@Miodvla : En effet c'est compliqué de garder espoir >__<
Tous les points de 1 à 4 que tu cites sont des implications du système.
Or les médias et analyses ne le font *jamais* sauf pour un cas particulier dont on a déjà parlé en VPR, à savoir ce qui est communément appelé les "problèmes d'immigration" et les affaires de viol. Là bizarrement ça devient symptomatique de l'immigratioooooon, mais juste de l'immigration hein,juste le fait des populations mâles d'origine immigrée hein, parce que le système lui n'a toujours rien à voir dans ces affaires là - non plus!
En ce qui concerne les femmes et les violences subies, les médias sous-entendent que le viol et les violences sexuelles, c’est réglé, que tout le monde le condamne, mais ils n'ont JAMAIS d’analyse systémique, ils ne voient pas le viol comme un acte de domination qui s’inscrit dans un contexte sociopolitique et ils se contentent de dire que ce sont des actes isolés
. Il est toujours question d'individualités, les femmes battues et violées sont toujours déconnectées du système. Les hommes qui les battent, violent ne sont évoqués qu'en terme d'exception, voire pire en terme validiste de "folie". Comme si la violence masculine n'était pas une norme, qu'elle n'est pas le fait d'hommes valides, mais une rare exception qui confinait au médical, l'oeuvre d'individu desaxés et surtout
a-sociaux.
Les témoignages de la police que tu soulignes sont littéralement PITOYABLES. Ce mec qui fait pourtant partie d'une unité spéciale, devrait très bien savoir que c'est le seul endroit en France où on travaille à leur manière.
Et ce type, par solidarité policière, n'ose pas dire les choses telles qu'elles sont et préfère taire tous les témoignages contraires des victimes ??? Rah la solidarité professionnelle, quelle saloperie... Il n'a même pas honte.... Et il est censé être spécialisé en victimologie ? mais la blague >__<.
Et on en parle des hôpitaux ? Après une plainte, la victime doit passer un contrôle médical pour la prise des mesures nécessaires dans un kit de viol: des services hospitaliers ne pratiquent pas automatiquement un dépistage de drogue lors de la prise des kits ADN ni même un relevé légal des coups et blessures. En effet des photos ne suffisent pas et une petite ordonance du médecin de famille non plus, il faut qu'un légiste, donc un médecin assermenté, ait fait un relevé des coups et blessures, ce qui parfois passe à la trappe. A cause de *ce* manquement institutionnel des affaires de viol sous influence (drogue) mais parfois de viol tout court sont déqualifiées de crime à délit, cad de viol à agression sexuelle. A cause d'un manquement institutionnel. Ils le disent ça ou pas ? Evidemment que non..
On parle aussi du fait qu'un viol sur deux est déqualifié en agression sexuel en cour de justice ?
Ben non on ne parle pas de tout ça, parce que ça serait remettre en cause la société entière et le système.