@Eclise
L'objectif de toute politique anti-terroriste est la neutralisation des terroristes. Le nombre d'attentats et de victimes est donc le critère majeur de son évaluation. Mais il n'est pas le seul on est bien d'accord. Le respect de l'Etat de droit est déterminant et je fais parti de ceux, pas sûr qu'on soit encore très nombreux, qui se réjouissent que le gouvernement n'ai pas cédé à la tentation d'une politique à la Guantanamo.
Pour autant Hollande fait fort. Sa politique est tellement brouillonne qu'on lui reproche à la fois d'être islamophobe et laxiste vis à vis de l'islamisme intégriste. Son état d'urgence est vilipendé parce qu'il interdirait au citoyen de manifester son mécontentement alors que cela fait des années qu'il n'y a plus eu autant de manifs en France. Ce président, à force d'indécision, n'est plus soutenu par personne (ou si peu) et la confiance dans la capacité de l'Etat à produire de la sécurité diminue à vue d'oeil. On sera donc au moins d'accord sur un point : on file tout droit vers un bon gros bordel bien violent et on voit mal ce qui pourrait l'empêcher.
L'objectif de toute politique anti-terroriste est la neutralisation des terroristes. Le nombre d'attentats et de victimes est donc le critère majeur de son évaluation. Mais il n'est pas le seul on est bien d'accord. Le respect de l'Etat de droit est déterminant et je fais parti de ceux, pas sûr qu'on soit encore très nombreux, qui se réjouissent que le gouvernement n'ai pas cédé à la tentation d'une politique à la Guantanamo.
Pour autant Hollande fait fort. Sa politique est tellement brouillonne qu'on lui reproche à la fois d'être islamophobe et laxiste vis à vis de l'islamisme intégriste. Son état d'urgence est vilipendé parce qu'il interdirait au citoyen de manifester son mécontentement alors que cela fait des années qu'il n'y a plus eu autant de manifs en France. Ce président, à force d'indécision, n'est plus soutenu par personne (ou si peu) et la confiance dans la capacité de l'Etat à produire de la sécurité diminue à vue d'oeil. On sera donc au moins d'accord sur un point : on file tout droit vers un bon gros bordel bien violent et on voit mal ce qui pourrait l'empêcher.