@Poacée Je réagis vite fait: Je suis tout à fait d'accord avec ce que tu dis, à cela près que mon ex ne me "menaçait" pas clairement de rompre à la moindre incartade, mais c'est ce qui est ressorti d'une grosse dispute fin octobre, où il annonçait clairement qu'il nous (enfin "me" plutôt) donnait une dernière chance. Du coup je l'ai beaucoup intériorisé et je le vivais comme ça. Il n'en a jamais reparlé, mais je voyais bien ses réactions, son manque de patience et d'entrain sur plein de choses.
Après comme tu le dis @Poacée pour lui c'était bon, il avait dit ce qu'il avait sur le coeur, et on pouvait passer à autre chose. Mais je crois qu'il n'a jamais pris consciente d'à quel point cette conversation et cette "presque rupture" m'a marquée, m'a bouleversée et m'a poussée à m'accrocher de la pire des façons qu'il soit, en me pliant à toutes ses exigences sans même m'en rendre compte. J'ai toujours été ébahie par ce talent qu'il avait pour "passer à autre chose" et considérer que "tout a été dit il n'y a pas à revenir dessus tout va bien la vie reprend son cours" (oulah je sens une pointe de colère envers lui en écrivant ça...)
Bref, tout ça pour dire que même si pour lui "tout va bien" parce qu'il a vulgairement "piqué sa crise" et que ça l'a "soulagé" et que maintenant "il est sûr de ce qu'il veut" que ça n'a pas de conséquences: c'est violent, c'est déstabilisant, et il doit t'aider à gérer le contrecoup et les insécurités éventuelles que ça peut engendrer
Après comme tu le dis @Poacée pour lui c'était bon, il avait dit ce qu'il avait sur le coeur, et on pouvait passer à autre chose. Mais je crois qu'il n'a jamais pris consciente d'à quel point cette conversation et cette "presque rupture" m'a marquée, m'a bouleversée et m'a poussée à m'accrocher de la pire des façons qu'il soit, en me pliant à toutes ses exigences sans même m'en rendre compte. J'ai toujours été ébahie par ce talent qu'il avait pour "passer à autre chose" et considérer que "tout a été dit il n'y a pas à revenir dessus tout va bien la vie reprend son cours" (oulah je sens une pointe de colère envers lui en écrivant ça...)
Bref, tout ça pour dire que même si pour lui "tout va bien" parce qu'il a vulgairement "piqué sa crise" et que ça l'a "soulagé" et que maintenant "il est sûr de ce qu'il veut" que ça n'a pas de conséquences: c'est violent, c'est déstabilisant, et il doit t'aider à gérer le contrecoup et les insécurités éventuelles que ça peut engendrer
qu'ils ont immédiatement regrettée et m'ont fait le même coup "tout va mieux dans ma tête, je veux rester avec toi, reprenons comme en quarante" alors que moi j'étais effondrée et fragilisée)), j'ai voulu porter tous les tords, passer le plus vite possible à autre chose, redevenir une fille légère, gaie, comme si rien ne s'était passé, je suis allée voir des psys en me répétant "il faut que j'aille mieux, il faut que j'aille mieux". Sauf que, spoiler alert, ça ne marche pas. Ne te mets pas de pression : oui, tu as des insécurités, et alors ? A côté de ça tu as des qualités, un sens de l'écoute, une douceur, une réflexion fine, un sens de la remise en question (tout ça je ne l'invente pas, ça transparaît dans chacun de tes messages), qui contrebalancent toutes les insécurités du monde. Tu n'es pas jalouse, tu n'es pas possessive, tu n'es pas une furie. Tu es humaine, tu es amoureuse et tu donnes beaucoup. C'est très beau.
je l'avais prévenu en avance que je préférai reporter le rendez vous. 
Mais lui qui est toujours en avance était déjà parti de chez lui. 
Mais ça va il a pris l'habitude maintenant.
