Oh chouette ! un endroit pour déballer un peu ma vie… 
J’ai quitté mon copain il y a 2 mois après 2 ans de relation confortable et ennuyeuse. J’ai regardé le ciel, et j’ai remercié l’univers de m’offrir un moment de tranquillité pour me construire durablement (j’ai un petit côté ermite…
), pour profiter au mieux du temps qu’il me restait à vivre en paix en Italie avant de devoir retourner terminer mes études à Paris.
L’univers ayant de l’humour, il m’a répondu par chronopost avec un homme d’une intelligence et d’une sincérité déconcertante, et altruiste et drôle et beau et dynamique et cultivé, avec l’option névrose intégrée, et une quantité de foudre largement suffisante pour deux.
Je le sentais pas trop.
Après une courte semaine sur la défensive (il est trop vieux, il est trop compliqué, il est trop italien et moi je pars trop bientôt), j’ai cédé… et depuis on vit ensemble dans la plus grande fusion possible.
J’ai fait quelques rencontres décisives dans ma vie, à chaque fois je me dis que ça sera probablement la dernière… et en fait non ! j’ai vraiment trop de chance !
…ou presque, car suite à ma rupture j’ai perdu mon boulot, et par conséquent mes thunes, mes projets, mon énergie… ma vie s’est vidée le mois dernier, et je sais qu’une relation amoureuse ne suffira pas à la remplir. Je ne peux rien construire ici alors que je n'ai pas le choix, je dois rentrer (il me le faut, ce diplôme, merde à la fin).
J’ai compris hier que j’attendais un miracle - quoi, l’univers m’a envoyé un mec parfait, et je peux pas avoir le job qui me permettrait de rester vivre avec lui quelques mois de plus ? Je veux le numéro du SAV !!! - et j’ai opté pour le retour rapide chez ma maman. Ma maman… mes chats… des gateaux et des dessins animés…
Je rentre donc dans 3 jours. Je ne dors plus et j’ai horriblement envie de vomir, mais je sais que c’est le choix raisonnable - raisonnable ! une fois dans ma vie ! je vais pas en mourir, quand même ? Comme ça je vais me reconstruire une base avant de retourner le voir. C’est ce que je désire le plus !
On sait jamais trop où la vie nous mène, mais je ne perdrai jamais ma confiance : on sort toujours grandis des moments difficiles, et leçons arrivent toujours au juste moment.
Je vous souhaite bon courage, à toutes et à tous, n’oubliez pas de rester libre et de regarder loin devant !



J’ai quitté mon copain il y a 2 mois après 2 ans de relation confortable et ennuyeuse. J’ai regardé le ciel, et j’ai remercié l’univers de m’offrir un moment de tranquillité pour me construire durablement (j’ai un petit côté ermite…

L’univers ayant de l’humour, il m’a répondu par chronopost avec un homme d’une intelligence et d’une sincérité déconcertante, et altruiste et drôle et beau et dynamique et cultivé, avec l’option névrose intégrée, et une quantité de foudre largement suffisante pour deux.

Après une courte semaine sur la défensive (il est trop vieux, il est trop compliqué, il est trop italien et moi je pars trop bientôt), j’ai cédé… et depuis on vit ensemble dans la plus grande fusion possible.
J’ai fait quelques rencontres décisives dans ma vie, à chaque fois je me dis que ça sera probablement la dernière… et en fait non ! j’ai vraiment trop de chance !
…ou presque, car suite à ma rupture j’ai perdu mon boulot, et par conséquent mes thunes, mes projets, mon énergie… ma vie s’est vidée le mois dernier, et je sais qu’une relation amoureuse ne suffira pas à la remplir. Je ne peux rien construire ici alors que je n'ai pas le choix, je dois rentrer (il me le faut, ce diplôme, merde à la fin).

J’ai compris hier que j’attendais un miracle - quoi, l’univers m’a envoyé un mec parfait, et je peux pas avoir le job qui me permettrait de rester vivre avec lui quelques mois de plus ? Je veux le numéro du SAV !!! - et j’ai opté pour le retour rapide chez ma maman. Ma maman… mes chats… des gateaux et des dessins animés…

Je rentre donc dans 3 jours. Je ne dors plus et j’ai horriblement envie de vomir, mais je sais que c’est le choix raisonnable - raisonnable ! une fois dans ma vie ! je vais pas en mourir, quand même ? Comme ça je vais me reconstruire une base avant de retourner le voir. C’est ce que je désire le plus !
On sait jamais trop où la vie nous mène, mais je ne perdrai jamais ma confiance : on sort toujours grandis des moments difficiles, et leçons arrivent toujours au juste moment.
Je vous souhaite bon courage, à toutes et à tous, n’oubliez pas de rester libre et de regarder loin devant !


