Je me demande...
- Initiateur de la discussion Lemon Juice
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Je me demande pourquoi on ne peut pas fermer ses oreilles comme on ferme ses yeux ?
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TW stats viols et meurtres
Je ne sais pas si c'ets une question rhétorique
mais un élément de réponse : pour la même raison qu'on parle aussi très peu des enfants tués dans leur cadre intrafamilial par exemple je pense (80 enfants tués par un membre de leur famille en 2018, 121 femmes et 21 hommes dans le cadre du couple / de la séparation par comparaison pour la même année) : un meurtre choque quand c'est un inconnu qui le commet, alors que dans la famille "ça ne nous regarde pas, c'est leur vie privée".Et bien sûr le patriarcat, qui fait qu'un homme "possède" sa femme, d'où le fait qu'un tiers des meurtres "conjugaux" aient lieu en fait après la séparation ou pendant (même logique pour le fait que les parents "possèdent" leurs enfants).
Quand je vois les réactions à l'affaire Daval... un meurtre de joggeuse (sous-entendu par un inconu), ça horrifie, quand ça "devient" un meurtre conjugal, on tend un mouchoir au mari et on accuse la victime et la mère de la victime...
C'est comme le viol des enfants j'ai l'impression: tout le monde est d'accord pour dire que c'est horrible, beaucoup de monde expliquent dans le détail les tortures auxquels les pédocriminels devraient être soumis mais... l'inceste? Le #metoo inceste date de 2021... pourtant statistiquement l'inceste représente plus de la moitié des violences sexuelles sur mineur.e.s. Ca reste un crime où quasi personne (quand il s'agit d'enfants) ne trouverait d'excuses au violeur quand il s'agit d'un inconnu (au contraire c'est des appels au lynchage), par contre si c'est un membre de la famille là, attention, la victime ment, bla bla, c'est un mari attentionné bla bla, c'est impossible qu'il ait fait ça, etc (je dis pas que ce sont des réactions unanimes mais franchement on trouve beaucoup plus de discours qui visent à nier et minimiser la pédocriminalité quand elle se passe au sein de la famille que quand il s'agit d'inconnus...)
Il y a cette idée très forte de la cellule familiale comme "différente", je ne sais pas trop d'où ça vient (surement tout un tas de raisons historiques et culturelles) mais j'ai l'impression que ça joue dans ce type de perception.
Je me demande s'il y a un nom sur un "trouble" que j'aurais (un truc handicapant en tout cas), histoire que je puisse me renseigner dessus (quand je cherche des phrases qui explique ma situation, je ne tombe sur rien d'intéressant) :
J'oublis souvent de faire des tâches, j'égare souvent mes affaires. Pour compenser, j'ai tendance à vérifier 15 000 fois que j'ai bien fait tel trucs, mais immuablement, il y a des choses qui m'échappent et dans la vie professionnelle, c'est vraiment pas pratique. Deux exemples récents : j'avais un colis urgent à préparer hier soir pour qu'il parte aujourd'hui. J'ai bien tout préparer, vérifier que j'avais bien mis les échantillons à envoyer (j'ai vérifié deux fois), que j'avais bien imprimé les documents, etc, sauf que, j'ai oublié de faire la demande de ramassage.... . Aussi, dans le cadre de mon taff, je dois parfois aller très loin et faire fonctionner des machines. Et là, je crois que j'ai oublié de faire quelques choses d'important (qui risque de nous faire perdre 1 semaine de prise d'échantillon...), je saurais ça dans 4 jours...
Pour le dernier point, c'est arrivé parce que j'étais avec un collègue, donc j'ai tendance à moins vérifier (pas que je compte sur lui, juste que ça fait perdre beaucoup de temps de vérifier plusieurs fois qu'on a bien fait quelque chose et que personne comprends vraiment). Parfois il m'arrive de partir et de faire demi tour au bout de 100mètres pour vérifier un truc et me rassurer sur le fait que j'ai pas oublié de faire quelque chose
Dans la vie de tous les jours, je m'en sors parce que j'ai pris l'habitude de bien vérifier que j'ai mon portefeuille, mon téléphone et mes clés sur moi (et que j'essaie de les ranger tjr au même endroit), mais dans le cadre du travail, où il y a beaucoup plus de procédures et de tâche, bah c'est vachement handicapant
bref, s'il y a un nom à ça? (j'avais pensé au TDA à une époque, mais je n'ai pas de problème de concentration en soi, je peux lire plusieurs heures d'affilées sans problème par exemple)
J'oublis souvent de faire des tâches, j'égare souvent mes affaires. Pour compenser, j'ai tendance à vérifier 15 000 fois que j'ai bien fait tel trucs, mais immuablement, il y a des choses qui m'échappent et dans la vie professionnelle, c'est vraiment pas pratique. Deux exemples récents : j'avais un colis urgent à préparer hier soir pour qu'il parte aujourd'hui. J'ai bien tout préparer, vérifier que j'avais bien mis les échantillons à envoyer (j'ai vérifié deux fois), que j'avais bien imprimé les documents, etc, sauf que, j'ai oublié de faire la demande de ramassage.... . Aussi, dans le cadre de mon taff, je dois parfois aller très loin et faire fonctionner des machines. Et là, je crois que j'ai oublié de faire quelques choses d'important (qui risque de nous faire perdre 1 semaine de prise d'échantillon...), je saurais ça dans 4 jours...
Pour le dernier point, c'est arrivé parce que j'étais avec un collègue, donc j'ai tendance à moins vérifier (pas que je compte sur lui, juste que ça fait perdre beaucoup de temps de vérifier plusieurs fois qu'on a bien fait quelque chose et que personne comprends vraiment). Parfois il m'arrive de partir et de faire demi tour au bout de 100mètres pour vérifier un truc et me rassurer sur le fait que j'ai pas oublié de faire quelque chose
Dans la vie de tous les jours, je m'en sors parce que j'ai pris l'habitude de bien vérifier que j'ai mon portefeuille, mon téléphone et mes clés sur moi (et que j'essaie de les ranger tjr au même endroit), mais dans le cadre du travail, où il y a beaucoup plus de procédures et de tâche, bah c'est vachement handicapant
bref, s'il y a un nom à ça? (j'avais pensé au TDA à une époque, mais je n'ai pas de problème de concentration en soi, je peux lire plusieurs heures d'affilées sans problème par exemple)
@MorganeGirly je m'identifie beaucoup à ton rapport avec les maths aussi et sans vraiment savoir de quoi il retourne avec le master dont tu parles, j'aurais plutôt tendance à t'encourager vers cette voie.
Déjà comme ça a déjà été dit, on peut avoir une compréhension des choses différentes une fois adulte. Des fois je me dis que si je refaisais le programme de quatrième en math maintenant, je m'en tirerais sûrement mieux, j'aurais plus de recul sur les attendus et objectifs des notions, plus d'expérience et de confiance en moi pour résoudre des problèmes, etc.
Ensuite pour mon Master axé plutôt SHS et management, j'ai moi-même dû me colleter avec des matières ultra rébarbatives et anxiogènes pour moi, comme la compta ou la finance d'entreprise. Sauf que déjà, comme le recrutement brassait large, le programme prévoyait une mise à niveau pour les nouveaux arrivants qui n'avaient jamais touché à ces matières. Ensuite, en travaillant et en sollicitant de l'aide, j'ai réussi à m'en sortir avec des notes correctes. C'était loin d'être ouf, mais c'était le minimum pour valider et en prime il me reste quelques notions de ces matières, donc c'était pas du temps perdu et c'était quand même suffisant pour me servir "dans le réel".
Du coup la question que tu devrais peut-être te poser, c'est de savoir exactement ce que tu attends de cette formation et de toi-même. Si c'est de devenir experte dans ces matières scientifiques et de finir major de promo, ça risque de te pomper pas mal de temps et d'énergie pour un résultat incertain et potentiellement insatisfaisant. Par contre si c'est "simplement" pour être à jour sur certaines notions et développer un niveau suffisant pour t'en servir au boulot (quitte à ce que tu le développes encore avec la pratique et l'expérience), ben t'as peut-être pas besoin de te défoncer au travail. Enfin tout dépend de ce que tu vises en terme de compétences à la fin de la formation, mais peut-être que dans un premier temps, tu peux y aller en modérant tes objectifs et tes exigences envers toi-même ? Surtout qu'en plus il y a souvent un écart entre la théorie vue en cours et la pratique du terrain, et souvent c'est la mise en pratique des connaissances qui permet de vraiment les acquérir.
Déjà comme ça a déjà été dit, on peut avoir une compréhension des choses différentes une fois adulte. Des fois je me dis que si je refaisais le programme de quatrième en math maintenant, je m'en tirerais sûrement mieux, j'aurais plus de recul sur les attendus et objectifs des notions, plus d'expérience et de confiance en moi pour résoudre des problèmes, etc.
Ensuite pour mon Master axé plutôt SHS et management, j'ai moi-même dû me colleter avec des matières ultra rébarbatives et anxiogènes pour moi, comme la compta ou la finance d'entreprise. Sauf que déjà, comme le recrutement brassait large, le programme prévoyait une mise à niveau pour les nouveaux arrivants qui n'avaient jamais touché à ces matières. Ensuite, en travaillant et en sollicitant de l'aide, j'ai réussi à m'en sortir avec des notes correctes. C'était loin d'être ouf, mais c'était le minimum pour valider et en prime il me reste quelques notions de ces matières, donc c'était pas du temps perdu et c'était quand même suffisant pour me servir "dans le réel".
Du coup la question que tu devrais peut-être te poser, c'est de savoir exactement ce que tu attends de cette formation et de toi-même. Si c'est de devenir experte dans ces matières scientifiques et de finir major de promo, ça risque de te pomper pas mal de temps et d'énergie pour un résultat incertain et potentiellement insatisfaisant. Par contre si c'est "simplement" pour être à jour sur certaines notions et développer un niveau suffisant pour t'en servir au boulot (quitte à ce que tu le développes encore avec la pratique et l'expérience), ben t'as peut-être pas besoin de te défoncer au travail. Enfin tout dépend de ce que tu vises en terme de compétences à la fin de la formation, mais peut-être que dans un premier temps, tu peux y aller en modérant tes objectifs et tes exigences envers toi-même ? Surtout qu'en plus il y a souvent un écart entre la théorie vue en cours et la pratique du terrain, et souvent c'est la mise en pratique des connaissances qui permet de vraiment les acquérir.
@Margay
(je me permets de te répondre car je suis neuropsychologue donc les fonctions cognitives, c'est un peu beaucoup ma spécialité^^)
Pour moi, c'est un peu des troubles de la mémoire de travail/attention. Tu as l'info en mémoire à long terme mais quand tu "l'envoie" en mémoire de travail pour te rappeler de faire ce que tu as à faire là maintenant (ou dans la journée), l'info se fait très vite noyer sous les autres infos de la journée.
Mais ça me semble vraiment pas un vrai "trouble" plutôt une mémoire de travail un peu faible (dans le sens où ce que tu racontes, ça rentre encore dans la norme, ça n'impacte ton travail que car ton travail est très demandeur à ce niveau. Pour moi, ce n'est pas le niveau du TDA et si tu faisais des tests neuropsy, tu ne serais pas déficitaire à ce niveau
(je me permets de te répondre car je suis neuropsychologue donc les fonctions cognitives, c'est un peu beaucoup ma spécialité^^)
Pour moi, c'est un peu des troubles de la mémoire de travail/attention. Tu as l'info en mémoire à long terme mais quand tu "l'envoie" en mémoire de travail pour te rappeler de faire ce que tu as à faire là maintenant (ou dans la journée), l'info se fait très vite noyer sous les autres infos de la journée.
Mais ça me semble vraiment pas un vrai "trouble" plutôt une mémoire de travail un peu faible (dans le sens où ce que tu racontes, ça rentre encore dans la norme, ça n'impacte ton travail que car ton travail est très demandeur à ce niveau. Pour moi, ce n'est pas le niveau du TDA et si tu faisais des tests neuropsy, tu ne serais pas déficitaire à ce niveau
@Margay @pikalovescoke @Valentina-
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@MorganeGirly
Ce que je voulais dire par « pédagogique » c’est pas forcément que ça l’est mais que comparé aux études supérieures je trouve ça beaucoup plus facile et mieux expliqué.
De ce que j’ai pu remarquer, au collège et au lycée, indépendamment du prof, il y a tout de meme beaucoup d’exercices différents pour apprendre à utiliser une formule ou autre, ça va assez lentement dans son ensemble.
Dans le supérieur, j’ai l’impression que les profs balancent plein de formules dans tous les sens sans forcément d’applications en exemple et que c’est à toi ensuite à farfouiller et comprendre le cours.
Ça dépend peut être des profs aussi mais de tous mes profs en science à la fac c’était comme ça
Ce que je voulais dire par « pédagogique » c’est pas forcément que ça l’est mais que comparé aux études supérieures je trouve ça beaucoup plus facile et mieux expliqué.
De ce que j’ai pu remarquer, au collège et au lycée, indépendamment du prof, il y a tout de meme beaucoup d’exercices différents pour apprendre à utiliser une formule ou autre, ça va assez lentement dans son ensemble.
Dans le supérieur, j’ai l’impression que les profs balancent plein de formules dans tous les sens sans forcément d’applications en exemple et que c’est à toi ensuite à farfouiller et comprendre le cours.
Ça dépend peut être des profs aussi mais de tous mes profs en science à la fac c’était comme ça
Mmmh..
Mais du coup, plus ça va, et plus c'est lourd de vivre avec mon copain. J'ai déjà songé mille fois à le quitter à cause de sa famille. Si ça avait été un mec qui s'en tape de sa famille, pas de soucis. Mais là il jongle entre moi qui les hais, et sa famille dont il est proche. C'est pas serein.. Je me demande pourquoi ça impacte autant ma vision de notre couple. Pourquoi j'ai de telles réactions physiques quand même j'entends la sonnerie du téléphone et où je sais que c'est eux. Je les ai connus 1 an avant de m'installer avec lui, et je les voyais la moitié de la semaine, dormait là bas. On dirait que cette famille m'a traumatisée. Pourtant de base, je suis une fille chill, j'ai un bon relationnel (la famille de ex2 je les adorais ! idem famille de l'ex 1). Ca m'interroge..
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Mais du coup, plus ça va, et plus c'est lourd de vivre avec mon copain. J'ai déjà songé mille fois à le quitter à cause de sa famille. Si ça avait été un mec qui s'en tape de sa famille, pas de soucis. Mais là il jongle entre moi qui les hais, et sa famille dont il est proche. C'est pas serein.. Je me demande pourquoi ça impacte autant ma vision de notre couple. Pourquoi j'ai de telles réactions physiques quand même j'entends la sonnerie du téléphone et où je sais que c'est eux. Je les ai connus 1 an avant de m'installer avec lui, et je les voyais la moitié de la semaine, dormait là bas. On dirait que cette famille m'a traumatisée. Pourtant de base, je suis une fille chill, j'ai un bon relationnel (la famille de ex2 je les adorais ! idem famille de l'ex 1). Ca m'interroge..
Dernière édition :
@Astipalaya
En vrai, j'ai d'autre "symptome" qui me font penser au TDA (gestion du temps calamiteuse, genre, je m'attends vraiment à faire quelque chose en 1h alors que finalement, ça me prend la matinée
, le fait d'être motivé à travailler et + efficace uniquement quand j'arrive proche de la deadline, que je me force à paraitre enjoué pour des trucs parce que si je suis naturelle, je donne l'impression de m'en foutre de tout, très mauvaise dans la gestion de projet ce qui m'a value des déconvenue dans mon ancien taff, etc); mais j'ai toujours eut de facilité niveau scolaire et en lisant des trucs sur le TDA, j'avais l'impression que école+TDA c'était plutôt incompatible 
(en plus du fait de pouvoir rester concentré dans certains cas et de pas être lunatique ou impulsive). mais du coup, je savais pas qu'une personne avec un TDA pouvait lire plusieurs heures sans problème 
(quand j'aime vraiment et que j'ai le temps, je peux monter à 10-12h/j)
@pikalovescoke
merci pour ton avis ! Mais du coup, à partir de quel moment on considère que c'est un handicap? Dans mon cas, c'est associé à une "perte d'efficacité" qui a posé problème dans mon premier taff et à fait que je me suis réorienté vers un métier plus technique, "simple" et répétitif (plus je fais tjr la même chose, moins j'ai de risque de faire d'erreur, je crois?). Au final, même si je vis moins mal ma situation dans ce genre de taff, c'est pas la panacée non plus et je finis au bout de quelques mois avec une estime de mois dans les chaussettes à accumuler les petites erreurs, et je vois aussi que mes collègues changent l'image qu'ils ont de moi, vu que dans un premier temps je "comprend vite" et qu'on excuse mes erreurs et ma lenteur par le fait que je sois nouvelle (mais commeça s'améliore pas après, bon..). C'est pas encore le cas dans mon travail actuel (seulement 2 mois que j'y suis), mais ça l'a été dans mon deuxième taff et j'ai un peu l'impression que le schéma se reproduit. Ca fait aussi que j'oserais pas demander d'augmentation parce que je suis moi-même pas satisfaite de ce que je fais
D'ailleurs, je trouve pas que mon travail actuel nécessite de faire pleins de chose différentes, je le trouve plutôt chill par rapport à d'autre. Là, ce que j'ai peut-être oublié de faire, c'est une tâche que je suis censé faire une fois/semaine et que je fais depuis que je suis arrivée donc il y a 12 semaines... (c'est un truc pris dans un ensemble, mais en gros, ce serait comme rappuyer sur un bouton pour relancer la machine avant de partir)
Après, je ne m'oriente plus spécialement sur le TDA (est-ce que j'ai passé ma soirée hier à relire de la doc sur le sujet et que je me repose la question? Non pas du tout
), mais c'est un truc que je vis vraiment mal, associé avec d'autres problèmes qui fait que je subis le salariat et que j'angoisse facilement (j'ai pleuré quand j'ai eu le retour de mon entretien qui m'ont dit qu'ils me prenaient et c'était pas de joie... pourtant le poste répond beaucoup à ce que je souhaite)
@Valentina-
J'en suis désolé pour toi, et en même temps, je me sens un peu moins seule
est-ce qu'on peut monter une communauté de gens comme nous où on sera ultra compréhensif les uns les autres, on se prendra pas pour des débiles ou pour des personnes qui manquent de motivation? 
@Valentina- @Patacha
Mais du coup, vous arrivez à gérer ça comment au travail, pour garder un poste ou ne pas dégrader totalement votre estime de vous?
En vrai, j'ai d'autre "symptome" qui me font penser au TDA (gestion du temps calamiteuse, genre, je m'attends vraiment à faire quelque chose en 1h alors que finalement, ça me prend la matinée
, le fait d'être motivé à travailler et + efficace uniquement quand j'arrive proche de la deadline, que je me force à paraitre enjoué pour des trucs parce que si je suis naturelle, je donne l'impression de m'en foutre de tout, très mauvaise dans la gestion de projet ce qui m'a value des déconvenue dans mon ancien taff, etc); mais j'ai toujours eut de facilité niveau scolaire et en lisant des trucs sur le TDA, j'avais l'impression que école+TDA c'était plutôt incompatible (en plus du fait de pouvoir rester concentré dans certains cas et de pas être lunatique ou impulsive). mais du coup, je savais pas qu'une personne avec un TDA pouvait lire plusieurs heures sans problème (quand j'aime vraiment et que j'ai le temps, je peux monter à 10-12h/j)@pikalovescoke
merci pour ton avis ! Mais du coup, à partir de quel moment on considère que c'est un handicap? Dans mon cas, c'est associé à une "perte d'efficacité" qui a posé problème dans mon premier taff et à fait que je me suis réorienté vers un métier plus technique, "simple" et répétitif (plus je fais tjr la même chose, moins j'ai de risque de faire d'erreur, je crois?). Au final, même si je vis moins mal ma situation dans ce genre de taff, c'est pas la panacée non plus et je finis au bout de quelques mois avec une estime de mois dans les chaussettes à accumuler les petites erreurs, et je vois aussi que mes collègues changent l'image qu'ils ont de moi, vu que dans un premier temps je "comprend vite" et qu'on excuse mes erreurs et ma lenteur par le fait que je sois nouvelle (mais commeça s'améliore pas après, bon..). C'est pas encore le cas dans mon travail actuel (seulement 2 mois que j'y suis), mais ça l'a été dans mon deuxième taff et j'ai un peu l'impression que le schéma se reproduit. Ca fait aussi que j'oserais pas demander d'augmentation parce que je suis moi-même pas satisfaite de ce que je fais
D'ailleurs, je trouve pas que mon travail actuel nécessite de faire pleins de chose différentes, je le trouve plutôt chill par rapport à d'autre
. Là, ce que j'ai peut-être oublié de faire, c'est une tâche que je suis censé faire une fois/semaine et que je fais depuis que je suis arrivée donc il y a 12 semaines... (c'est un truc pris dans un ensemble, mais en gros, ce serait comme rappuyer sur un bouton pour relancer la machine avant de partir)Après, je ne m'oriente plus spécialement sur le TDA (est-ce que j'ai passé ma soirée hier à relire de la doc sur le sujet et que je me repose la question? Non pas du tout
), mais c'est un truc que je vis vraiment mal, associé avec d'autres problèmes qui fait que je subis le salariat et que j'angoisse facilement (j'ai pleuré quand j'ai eu le retour de mon entretien qui m'ont dit qu'ils me prenaient et c'était pas de joie... pourtant le poste répond beaucoup à ce que je souhaite)@Valentina-
J'en suis désolé pour toi, et en même temps, je me sens un peu moins seule
est-ce qu'on peut monter une communauté de gens comme nous où on sera ultra compréhensif les uns les autres, on se prendra pas pour des débiles ou pour des personnes qui manquent de motivation?
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@Valentina- @Patacha
Mais du coup, vous arrivez à gérer ça comment au travail, pour garder un poste ou ne pas dégrader totalement votre estime de vous?
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