@Poacée Je trouve pas que ce soit du victim-blaming de dire que quand tu es abusée/battue/insultée, partir peut te sauver la vie. La responsabilité est toujours celle de l'agresseur (ici du meurtrier), mais ça n'empêche qu'il y en aura toujours, des hommes qui frappent, insultent et violent. Donc oui, dès la première claque faut partir, et ne pas le faire peut te coûter la vie.
Dire aux femmes victimes qu'elles peuvent agir pour se défendre en partant, en demandant de l'aide (par exemple et quand c'est possible) c'est empouvoirant aussi. Et après la reconnaissance de ce statu de victime, ça permet aussi de comprendre qu'on est pas que victime, mais qu'on peut être acteur.trice de sa propre résilience.
Dire aux femmes victimes qu'elles peuvent agir pour se défendre en partant, en demandant de l'aide (par exemple et quand c'est possible) c'est empouvoirant aussi. Et après la reconnaissance de ce statu de victime, ça permet aussi de comprendre qu'on est pas que victime, mais qu'on peut être acteur.trice de sa propre résilience.
Dernière édition :

mas je compatis de ouf 


mais moi j'ai le même que celui de
Hier au boulot par exemple, j'ai mangé un paquet de pims le long de l'après-midi. Ben ça ne me viendrait pas à l'esprit de dire que je n'ai rien mangé vu que si c'était le cas, j'aurais été d'une bien moins bonne humeur (team quand je vais pas bien la première question qu'il faut me poser c'est si j'ai mangé un truc