A
AnonymousUser
Guest
Petit message d'espoir à toutes celles qui galèrent (et qui sont nombreuses, il ne faut pas se croire comme un cas unique) :
J'ai eu mon permis il y a un an et demi déjà, après plus de 50 heures de leçons et 4 passages à l'examen. Etant d'un naturel excessivement peu confiant et ayant toujours eu plus ou moins peur de me voir au volant d'un bolide, les heures de conduite se sont révélées de purs calvaires. J'ai été tellement considérée comme nulle qu'après mon premier échec au permis le patron de l'auto-école a décidé de me prendre en charge, à grand renfort d'ironie et de bassesses.
"Tu te rends compte que tu n'y arriveras jamais ?"
"Je ne comprends même pas comment tu peux être en prépa et passer des concours aussi sélectifs."
"Je n'ai pas envie que tu finisses les pieds devant, alors applique toi."
"Je doute sincèrement de tes capacités mentales."
Acceptant mal ce genre de critiques, je me rendais aux leçons avec la nausée et en revenais le plus souvent en pleurs. A tellement redouter la chose, à tellement la visualiser comme insurmontable, je me suis persuadée que j'étais l'élève la plus nulle jamais créée.
Et puis finalement, je l'ai obtenu : avec difficultés certes, mais je me réconfortais toujours avec l'idée que mes manoeuvres et ma théorie étaient réussies. Si j'étais mauvaise d'un point de vue global, c'était uniquement parce que j'avais peur de la route et des autres.
Vous parviendrez à l'avoir vous toutes, l'important est que vous ne perdiez pas votre confiance en vous (oui, c'était le message Peace & Love du jour), et surtout pas à l'entente de conneries de ce genre...
J'ai eu mon permis il y a un an et demi déjà, après plus de 50 heures de leçons et 4 passages à l'examen. Etant d'un naturel excessivement peu confiant et ayant toujours eu plus ou moins peur de me voir au volant d'un bolide, les heures de conduite se sont révélées de purs calvaires. J'ai été tellement considérée comme nulle qu'après mon premier échec au permis le patron de l'auto-école a décidé de me prendre en charge, à grand renfort d'ironie et de bassesses.
"Tu te rends compte que tu n'y arriveras jamais ?"
"Je ne comprends même pas comment tu peux être en prépa et passer des concours aussi sélectifs."
"Je n'ai pas envie que tu finisses les pieds devant, alors applique toi."
"Je doute sincèrement de tes capacités mentales."
Acceptant mal ce genre de critiques, je me rendais aux leçons avec la nausée et en revenais le plus souvent en pleurs. A tellement redouter la chose, à tellement la visualiser comme insurmontable, je me suis persuadée que j'étais l'élève la plus nulle jamais créée.
Et puis finalement, je l'ai obtenu : avec difficultés certes, mais je me réconfortais toujours avec l'idée que mes manoeuvres et ma théorie étaient réussies. Si j'étais mauvaise d'un point de vue global, c'était uniquement parce que j'avais peur de la route et des autres.
Vous parviendrez à l'avoir vous toutes, l'important est que vous ne perdiez pas votre confiance en vous (oui, c'était le message Peace & Love du jour), et surtout pas à l'entente de conneries de ce genre...
