@Jester. Je ne la juge pas vite, ça fait un an et demi que je la connais, et elle est juste de pire en pire, et cette situation me fait souffrir parce que je ne veux pas arrêter mon cours à cause d'elle. J'apprécie le prof, j'ai des ami.es dans ce cours, je ne veux pas partir mais mercredi j'étais tellement mal que je me suis dis "si ça continue comme ça, j'arrête". J'ai juste exprimé mon mal-être au départ, c'est juste une couche de merde par dessus les autres couches de merde que la vie m'envoie à la tronche depuis trois ans, si je ne peux même plus me détendre au théâtre, parce que je sais que ça va être "la star et ses assistants", ça va devenir un enfer. Elle me sature.
Si la situation s'était présentée il y a plusieurs années, avant que je ne vive toute cette merde et que mon seuil de résistance atteigne le néant, j'aurais certainement mieux gérer cette situation, peut-être même que j'aurais réussi à lui dire de la mettre en veilleuse cinq minutes, mais là je n'en peux plus.
Donc oui ça prend de la place chez moi, ça me créé de l'anxiété, des pensées intrusives, et tout ce qui va avec parce que je vais mal, et que je ne suis pas en état de supporter ce genre de personnalités, auxquelles je n'aurais probablement pas prêter attention il y a quatre ans. Mais après une tentative de viol et sept décès en trois ans, la dépression, les envies suicidaires, les pensées intrusives, là je n'arrive plus à gérer. Elle devient la goutte d'eau qui fait déborder la piscine.