Je crois que j'ai été autant de fois avec des personnes maquées que libres. Quand je me suis trouvée dans la position de "maîtresse", je savais tout à fait ce que je faisais. Je n'ai jamais fait le premier pas, mais quand ça me plait, je ne repousse pas. Pas mon problème.
Le problème est que, quand on fait ça en connaissance de cause, par choix conscient, avec quelqu'un qu'on connaît "un peu" et qu'on n'a jamais vu sa moitié, ça passe.
Quand ça vous tombe dessus et que ça concerne un couple d'amis et que vous n'êtes pas capable de vous arrêter, que vous vous voyez proprement dépossédée de tout semblant de force morale, qu'être avec cette personne est aussi insupportable que d'être sans elle, savoir que vous faire pincer causera non seulement l'opprobre de vos amis, mais blessera aussi l'un d'entre eux, trahi, c'est une situation qui CRAINT fondamentalement. Je l'ai appris récemment.
Être la maîtresse de quelqu'un, c'est fun, d'accord. Être maîtresse sans plus rien maîtriser, un poil moins.
Faites attention à vous.
Le problème est que, quand on fait ça en connaissance de cause, par choix conscient, avec quelqu'un qu'on connaît "un peu" et qu'on n'a jamais vu sa moitié, ça passe.
Quand ça vous tombe dessus et que ça concerne un couple d'amis et que vous n'êtes pas capable de vous arrêter, que vous vous voyez proprement dépossédée de tout semblant de force morale, qu'être avec cette personne est aussi insupportable que d'être sans elle, savoir que vous faire pincer causera non seulement l'opprobre de vos amis, mais blessera aussi l'un d'entre eux, trahi, c'est une situation qui CRAINT fondamentalement. Je l'ai appris récemment.
Être la maîtresse de quelqu'un, c'est fun, d'accord. Être maîtresse sans plus rien maîtriser, un poil moins.
Faites attention à vous.