@Vadim En ce qui concerne les vaccins, il n'y a aucune étude qui démontre leur danger. Il n'y a aucune preuve de lien directe.
Et puis comme dis @Flowercream- ... même s'il y avait des effets secondaires, ne vaut-il pas mieux des enfants vivants ? Il y a des enfants qui meurent en Europe de l'est à cause de ces conneries. Merde, est-ce que le risque d'avoir des allergies (cf mon contact facebook) justifie le fait de mettre son enfant et celui des autres en péril mortel ?
En ce qui concerne le retour au naturel pour la contraception, je suis très partagée.
La seule chose qui m'énerve, c'est quand on utilise l'argument massue du "oui mais c'est pas naturel donc c'est pas bien". Qui me parait une injonction toute ausis dommageable que l'inverse. Perso, j'ai pris la pilule, pour moi c'était facile (je la prenais tous les jours au réveil en même temps que mes médicaments thyroïdiens), elle me coutait 30 euros/an, une seule ordonnance nécessaire car boite annuelle, elle ne me causait aucun effet secondaire et au contraire, elle me permettait de réguler mes règles hyper abondantes. Alors je ne dis pas que je l'aurais pris 10 ans sans m'interroger, mais c'était cool.
Ce que je veux dire par là, c'est que oui, il y a des effets secondaires avérés. Ca n'est pas pour ça que la pilule est mauvaise. Tout ça est à prendre au cas par cas, et il faut analyser les +/- pour chaque personne
Mais en fait, j'ai le sentiment étrange qu'aussi bien la lutte d'autrefois pour avoir la pilule et le mouvement actuel de retour au naturel se basent tous les deux sur le même besoin : que les femmes retrouvent le contrôle de leur corps.
Autrefois, la pilule était réclamée pour les femmes afin de pouvoir avoir une maîtrise sur leur fertilité et sur leur sexualité. Aujourd'hui, j'entends aussi des arguments qui disent que le retour au naturel permet aux femmes de ne pas se contenter d'avaler des cachets mais de mieux connaitre leurs corps.
Ce qui me fait dire qu'en fait, une partie du soucis est encore et toujours l'éducation.
Nous manquons d'éducation, nous manquons de connaissance de nos corps, nous manquons d'informations sur tous nos choix et leurs avantages/inconvénients....
Si on commençait par là et qu'on arrêtait le dogmatisme, chacun.e pourrait choisir en connaissance de cause et en fonction de sois
Mais comme je disais plus haut, tout ça s'inscrit dans un mouvement général de retour au naturel et de méfiance vis-à-vis des institutions. Tendance que je lierais aussi à l'individualisme de nos sociétés
Et puis comme dis @Flowercream- ... même s'il y avait des effets secondaires, ne vaut-il pas mieux des enfants vivants ? Il y a des enfants qui meurent en Europe de l'est à cause de ces conneries. Merde, est-ce que le risque d'avoir des allergies (cf mon contact facebook) justifie le fait de mettre son enfant et celui des autres en péril mortel ?
En ce qui concerne le retour au naturel pour la contraception, je suis très partagée.
La seule chose qui m'énerve, c'est quand on utilise l'argument massue du "oui mais c'est pas naturel donc c'est pas bien". Qui me parait une injonction toute ausis dommageable que l'inverse. Perso, j'ai pris la pilule, pour moi c'était facile (je la prenais tous les jours au réveil en même temps que mes médicaments thyroïdiens), elle me coutait 30 euros/an, une seule ordonnance nécessaire car boite annuelle, elle ne me causait aucun effet secondaire et au contraire, elle me permettait de réguler mes règles hyper abondantes. Alors je ne dis pas que je l'aurais pris 10 ans sans m'interroger, mais c'était cool.
Ce que je veux dire par là, c'est que oui, il y a des effets secondaires avérés. Ca n'est pas pour ça que la pilule est mauvaise. Tout ça est à prendre au cas par cas, et il faut analyser les +/- pour chaque personne
Mais en fait, j'ai le sentiment étrange qu'aussi bien la lutte d'autrefois pour avoir la pilule et le mouvement actuel de retour au naturel se basent tous les deux sur le même besoin : que les femmes retrouvent le contrôle de leur corps.
Autrefois, la pilule était réclamée pour les femmes afin de pouvoir avoir une maîtrise sur leur fertilité et sur leur sexualité. Aujourd'hui, j'entends aussi des arguments qui disent que le retour au naturel permet aux femmes de ne pas se contenter d'avaler des cachets mais de mieux connaitre leurs corps.
Ce qui me fait dire qu'en fait, une partie du soucis est encore et toujours l'éducation.
Nous manquons d'éducation, nous manquons de connaissance de nos corps, nous manquons d'informations sur tous nos choix et leurs avantages/inconvénients....
Si on commençait par là et qu'on arrêtait le dogmatisme, chacun.e pourrait choisir en connaissance de cause et en fonction de sois
Mais comme je disais plus haut, tout ça s'inscrit dans un mouvement général de retour au naturel et de méfiance vis-à-vis des institutions. Tendance que je lierais aussi à l'individualisme de nos sociétés