@Boulette2 Oui, ça y répond. L'explication du rush d'adrénaline qui transforme ton cerveau en caméra haute vitesse semble tenir la route (sans mauvais jeu de mots).
) C'en est presque effrayant, parce que je ne suis pas trop du genre à déprimer d'habitude, mais une météo maussade peut vraiment me foutre plus bas que terre. 
Je vais prendre l'exemple des réseaux sociaux: Ce qui génère le plus de réactions et d'audience, ce sont les contenus qui nous paraissent scandaleux. Ce n'est certes pas vraiment une agression, mais c'est perçu comme tel par notre cerveau.@skippy01 ta question a l'air intéressante mais je ne comprends pas le rapport entre la positivité et l'agression, c'est sans doute moi qui ai le cerveau au ralenti aujourd'hui mais serais-tu ok pour expliciter ?![]()
).J'avoue que je ne comprends pas ta question tellement la réponse me semble évidente : bien sûr que c'est "mieux" de vulgariser pour convaincre quelqu'un qui ne connait pas vraiment (voire pas du tout le sujet), ça me semble d'ailleurs pas juste être "mieux" mais la base en faitEn gros je suppose que c'est comme la pédagogie : c'est peut-être mieux de fonctionner par étapes, en commençant par énormément simplifier et faire des raccourcis, puis une fois qu'on l'a convaincu, devenir de plus en plus précis dans les termes, les idées, mieux expliquer certains trucs déjà acquis etc.
En fait vu que certains milieux sont si complexes (au niveau du vocabulaire utilisé et des idées), je me demande comment les personnes font pour parler avec des gens qui sont à l'extrême opposé ?

(je rajoute : sans les expliquer avec encore plus de mots et de concepts pas connus de la personne
). Adapter son discours, si la volonté est réellement de "convaincre" l'autre, c'est la base (quitte bien sûr à procéder "par palier" comme tu le dis).
), notamment quand on manie des termes archi courants, c'est de partir du principe que la personne connait plutôt des définitions usuelles, et de regarder quelles sont ces définitions, afin de bien avoir en tête qu'en utilisant les mêmes mots ça peut signifier des choses totalement différentes, et donc bien définir dès le début auprès de la personne ce qu'on entend soi-même quand on emploie ce terme et ce que la personne en face entends quand elle emploie le même terme, afin de trouver des bases communes pour discuter.