Je n'ai lu qu'une grande partie du topic, donc je ne sais pas si cela a été évoqué dans les quelques pages que je n'ai pas encore rattrapées. @Clemence Bodoc il aurait été utile de poser le contexte de la déclaration de la gynéco : depuis peu les sages-femmes sont habilitées à prescrire des IVG médicamenteuses, et dans ce contexte à accorder un arrêt de 4 jours renouvelable une fois. Donc avec ce message, Elisabeth "Elles en mettent partout avec leurs règles" Paganelli et le syndicat dans son ensemble s'en prennent non seulement aux femmes, mais aussi aux sages-femmes. Et le Syngof, de concert avec d'autres assos de gynéco a récidivé aujourd'hui (et ça ne date pas d'hier) : Les instances professionnelles en gynécologie et obstétrique dénoncent des mesures gouvernementales qui nuisent à la surveillance médicale des femmes.
Mais oui, NOULÉFAM devons être "surveillées" parce que sinon ohlala, nous risquerions de nous mettre en danger en nous faisant suivre par des sages-femmes, pauvres irresponsables que nous sommes, c'est sûr qu'elles nous ont attirées dans leurs cabinets avec des granules d'homéopathie et des chants maya. Je n'ai pas le temps de développer mais c'est un sujet qui rentre dans le prolongement de Paye ton utérus, Je n'ai pas consenti, le point du mari et le TV sous AG : lorsque ça touche à la sexualité et à la maternité, de nombreux professionnels exerçant dans le domaine médical semblent savoir mieux que nous ce qui est bon pour notre corps. Et il est indéniable que certains d'entre eux donnent une dimension punitive à l'IVG médicamenteuse au vu des souffrances physiques et psychologiques qu'elle peut infliger.
Le gouvernement a lancé une campagne pour mieux faire connaître les compétences des sages-femmes, ça serait possible de relayer dans votre magazine ? D'après certaines réponses sur le topic cette profession gagne à être connue !
(et je reste sans voix face à vos témoignages
Gros
à celles qui le souhaitent)
Mais oui, NOULÉFAM devons être "surveillées" parce que sinon ohlala, nous risquerions de nous mettre en danger en nous faisant suivre par des sages-femmes, pauvres irresponsables que nous sommes, c'est sûr qu'elles nous ont attirées dans leurs cabinets avec des granules d'homéopathie et des chants maya. Je n'ai pas le temps de développer mais c'est un sujet qui rentre dans le prolongement de Paye ton utérus, Je n'ai pas consenti, le point du mari et le TV sous AG : lorsque ça touche à la sexualité et à la maternité, de nombreux professionnels exerçant dans le domaine médical semblent savoir mieux que nous ce qui est bon pour notre corps. Et il est indéniable que certains d'entre eux donnent une dimension punitive à l'IVG médicamenteuse au vu des souffrances physiques et psychologiques qu'elle peut infliger.
Le gouvernement a lancé une campagne pour mieux faire connaître les compétences des sages-femmes, ça serait possible de relayer dans votre magazine ? D'après certaines réponses sur le topic cette profession gagne à être connue !

(et je reste sans voix face à vos témoignages


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