@just_in_case Dans l'article, il est dit qu'il y a plus de femmes que d'hommes en France, et que les femmes sont sureprésentées parmi les personnes qui étaient prioritaires (75% des personnes en epadh sont des femmes, le personnel soignant est très féminisé, les femmes enceintes à partir du 2eme trimestre étaient prioritaires...). La vaccination n'est pas ouverte depuis si longtemps à tous : au 8 juillet (date de la statistique des 54%), cela faisait seulement un mois et une semaine. Le "rattrapage" n'avait peut-être pas eu le temps de se faire: même si autant d'hommes que de femmes l'ont fait en juin, cela n'annule pas l'avance prise par les femmes: il aurait fallu que les hommes soient plus nombreux à se faire vacciner pour que ce soit le cas. Comme en plus, il y a quasiment 52% de femmes en France, je ne trouve pas la différence si probante, c'est seulement 2 points au dessus.