Non, tu n'es pas la seule: plein de gens me connaissent comme Jenny un peu partout, et je n'ai plus de portable "pour le moment". Le problème c'est que tu peux envoyer paître le gros lourd occasionnel, mais celui que tu croises régulièrement ( comme, pour moi, les vigiles de la Fnac) tu dois négocier autrement. Et dans le dialogue que tu rapportes (
au fait) je remarque à nouveau le passage du vouvoiement au tutoiement, ce qui n'est pas anodins: pour ces mecs, une fois que le contact est établi un lien l'est également et ils se voient déjà comme nos proches, ils pensent instaurer une familiarité; d'où leur sincère stupeur ( "Mais pourquoi?") quand on refuse.