Je ne comprends rien au feuilleton Alain Delon et ses enfants, mais ça donne pas envie d'avoir des gosses 
Topic des Childfree-No Kid : pas de débat relatif au choix d'avoir des enfants ici
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@Lyt'chiie
@Zénon je suis désolée pour toi, je pense malheureusement que vos visions de l'amitié et de la bienveillance sont soit devenues différentes, soit l'ont toujours été sans que cela ne soit aussi flagrant qu'avec le contexte actuel. Ce n'est jamais simple de renoncer à une amitié (enfin, surtout quand on y est contrainte comme dans ton cas), je te souhaite du courage !
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@Zénon je suis désolée pour toi, je pense malheureusement que vos visions de l'amitié et de la bienveillance sont soit devenues différentes, soit l'ont toujours été sans que cela ne soit aussi flagrant qu'avec le contexte actuel. Ce n'est jamais simple de renoncer à une amitié (enfin, surtout quand on y est contrainte comme dans ton cas), je te souhaite du courage !
Merci pour ta réponse. C'est juste qu'en deux ans et demi mon meilleur ami (alter ego, âme sœur, ce qu'on voudra) s'est suicidé et maintenant Cécile me jarte. C'est ultra angoissant de perdre deux tiers de mes piliers.
@Zénon
@RainyMood
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@RainyMood
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Travailler avec des enfants me conforte dans mon choix de ne pas en avoir
Ils sont tous adorables dans la classe (trois niveaux de maternelle), mais bon dieu que c'est fatiguant
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Rencontre avec nouvelle voisine, une dame assez âgée, on papote "Alors il y a des enfants ?" "Non" "Oh bah une si grande maison, vous allez en avoir des chambres" "Oui, des bureaux, pour travailler". Et ça s'est arrêté là alors que je me préparais déjà à devoir expliquer/justifier.
Très curieusement, la personne qui me fait le moins chier avec ça, c'est mon père, 66 ans, père de quatre enfants. Je l'ai entendu dire tout ma vie "on n'est pas obligé d'avoir des enfants". Ça n'enlève rien à tout ce que je lui reproche, mais au moins j'ai entendu ça.
Si cela peut vous rassurer toutes, on peut garder ses amis en étant CF, même quand ceux-ci ont des enfants, après on évolue tous aussi donc cela dépend aussi de nous !
Par ex. mon 1er cercle d'amis (celui que j'ai rencontré pendant mes études il y a plus de 20 ans donc) : on se dirige tous vers la 50aine et donc oui il y a des enfants (même si finalement pas tant que ça, mais j'ai beaucoup de couples d'amis gays, ceci expliquant cela...), tous ados aujourd'hui. Et bien ça se passe très bien avec eux et on est très proches aujourd'hui en fait. Mais il est vrai que lorsque mes amies sont devenues mères, je n'étais pas là de fait (à l'étranger) et que j'avais une vie compliquée, tourmentée et qui ne pouvait pas s'allier avec des personnes commençant une famille (je buvais et je sortais beaucoup, j'avais quelques fréquentations qui prenaient de la drogue) donc on s'est un peu perdus de vue en effet pendant quelques années. Maintenant que je suis revenue vivre à Paris, que j'ai une vie plus rangée et que je suis devenue une "vieille", que je ne sors plus beaucoup (en tous cas pas tard le soir, et plus dans des restaurants que des bars / boites bondés, même si en vrai je n'ai jamais été une grosse fêtarde), que mon truc c'est de passer une soirée avec mes amis au calme en mangeant des trucs sympas ou de faire des trucs l'après-midi cool, cela correspond aussi pas mal à l'évolution sociale "naturelle" des gens qui ont une famille, donc c'est plus facile. Mais c'est aussi parce que les enfants de mes amis sont tous très cool aussi : pas d'ado/de gamin insupportable capricieux et mal élevé, donc être avec eux j'aime bien aussi. Maintenant j'ai aussi un 2e cercle d'amis qui eux sont dans la 30aine, du coup oui y'a deux bébés en route + une autre copine qui essaie. Pour les 2 premières, je ne sais pas ce que cela va donner quand elles seront mères, mais je ne pense pas qu'elles vont virer "Karen dingos" et reloues, c'est pas le genre, mais bien sûr je peux me tromper !
En revanche, ce qui a pu faire que ma relation avec mes amis devenus parents s'est bien passée et a évolué positivement, c'est aussi que moi en fait, j'adore les gamins (quand ils sont pas relous, évidemment), donc leur compagnie ne me dérange pas, même si je reconnais quand même que ça peut être épuisant car ils te bouffent toute ton énergie et ton temps de cerveau disponible, surtout quand ils sont petits, et cela ne me dérange pas non plus qu'on en parle. Du coup, lorsque je vois mes amies sans leurs enfants, même si ce n'est pas le sujet principal de nos conversations, on parle bien évidemment toujours un peu de leurs enfants (ce n'est pas imposé, c'est moi qui veux savoir si tout va bien pour eux, qui m'intéresse à eux par ex.). Mais évidemment, si on n'aime pas les enfants (ce qui est tout à fait normal hein), oui ça risque de compliquer les relations avec les amis parce que malgré tout, même chez un parent "normal", tu ne déconnectes jamais totalement et il y a toujours les enfants quelque part dans ton esprit...
Par ex. mon 1er cercle d'amis (celui que j'ai rencontré pendant mes études il y a plus de 20 ans donc) : on se dirige tous vers la 50aine et donc oui il y a des enfants (même si finalement pas tant que ça, mais j'ai beaucoup de couples d'amis gays, ceci expliquant cela...), tous ados aujourd'hui. Et bien ça se passe très bien avec eux et on est très proches aujourd'hui en fait. Mais il est vrai que lorsque mes amies sont devenues mères, je n'étais pas là de fait (à l'étranger) et que j'avais une vie compliquée, tourmentée et qui ne pouvait pas s'allier avec des personnes commençant une famille (je buvais et je sortais beaucoup, j'avais quelques fréquentations qui prenaient de la drogue) donc on s'est un peu perdus de vue en effet pendant quelques années. Maintenant que je suis revenue vivre à Paris, que j'ai une vie plus rangée et que je suis devenue une "vieille", que je ne sors plus beaucoup (en tous cas pas tard le soir, et plus dans des restaurants que des bars / boites bondés, même si en vrai je n'ai jamais été une grosse fêtarde), que mon truc c'est de passer une soirée avec mes amis au calme en mangeant des trucs sympas ou de faire des trucs l'après-midi cool, cela correspond aussi pas mal à l'évolution sociale "naturelle" des gens qui ont une famille, donc c'est plus facile. Mais c'est aussi parce que les enfants de mes amis sont tous très cool aussi : pas d'ado/de gamin insupportable capricieux et mal élevé, donc être avec eux j'aime bien aussi. Maintenant j'ai aussi un 2e cercle d'amis qui eux sont dans la 30aine, du coup oui y'a deux bébés en route + une autre copine qui essaie. Pour les 2 premières, je ne sais pas ce que cela va donner quand elles seront mères, mais je ne pense pas qu'elles vont virer "Karen dingos" et reloues, c'est pas le genre, mais bien sûr je peux me tromper !
En revanche, ce qui a pu faire que ma relation avec mes amis devenus parents s'est bien passée et a évolué positivement, c'est aussi que moi en fait, j'adore les gamins (quand ils sont pas relous, évidemment), donc leur compagnie ne me dérange pas, même si je reconnais quand même que ça peut être épuisant car ils te bouffent toute ton énergie et ton temps de cerveau disponible, surtout quand ils sont petits, et cela ne me dérange pas non plus qu'on en parle. Du coup, lorsque je vois mes amies sans leurs enfants, même si ce n'est pas le sujet principal de nos conversations, on parle bien évidemment toujours un peu de leurs enfants (ce n'est pas imposé, c'est moi qui veux savoir si tout va bien pour eux, qui m'intéresse à eux par ex.). Mais évidemment, si on n'aime pas les enfants (ce qui est tout à fait normal hein), oui ça risque de compliquer les relations avec les amis parce que malgré tout, même chez un parent "normal", tu ne déconnectes jamais totalement et il y a toujours les enfants quelque part dans ton esprit...
Dernière édition :
@Iris Chase
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La post-op !
Je me suis faite opérer il y a une semaine maintenant et je me remets bien. J'ai enlevé mes pansements aujourd'hui, les incisions sont propres et les douleurs ont disparues.
Bon je n'étais vraiment pas en forme les trois premiers jours, même si ça ne m'a pas empêché de fonctionner et de faire les tâches importantes que j'avais à faire (il y a quand même 8 à 10 jours d'arrêt de travail). C'est surtout le gaz qui m'a fait mal (le chirurgien gonfle l'abdomen avec du gaz pour bien distendre les muscles), il me pressait les côtes et irradiait dans les épaules, ça fait comme des grosses contractures, mais heureusement ça passe en deux/trois jours. Les ouvertures et les pansements m'ont tiré au début (j'en ai une au nombril et une autre au pubis) mais maintenant ça va, et en plus les cicatrices ne se verront pas!
On s'est juste fait une frayeur le week-end dernier. J'ai trouvé que j'avais des saignements vaginaux vraiment importants, mais sans pour autant me sentir faible ou être excessivement pâle. On a foncé aux urgences et en fait, ce sont mes règles qui sont arrivées avec 10 jours d'avance... Bon au moins ça m'a permis d'être examinée et de savoir que je cicatrise bien.
La conséquence la plus visible c'est le fait d'avoir arrêté une contraception que je prenais depuis plus de quinze ans. Mes règles arrivent de manière anarchique, j'ai eu un peu d'acné mais pour l'instant c'est très gérable.
Dans l'ensemble : je suis très heureuse et soulagée de ma décision. Je n'ai aucun regret, ça va me retirer beaucoup de stress et d'angoisse. Par contre c'est quand même une opération, avec la préparation, l'opération, l'anesthésie et la post-op. Ce n'est pas un rendez-vous dont on ressort comme une fleur, il faut l'avoir à l'esprit...
Je peux toujours tomber enceinte, en faisant une FIV. On ne devient pas complètement stérile (enfin sur ce point, ma santé gynéco était déjà assez compromise donc je l'ai surtout dit pour tranquilliser les autres, moi une grossesse ça peut facilement me tuer mais tout le monde s'en fout....), on peut changer d'avis.
Voilà, si vous hésitez, cherchez un spécialiste sur gyn&co, de plus en plus de femmes, même nullipares comme moi, se font opérer.
Je me suis faite opérer il y a une semaine maintenant et je me remets bien. J'ai enlevé mes pansements aujourd'hui, les incisions sont propres et les douleurs ont disparues.
Bon je n'étais vraiment pas en forme les trois premiers jours, même si ça ne m'a pas empêché de fonctionner et de faire les tâches importantes que j'avais à faire (il y a quand même 8 à 10 jours d'arrêt de travail). C'est surtout le gaz qui m'a fait mal (le chirurgien gonfle l'abdomen avec du gaz pour bien distendre les muscles), il me pressait les côtes et irradiait dans les épaules, ça fait comme des grosses contractures, mais heureusement ça passe en deux/trois jours. Les ouvertures et les pansements m'ont tiré au début (j'en ai une au nombril et une autre au pubis) mais maintenant ça va, et en plus les cicatrices ne se verront pas!
On s'est juste fait une frayeur le week-end dernier. J'ai trouvé que j'avais des saignements vaginaux vraiment importants, mais sans pour autant me sentir faible ou être excessivement pâle. On a foncé aux urgences et en fait, ce sont mes règles qui sont arrivées avec 10 jours d'avance... Bon au moins ça m'a permis d'être examinée et de savoir que je cicatrise bien.
La conséquence la plus visible c'est le fait d'avoir arrêté une contraception que je prenais depuis plus de quinze ans. Mes règles arrivent de manière anarchique, j'ai eu un peu d'acné mais pour l'instant c'est très gérable.
Dans l'ensemble : je suis très heureuse et soulagée de ma décision. Je n'ai aucun regret, ça va me retirer beaucoup de stress et d'angoisse. Par contre c'est quand même une opération, avec la préparation, l'opération, l'anesthésie et la post-op. Ce n'est pas un rendez-vous dont on ressort comme une fleur, il faut l'avoir à l'esprit...
Je peux toujours tomber enceinte, en faisant une FIV. On ne devient pas complètement stérile (enfin sur ce point, ma santé gynéco était déjà assez compromise donc je l'ai surtout dit pour tranquilliser les autres, moi une grossesse ça peut facilement me tuer mais tout le monde s'en fout....), on peut changer d'avis.
Voilà, si vous hésitez, cherchez un spécialiste sur gyn&co, de plus en plus de femmes, même nullipares comme moi, se font opérer.
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