Veille permanente Parentalité et Société

8 Juin 2015
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@didinebdx : ce genre de fonctionnement est assez performant à condition qu'il n'y ai pas trop de différence avec les "plus faible", qui sinon décroche complètement. Mais cela limite aussi très fortement la vitesse d'apprentissage des bons, qui du coup n'atteindrons pas, dans une période de temps X, le même niveau que s'ils étaient qu'entre bons avec une vitesse de progression maximale. Et du coup dans un sens ont sacrifie les plus performant pour aider les plus en difficulté. Et ça me gène. Et c'est d'autant plus pénible que si tout le monde ne fait pas comme ça, un élève a haut potentiel qui aura aidé les autres dans une classe a niveau mixte finira moins "bon" qu'un élève avec le même potentiel étant passé dans des filières plus élitiste. Ce qui est profondément injuste pour le premier.
 
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Réactions : Volokine et LovelyLexy
28 Avril 2015
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@123pourquoi
Je te rejoins assez sur ce point la.
Il m'est arrivé en seconde de me retrouver dans une classe très faible (seulement 5-6 sont passés en 1ère). Sûrement la cause d'une mauvaise harmonisation des classes.

L'un des plus gros problèmes c'était qu'en maths, le prof etait tellement obligé' de s'adapter à leur niveau qu'on voyait le programme en simplifié. Résultat des courses j'avais 18 en contrôle et 6 en devoir commun. Et je me suis sentie effectivement un peu sacrifiée, j'ai du voir les deux tiers du programme et à cause de ça j'ai choisi d'office ES plutôt que S pensant au début que mon niveau en science etait pas si bon pour comprendre bien plus tard que le prof ne faisait pas tout le programme.

Il faudrait sacrifier aucun élève et pour ça chacun devrait pouvoir avancer au rythme qu'il peut. Que les élèves ayant des difficultés se retrouvent totalement paumés et finissent même pas se déscolariser c'est très problématique et c'est pour ça qu'il faudrait adapter le programme afin qu'ils progressent mais en revanche on ne va pas laisser les bons élèves forcément en faire les frais et gâcher en quelque sorte un bon potentiel en français, maths ou autre.
 
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Réactions : LovelyLexy
18 Septembre 2013
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Paris
@Elliana Pas forcément pour le côté "élèves classiques qui bossent" car j'ai jamais bossé :rire:. Je marche au "je comprends donc je retiens".
Mais donc forcément ça fonctionnait car expliquer me forcer à comprendre et faire le tour de la question. (En 5eme mon prof de maths était tellement nase que les forts faisaient les cours au faible).

Et sjrtout, je pense que ca a bien fonctionné car j'ai eu la même classe de la 5ème à la 3ème, et la même en 1ere et term. Donc on se connaissait et malgré les enormes differences entre les premiers et les derniers, il y avait un bon climat dans la classe.

Et j'ai eu des profs qui ont fait que les bons élèves ne s'ennuyaient pas trop avec des exos bonus en fin de DM. (Des casses tetes en maths et c'était très fun).

Après comme l'a dit @123pourquoi, c'est sur que j'aurais pu être beaucoup plus poussée pendant mon collège/lycée (au grand dam de mes parents) et surtout apprendre à travailler (et non pas à constamment me reposer sur mes lauriers).
Ça s'est assez bien vérifé avec ma petite soeur qui a été dans un autre collège/lycée.
 
18 Février 2014
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Dublin
@Elliana pas forcement, ca dépend des écarts. Mais pour les bons c'est un trés bon exercice de devoir expliquer quelque chose, comme le dit l'adage, " ce qui se comprend bien s'énonce clairement" . Si tu es capable d'aider et d'expliquer des concepts, c'est alors bien mieux acquis que de simplement apprendre et appliquer.

En prepa je me suis retrouvée avec une prof débutante pour qui on devait vérifier, et parfois refaire le cours a cause d'erreur de sa part. J'ai jamais aussi bien acquis des concept!
 
18 Février 2014
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@PetitePaille c'est pas forcement courant mais ca m'est arrivé quelques fois. En seconde la prof de math avait demandé aprés un DS a ceux qui avaient eu les meilleures notes de rester pour aider les plus faibles, c'était juste refaire les exercices avec eux en les guidant. D'ailleurs niveau différences de niveau la seconde ca se pose la je trouve, entre ceux qui de toute facon veulent aller en L et s'en tamponne le coquillard, et ceux qui veulent aller en S pour faire prépa, il y a vraiment un monde!!

Au collége ca m'est arrivé d'aller a la médiatheque pour aider deux filles (qui etait vraiment pas mes potes, je sais plus pour quoi je l'avait fait) avant le brevet.
 
28 Avril 2015
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@Elkaria
Ah je vois ! Nous non, jamais.
Apres je ne suis pas contre l'entraide entre les bons et les mauvais, je trouve juste dommage que le potentiel des bons soient bridé.
Pour moi l'idéal serait donc des classes par niveaux pour chaque matière à part peut être philo et français car les questions intelligentes de certains camarades peuvent effectivement pousser la réflexion plus loin.
Et pourquoi pas à côté de ça prévoir une forme de soutien pendant 2h par semaine ou les bons aideraient les moins bons. Comme ça d'un côté' on développerait l'entraide entre élèves, mais chacun avance à son niveau. Il y aurait pourquoi pas une bonification à ceux qui le font avec sérieux.

Parce que dans le fonctionnement actuel même si on fait des travaux de groupe soit ils sont pas notés et tout le monde s'en fout soit ils sont notés et dans ce cas là, le très bon du groupe se retrouve à faire tout, tout seul ou alors il délègue aux autres, ils leurs expliquent mais il sait que malgré ça sa note sera moins bonne que si il avait fait le travail seul. Et je trouve pas ça très motivant, non seulement tu aides les autres mais tu es un peu puni avec une moyenne qui baissera.
 
22 Mai 2015
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Paris
Et puis faut aussi prendre en compte que même si on fait des groupes de niveaux, on aura jamais une classe homogène... Dans le groupe des "bons", tu auras les élèves travailleurs et motivés qui font bien les exercices et travaillent bien dans le cadre scolaire, mais tu auras aussi les deux-trois élèves qui ont une super culture en tout, qui sont peut-être THQI et qui voudront te lire du Shakespeare dans le texte alors que ceux d'à côté ont certes le niveau pour lire, je sais pas, Dickens, mais pas forcément du vieil anglais. Pareil chez les "nuls" (et déjà, on en parle de la méchante claque à ta confiance en toi quand tu finis dans le groupe des "nuls"? Et tu peux appeler ça comme tu veux, les élèves le savent, iels sont pas cons) : tu auras dans la même classe les démissionneurs scolaires, et celleux qui galèrent juste à fond parce que je sais pas, iels sont neurodivergents et pas adaptés au système scolaire mais sont quand même curieux, par exemple. Et en plus, on en fait quoi des gosses qui ont 4 en math et 16 en français, par exemple? Bon, pas bons, moyens? Iels vont "tirer la classe vers le bas" en math et s'ennuyer en français. A moins de faire des groupes de niveau par matière et d'abolir complètement le système de classes scolaires? J'ai l'impression que ça foutrait une foire pas possible, perso - et que ça pourrait justement mener à énormément de rivalité et de compétition entre les élèves, voir du mépris ("ah, toi t'es dans ma classe en français, mais t'es avec les crétins en math, pourquoi tu me parles t'es qu'un.e débile").

J'ai l'impression qu'on reproche beaucoup à l'EN d'essayer de caser tout le monde dans un moule (je l'ai dit moi-même haha) mais les groupes de niveau c'est vraiment pas la solution à mon sens : tu mets juste les élèves dans des boîtes de façon encore plus visible. Comme dit @Heather. , autant donner plus d'exercices plus compliqués à celleux qui s'ennuient, et faire des cours personnalisés pour celleux qui galèrent - bien sûr ça marcherait mieux avec + de moyens (comme tout dans l'EN j'ai l'impression :cretin: )
 
18 Avril 2015
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Montpellier
Je rejoins ce qu'exprime @Growing Entish (je faisais partie des élèves qui avaient entre 18 et 20 en français et anglais, et 3 en maths :lol:). Petite, j'ai passé des tests de QI car mes enseignants se sont aperçus que je m'ennuyais beaucoup en fin de CP/année de CE1. Je ne me rappelle plus du résultat exact (je ne l'ai jamais demandé) mais j'ai eu un score supérieur à 140 ; cependant, je n'ai finalement pas sauté de classe car mes parents avaient peur que je me sente en décalage avec des élèves plus âgés (je suis née en fin d'année, ils ont pas compris à quel point j'étais déjà en décalage avec ma classe actuelle, bref, c'était une erreur de ne pas l'avoir fait mais maintenant ce n'est plus pertinent d'y repenser).

Néanmoins, même arrivée au collège puis au lycée, je n'ai jamais eu l'impression qu'on me "sacrifiait" dans les matières où j'étais considérée comme bonne. J'ai eu de nombreux moments d'ennui dans certaines matières mais je n'ai jamais pris l'EN comme un endroit où je pourrais exprimer 100% de mon potentiel ou assouvir l'entièreté de ma curiosité. :dunno: J'ai toujours vu l'école comme un endroit où on acquiert des bases, et si jamais on fait du hors programme, ce n'est que du bonus. Après, j'ai sans doute ce point de vue car mes parents ont pu compléter correctement ce que l'EN ne m'apportait pas (assez), en encourageant/aiguillant mes lectures, en me faisant rencontrer des gens qui m'intéressaient (via des dîners-débats enjoués à la maison ou via des conférences), en me proposant des cours particuliers pour ce qu'ils ne pouvaient pas m'apprendre eux-même, en m'abonnant à des journaux nationaux, en mettant de côté des articles/émissions qui seraient susceptible de m'intéresser/approfondir le savoir que je voulais acquérir sur un sujet particulier (j'ai des souvenirs très affectueux des discussions que j'avais avec mon père après qu'il m'ait mis de côté la chronique Improbabiologie du journal Le Monde le samedi matin :jv:).

J'ai conscience de la chance immense que j'ai eu d'avoir des parents qui puissent prendre le relais et m'offrir une chance d'exprimer un potentiel que je n'aurai pas eue simplement avec l'école. Mais pour autant... Je ne considère toujours pas que c'est à l'EN de parfaire les individus. Donner des clés, oui, rechercher l'excellence comme en prépa, non. Car l'excellence signifie que l'on a une connaissance approfondie de ses capacités, qu'on a les moyens financiers et humains d'accompagner un individu à atteindre son plein potentiel (ce qui est un projet plutôt colossal de mon point de vue). Et pour le moment, ce n'est pas possible.

Et puis, je pars dans un raisonnement philosophique maintenant, mais pourquoi devrait-on courir après l'excellence en permanence ? Je ne fais pas l'apologie de la médiocrité (au sens premier du terme, c.à.d. moyen et non pas mauvais), mais beaucoup de gens ne sont pas dans l'optique d'être "ultra performants", ils veulent simplement que ce qu'on leur apprenne connecte avec leur vie quotidienne, que leurs passions restent des passions, qu'il y ait du sens dans leurs actions. Je pense que certains vont me dire "mais si on te donne l'occasion d'être meilleure, pourquoi dirais-tu non ?", eh bien parce que parfois, je ne suis pas dans une optique de performance absolue ? Par exemple, depuis que je sais tenir un crayon, j'ai des facilités en dessin. En moyenne section de maternelle, on nous a demandé de nous auto-dessiner : les dessins de mes camarades allaient des simples coups de feutres sur la feuille dans une forme d'abstrait absolument charmante aux personnages déjà un peu plus évolués, avec une tête, des bras, un visage, une forme de prise en compte spatiale. Mon auto-portrait présente une petite fille en robe, avec des couettes épaisses et bouclées, des yeux bridés, des chaussures avec lacets, des petites stries sur les lèvres, des traits fins pour faire les sourcils : j'avais déjà intégré tous ces éléments à 4 ans et demi, les adultes dans mon entourage n'en revenaient pas. Vers 14 ans, j'ai commencé à prendre des cours de dessin dans l'optique de me constituer un book artistique pour éventuellement, intégrer une école d'art. Voici ma première nature morte. Pourquoi je raconte ça ? Pas pour me jeter des fleurs mais pour contextualiser le fait que malgré ces "facilités", ce "don" comme le répètent mes parents, je n'en ai jamais rien fait de concret : je ne suis pas partie en école d'art, je n'ai pas pris part à des concours de dessins, j'ai toujours dessiné seule dans ma chambre quand j'en ressentais le besoin. J'aurai pu devenir meilleure dessinatrice (ce n'est d'ailleurs peut-être pas encore trop tard :P) mais non, je ne voulais pas que ça devienne académique, je voulais que ça reste mon truc à moi, de ne pas avoir d'échelle de valeur ou de pression à subir par rapport à cette passion. Dans l'optique d'une école qui remarque les facilités d'un individu puis le prend en charge pour qu'il soit au top de son niveau, j'aurai détesté vivre ça. Qu'on m'apprenne des bases en arts plastiques, oui, qu'on "m'oblige" à entrer dans une logique d'excellence, non.

D'où le fait que même si je pense que l'école est perfectible (et le sera sans doute pour toujours), que certains mécanismes creusent les écarts entre les élèves, qu'il devrait y avoir une plus grande prise en charge de l'épanouissement personnel au détriment des notes et des quotas d'évaluations, je défends l'idée que l'excellence se doit de rester un choix. La question est donc, comment gommer certaines inégalités pour que cette excellence reste un choix de conscience et non un choix économique ? :hesite:

Edit : et je rejoins aussi parfaitement le message de @Clematis sur la sensibilisation aux différences de niveau. Vivre en société, c'est accepter que tout le monde n'en est pas au même point que soi, que ce soit plus avancé ou à un niveau rétrograde. Je trouve dangereux de vouloir cultiver un entre-soi qui ne restera pas une fois l'individu lancé dans le monde du travail/de la socialisation. C'est illusoire et peut être dommageable, autant pour la personne qui ne saura pas comment réagir et capitaliser sur les différences de niveau, que pour ceux qui la subiront parce que faisant partie du peloton le plus bas. Quand je lis @Elliana dire qu'elle détestait l'idée de devoir expliquer à d'autres, que ça l'agace de voir que les autres n'en sont pas au même point de réflexion qu'elle, ça me fait un peu de peine :shifty: parce que je me dis qu'en ayant ce rejet direct, on s'enferme dans sa propre idée de ce qui est "la base" et on se ferme aux autres. :ninja:
 
Dernière édition :
10 Novembre 2016
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Je rejoins @Fealynn, je fais partie des gens scolairement "moyens", pas parce que je n'avais pas le niveau, ni parce que je n'avais pas de parents évoluant dans un milieu favorisé (au contraire puisque j'ai eu accès à des cours particuliers dans deux matières scientifique qui m'ont permis d'avoir mon bac S), mais parce que l'excellence ne m'a jamais intéressée.:dunno:
Moi, j'étais une rêveuse qui se laissait vivre et j'ai eu trop peur de me confronter à l'échec pour tenter des études passion dans le dessin.
Ce n'est qu'en Master que je suis un peu remontée en "tête" de classe car j'en trais vraiment dans une partie de science de la vie qui m'interressait ... pourtant, au final, je n'en fais rien, puisque je suis mère au foyer ... et que je compte me réorienter vers mes premières amours, les arts créatifs :yawn:
 
Je n'ai pas voulu répondre à cette discussion parce que j'ai eu un passé (et j'ai un passif) très difficile envers l'EN - moi je suis le cas de l'élève qui aurait pu être bon mais qui a été démissionnaire et rebelle et qui a fini plus ou moins en échec scolaire. J'ai eu mon bac mais ce que j'ai retiré de mes années lycées, c'est comment faire pour dormir dans la rue tranquille quand ça va plus du tout et que j'ai besoin de souffler. Et je me suis effondrée de façon spectaculaire à la fac pour cause de dépression surtout.

Je pense que la question n'est pas tant "est-ce que l'EN doit pousser à l'excellence" qu'une remise en question de ses buts? J'ai un peu du mal à mettre à plat mes interrogations mais: @Fealynn même toi qui a eu un excellent parcours scolaire, tu annonces que tu as eu de longs moments d'ennuis à l'école, et que la stimulation intellectuelle venait surtout d'en-dehors.

On m'avait beaucoup répété à l'école que si j'étais là c'était pour moi et pour mon futur, tout en me refusant tout aménagement de ma scolarité, alors que clairement je m'ennuyais à mourir, je n'y apprenais rien, et je constatais déjà que la majeure partie des choses qu'on m'enseignait n'allait pas me servir dans le futur, dans ma vie adulte (ce qui s'est vérifié). On m'a présenté l'EN comme un endroit où j'étais censée m'épanouir intellectuellement. On m'a dit que les adultes étaient là si j'avais un problème, alors que face à mes problèmes on me demandait surtout de pas faire de vagues -et j'ai appris qu'il valait mieux que je m'occupe toute seule de mes problèmes plutôt que d'appeler l'encadrement à l'aide. A cause de tout ça (et de beaucoup d'autres points) j'ai vraiment eu le sentiment d'une hypocrisie formidable de la part du système (et pas de la part des profs, qui faisaient de leur mieux malgré ça - je trouve ça toujours vrai, en France les profs sont payés moitié moins pour des classes avec le double du nombre d'élèves que ce que j'ai pu voir dans d'autres pays occidentaux) et j'ai aussi beaucoup eu le sentiment qu'on m'a "sacrifiée" ou plutôt que pour l'EN l'égalité, ça veut dire l'uniformité, et que si tu ne rentres pas dans le moule tu es priée d'y rentrer parce que sinon y'a pas de solution pour toi.

Et qu'au final quand un-e enfant ne rentre pas dans le moule, il faut vraiment pouvoir assurer en-dehors de l'EN pour que ça passe. Enfin voilà, j'ai conscience d'avoir vraiment été un cas hors-norme (jamais eu besoin de travailler pour avoir la moyenne (voire plus) jusqu'à la fac, gamine clairement démissionnaire, avec des accès de violence mais pas de réelle lutte / provocation envers les profs, etc) mais je suis vraiment ressortie de l'EN avec un immense sentiment de gâchis, et que l'EN tente de plier les élèves à son programme (quitte à les briser) parce qu'elle ne peut pas faire autrement.

Bref je ne sais pas trop où je voulais en venir, mais voilà j'avais le sentiment ou l'envie de parler de ça.
 

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