@Mymy : Belle initiative de ta part, car ce n'est jamais simple ce se remettre en question. Et merci pour un article qui fait beaucoup écho avec celui sur la cancel culture, et la capacité que peuvent avoir les médias et les réseaux sociaux à devenir de véritables tribunaux de carnaval.
Pour poussez la réflexion, il y a une chose que je n'ai jamais réussi à pleinement comprendre vis a vis de la phrase : "Ne pas remettre en cause la parole des victimes". Déjà croire d’emblée quelqu'un parce qu'il a statut (quelle qu'il soit) m'a toujours parut casse gueule. Mais ok admettons.
Ensuite c'est quoi une victime ? C'est une personne lambda qui se dit victime, quelqu'un de confiance qui nous raconte une agression, ou quelqu'un déclaré comme tel par un tribunal ou une instance publique ?
Puis quand on dit ne pas remettre leur parole en question, c'est dans quelle contexte ? Quand on communique avec eux ou quand on essaye de se faire un avis sur ce qu'il s'est réellement passé ? Car ok quand on récupère une pote en pleure qui nous raconte une agression, si effectivement c'est vrai (et il y a de bonnes chances que cela le soit) ce serait super violent de lui dire qu'elle se trompe. Mais hors de ce contexte précis ou de preuves évidentes, c'est pas un peu ultra simpliste de dire "il faut croire les victimes" ? Donc ok c'est un truc qui s'applique plutôt bien pour les statistiques et les études de masse, mais que je trouve trop hasardeux pour le cas par cas.
Bref, définitivement je ne suis pas fan des mantras type: "il faut croire les victimes". Ça me fait le même effet que "pas d’utérus, pas d'avis", "not all men" ou d'autre slogan du même genre. Ça claque peut être sur une pancarte et ce sont des bases à connaitre quand on démarre sa déconstruction, mais pour moi cela ressemble quand même énormément à des raisonnements prémâchés dont il faut s'affranchir au fur et à mesure ou on avance dans les réflexions. La société et les rapports humains sont complexes et ce n'est pas en réfléchissant avec des slogans de 4 mots que l'on arrivera à y voir clair.
Pour revenir au sujet, autant des connards genre Wenstein ou Polanski je suis d'accord pour leur balancer des bûches. Mais Amber Vs Johnny, et même si c'est certainement une histoire tragique, l'histoire est bien trop obscure pour que je m'aventure à avoir un avis sur la question.
Pour poussez la réflexion, il y a une chose que je n'ai jamais réussi à pleinement comprendre vis a vis de la phrase : "Ne pas remettre en cause la parole des victimes". Déjà croire d’emblée quelqu'un parce qu'il a statut (quelle qu'il soit) m'a toujours parut casse gueule. Mais ok admettons.
Ensuite c'est quoi une victime ? C'est une personne lambda qui se dit victime, quelqu'un de confiance qui nous raconte une agression, ou quelqu'un déclaré comme tel par un tribunal ou une instance publique ?
Puis quand on dit ne pas remettre leur parole en question, c'est dans quelle contexte ? Quand on communique avec eux ou quand on essaye de se faire un avis sur ce qu'il s'est réellement passé ? Car ok quand on récupère une pote en pleure qui nous raconte une agression, si effectivement c'est vrai (et il y a de bonnes chances que cela le soit) ce serait super violent de lui dire qu'elle se trompe. Mais hors de ce contexte précis ou de preuves évidentes, c'est pas un peu ultra simpliste de dire "il faut croire les victimes" ? Donc ok c'est un truc qui s'applique plutôt bien pour les statistiques et les études de masse, mais que je trouve trop hasardeux pour le cas par cas.
Bref, définitivement je ne suis pas fan des mantras type: "il faut croire les victimes". Ça me fait le même effet que "pas d’utérus, pas d'avis", "not all men" ou d'autre slogan du même genre. Ça claque peut être sur une pancarte et ce sont des bases à connaitre quand on démarre sa déconstruction, mais pour moi cela ressemble quand même énormément à des raisonnements prémâchés dont il faut s'affranchir au fur et à mesure ou on avance dans les réflexions. La société et les rapports humains sont complexes et ce n'est pas en réfléchissant avec des slogans de 4 mots que l'on arrivera à y voir clair.
Pour revenir au sujet, autant des connards genre Wenstein ou Polanski je suis d'accord pour leur balancer des bûches. Mais Amber Vs Johnny, et même si c'est certainement une histoire tragique, l'histoire est bien trop obscure pour que je m'aventure à avoir un avis sur la question.