si si je me souviens très biensalvia;4648752 a dit :J'imagine que c'est l'occasion d'accepter que je n'ai pas le contrôle des choses et que cela devait être mon destin.
Reste à m'en convaincre.
J'ai beaucoup de mal aussi à ne pas avoir le contrôle des choses.
Ton destin de quoi? De souffrir comme ça? C'est surtout faute à pas de chance, non? Personne ne mérite un parcours difficile
J'ai vu mon gynéco hier, on a parlé de mon fameux parcours... Il m'a demandé si on m'avait dit quelque chose m'incitant à repousser le projet bébé. Je lui ai résumé ce qu'on m'a dit et que j'aimerais prendre le moins de risques possibles...
Et là il m'a dit que je ne devais pas me faire trop d'espoirs sur un diagnostic génétique éventuel car même s'il y en a un de posé, on ne pourra pas forcément me proposer un DPI ni même un "dépistage" prénatal permettant une IMG pour une sombre histoire de "sonde" qui n'existerait pas... je n'ai pas trop compris mais selon lui, je dois m'attendre à n'avoir qu'un pourcentage de risque...
Je suis sortie de ma consultation un peu sonnée parce que dans ma tête c'était quand même plus simple... J'ai pleuré un bon coup et puis en discutant avec le Mâle, j'ai décidé de faire confiance en la généticienne (elle ne m'a encore rien dit pour les suites quand les analyses seront finies). Le mâle m'a sorti que puisque les chances ont l'air très faibles que j'ai une solution, on devrait laisser peut-être tomber les analyses et tenter notre chance... j'étais Il faut pas qu'il me dise des choses pareilles, parce que je serais capable de l'écouter... Personnellement je veux me laisser la "deadline" de la généticienne (plusieurs mois à un an) et à ce moment là on verra s'il y a du concret ou pas. Je ne suis pas prête à prendre une décision maintenant, tant que je n'ai pas plus de cartes en main pour décider. J'ai recontacté la psy du centre de génétique, j'ai rendez-vous déjà la semaine prochaine. Etant donné que ça rentre dans mon protocole (j'ai été obligée de la voir une première fois pour que la sécu prenne mon protocole en charge), je n'ai rien à payer donc rien à perdre.
Ah et mon clampin de gynéco m'a dit que j'intellectualisais trop, il est "marrant" lui. Je lui ai dit que ça me permettait justement d'avoir un semblant de contrôle et que si j'écoutais plus mes émotions, je m'écroulerait.
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