nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
@Babitty Lapina L'influence première ne serait-elle pas...la réalité? A une époque, la princesse (=la fille du roi) était bel et bien "prisonnière" du château: une femme qui se respectait ne devait pas se mélanger au peuple et rester dans ses appartements avec sa cour. Elle passait de la coupe de son père à celle de son mari, lui-même un prince d'un autre royaume. Et à l'époque, pour montrer sa puissance, le roi, le prince, devaient se montrer preux chevalier, savoir mener ses armées, etc.
D'où l'image du prince qui vient chercher sa dulcinée enfermée dans un château.
Quant au dragon, il était courant d'inventer des créatures mythiques que l'on disait terrassées par tel ou tel seigneur pour lui conférer une image forte. (un peu sur le modèle de Saint Michel terrassant le dragon)
Mais il existe beaucoup de récits du Moyen-âge de chevaliers combattant des dragons, la religion catholique s'étant emparé de l'image du dragon (créature de l'enfer), qui finit par être tué par le chevalier pieu et catholique (qui se marie avec la princesse et lui fait plein d'enfants=image de la famille catho). Je pense que cette trame, cette symbolique, a mieux passé les âges que les récits en eux-mêmes.
D'où l'image du prince qui vient chercher sa dulcinée enfermée dans un château.
Quant au dragon, il était courant d'inventer des créatures mythiques que l'on disait terrassées par tel ou tel seigneur pour lui conférer une image forte. (un peu sur le modèle de Saint Michel terrassant le dragon)
Mais il existe beaucoup de récits du Moyen-âge de chevaliers combattant des dragons, la religion catholique s'étant emparé de l'image du dragon (créature de l'enfer), qui finit par être tué par le chevalier pieu et catholique (qui se marie avec la princesse et lui fait plein d'enfants=image de la famille catho). Je pense que cette trame, cette symbolique, a mieux passé les âges que les récits en eux-mêmes.


), mais c'est vraiment pas ce que je m'attendais à lire...
) et finalement c'est une analyse de comment faciliter et faire une médiations entre groupes colonisés et colons (opprimés et oppresseurs). J'ai pas vu la portée féministe encore mais il me reste 50 pages donc peut-être, j'ai pas vu non plus tout ce qui touche aux Kanaks et colons blancs alors que j'avais compris que ça allait être un gros thème du livre donc bah tant pis hein.
