotiser et suivant le sien avec lui. Et maintenant qu'il est loin, ailleurs, c'est comme si depuis un an je n'existais plus, j'avais disparu, je ne retrouvais plus mes traces. Je me concentrais sur sa vie,ses désirs, ses ambitions, les confondant avec les miens, ce qui forcément me rendait malade, puisque je n'y ai plus de place, que son amour pour quelqu'un d'autre me fait mal. Pardon pour la métaphore vaseuse mais c'est vraiment ce que je ressens, cette idée de chemin.
" ce qui forcément me faisait mal, puisque c'est fini pour toujours, ce temps-là, on ne peut pas le retrouver, il est forcément modifié. A présent je suis juste contente de retrouver mes potes de ma nouvelle ville
C'est fou, ça m'arrive vraiment à la toute fin de l'année, mais je pense que quand je le retrouverai, je serai une personne par moi-même, pas une fille qui vit des rêves qu'il m'injecte.
. Au final ça a été. J'ai quand même fait 2 malaises
). Finalement je me suis rendue compte qu'il y avait tous les styles à ce genre de soirée, que les gens étaient gentils, j'ai pas eu froid et c'était pas dégueu 