@Herzeka Je pense que ça dépend vraiment du "niveau de langage" que l'auteur utilise ! (avec une modification parfois par le traducteur le cas échéant)
Personnellement ça m'arrive assez peu en "français", mais ça m'est arrivé récemment avec des livres de Jacques Abeille ou "Du côté de chez Swann" de Proust. Je pense que ça s'améliore avec le temps (évidemment, puisque c'est "juste" une question de vocabulaire), mais ça nous arrive à tous ! Et bien sûr, ça m'arrive encore plus souvent quand je lis en anglais, car même si je m'en sors assez bien pour lire, des fois j'ai quelques mots que je ne comprends pas (ou dont je comprends le sens "général" mais que je ne saurais pas "expliquer" ou traduire !)
Personnellement ça m'arrive assez peu en "français", mais ça m'est arrivé récemment avec des livres de Jacques Abeille ou "Du côté de chez Swann" de Proust. Je pense que ça s'améliore avec le temps (évidemment, puisque c'est "juste" une question de vocabulaire), mais ça nous arrive à tous ! Et bien sûr, ça m'arrive encore plus souvent quand je lis en anglais, car même si je m'en sors assez bien pour lire, des fois j'ai quelques mots que je ne comprends pas (ou dont je comprends le sens "général" mais que je ne saurais pas "expliquer" ou traduire !)



). Par contre j'ai ADORE Anansi boys, qui est un peu comme le "spin of" de American Gods plus qu'une suite (ça se concentre sur les fils du Dieu Anansi, à Londres) mais avec un ton totalement différent (plus léger, très drôle, ça m'a rappelé un peu Neverwhere lu peu avant que j'avais beaucoup aimé, qui se passe dans le "Londres souterrain"), le récit m'a porté de bout en bout, bref j'ai trouvé que c'était un excellent page turner.
En tout cas j'en garde un bon souvenir (et que c'était complètement délirant
) et c'est un peu étrange car j'ai adoré la courte BD qu'il a scénarisé dans la série de comics Hellblazer (le comics qui suit les aventures de John Constantine) alors que j'ai pas du tout aimé (et me suis ennuyé en les lisant pour une bonne part
). J'ai bien aimé, je trouve que les ficelles de cette dystopie sont plus fines et subtiles que dans d'autres (le côté "les 3/4 de l'humanité ont été exterminés, ceux qui restent sont séparés en groupes et ils se font la guerre" est plus nuancé que dans d'autres livres du genre, les infos mieux distillés). Rien d'extraordinaire dans l'écriture, à certains moments je sombrais un peu dans l'ennui mais les paragraphes présentent en alternance le récit d'un personnage ou d'un lieu différent, aboutissant souvent à un retournement de situation: bref, pas emballée par la narration mais de quoi titiller ma curiosité et me faire poursuivre la lecture.
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