je te conseille de gouté du yerba maté, perso l'année dernière je l'avais gouté ici , c'est spécial comme goût mais plus sain que le café je trouve.@KittyKiller fort intéressant ce breuvage, merci du tuyauJ'adore les dattes donc je pourrais facilement tester maison avec la recette donnée pour pas me ruiner dans cette affaire, trop cool !
Je ne crois pas connaître la saveur du yerba maté. Dommage pour la caféine car ça a l'air meilleur que le Y****h(enfin, selon mes goûts)
Je me demande...
- Initiateur de la discussion Lemon Juice
- Date de début
@Chat-au-Chocolat Ma mère a toujours divisé par deux ou trois les quantités de sucre des recettes qu'elle suivait, et ça restait très bon, voire meilleur puisque pas écœurant (et bien plus savoureux). Comme toi, j'ai beaucoup de mal avec les gâteaux "à l'extérieur" parce que trop sucrés.
Pourtant @Artifice a raison, la quantité de sucre a à voir avec la texture mais personnellement je n'ai jamais vu aucune différence.
Pourtant @Artifice a raison, la quantité de sucre a à voir avec la texture mais personnellement je n'ai jamais vu aucune différence.
Je me demande comment vous faites pour vous faire des amis ? (à l'âge adulte)
J'ai toujours eu de grosses difficultés à me faire des amis, et quand j'étais plus jeune, dans chaque établissement que je fréquentais je devenais amie avec UNE personne et c'était très intense, très exclusif. Il faut aussi savoir que je suis très timide et que je souffre d'anxiété sociale. J'ai réussi à dépasser ça depuis que j'ai quitté le lycée, j'ai gardé deux amies mais la distance fait qu'on se voit peu. J'ai réussi à créer quelques liens avec des gens pendant mes études supérieures mais rien de vraiment profond. Un peu plus avec un gars avec qui j'ai fait des manifestations mais en fait maintenant je réalise que ça m'angoisse un peu de devenir intime avec quelqu'un (parce que devenir ami avec quelqu'un c'est intime, c'est lui révéler des choses de nous, c'est parler avec le coeur...). Je pense aussi que j'ai toujours quelque part en moi ce fonctionnement exclusif et que j'ai du mal à être intime avec plusieurs personnes : j'ai mon chéri, je lui raconte ma journée, mes pensées. Pourtant je sens bien que y a des fois où je voudrais parler à quelqu'un d'autre, faire des choses avec quelqu'un d'autre (mes activités n'intéressent pas toujours mon chéri, même s'il répond souvent présent).
Bref, là je me suis inscrite dans une association et j'ai découvert que l'une des bénévoles habite dans ma ville. Je lui ai proposé d'aller boire un verre un jour, pour l'instant elle n'est pas dispo mais elle reviendra vers moi quand elle le sera. Et je suis archi stressée parce qu'elle a l'air bien sympathique, mais j'ai peur qu'on n'ait rien à se dire pendant le verre. Comment commencer ? Est-ce que le verre c'est le bon premier contact ? Comment vous faites vous ? (Je me permets de taguer @MorganeGirly parce que j'ai le souvenir que tu avais écrit que tu te forçais à proposer des sorties à des gens avec qui tu n'étais pas amie et que c'était comme ça que tu créais les liens). De quoi parler, lancer des sujets, etc etc. Et en même temps c'est détente quoi, c'est pas un premier date
je sais que si j'y mets trop d'enjeu ça va capoter
J'ai toujours eu de grosses difficultés à me faire des amis, et quand j'étais plus jeune, dans chaque établissement que je fréquentais je devenais amie avec UNE personne et c'était très intense, très exclusif. Il faut aussi savoir que je suis très timide et que je souffre d'anxiété sociale. J'ai réussi à dépasser ça depuis que j'ai quitté le lycée, j'ai gardé deux amies mais la distance fait qu'on se voit peu. J'ai réussi à créer quelques liens avec des gens pendant mes études supérieures mais rien de vraiment profond. Un peu plus avec un gars avec qui j'ai fait des manifestations mais en fait maintenant je réalise que ça m'angoisse un peu de devenir intime avec quelqu'un (parce que devenir ami avec quelqu'un c'est intime, c'est lui révéler des choses de nous, c'est parler avec le coeur...). Je pense aussi que j'ai toujours quelque part en moi ce fonctionnement exclusif et que j'ai du mal à être intime avec plusieurs personnes : j'ai mon chéri, je lui raconte ma journée, mes pensées. Pourtant je sens bien que y a des fois où je voudrais parler à quelqu'un d'autre, faire des choses avec quelqu'un d'autre (mes activités n'intéressent pas toujours mon chéri, même s'il répond souvent présent).
Bref, là je me suis inscrite dans une association et j'ai découvert que l'une des bénévoles habite dans ma ville. Je lui ai proposé d'aller boire un verre un jour, pour l'instant elle n'est pas dispo mais elle reviendra vers moi quand elle le sera. Et je suis archi stressée parce qu'elle a l'air bien sympathique, mais j'ai peur qu'on n'ait rien à se dire pendant le verre. Comment commencer ? Est-ce que le verre c'est le bon premier contact ? Comment vous faites vous ? (Je me permets de taguer @MorganeGirly parce que j'ai le souvenir que tu avais écrit que tu te forçais à proposer des sorties à des gens avec qui tu n'étais pas amie et que c'était comme ça que tu créais les liens). De quoi parler, lancer des sujets, etc etc. Et en même temps c'est détente quoi, c'est pas un premier date
je sais que si j'y mets trop d'enjeu ça va capoter 
@OhRose
Je ne sais pas si c'est moi qui ai écrit ça (je ne me reconnais pas trop dans le fait de me "forcer" à proposer des sorties), mais je me débrouille plutôt bien pour les conversations avec n'importe qui
Donc je vais décrire comment ça se passe pour moi (même si c'est dur à "analyser"). Je ne sais pas trop à quel point ça pourra t'être utile mais comme tu m'as taguée et que tu demandes des idées de conversation je me dis allons-y
La première chose, c'est que quand j'étais plus jeune et très timide, je n'osais pas trop poser des questions aux gens car j'avais peur d'être indiscrète. Donc souvent, je ne leur demandais rien sur eux s'ils n'en parlaient pas
Maintenant, je fais l'inverse. Je pose tout le temps plein de questions aux gens pour apprendre à les connaitre. J'essaye de ne pas trop me poser la question de si c'est indiscret ou pas, car bien souvent les gens aiment qu'on s'intéresse à eux et si tu as quand même un minimum d'empathie et de sens des conventions sociales (je dis "un minimum" pas dans le sens péjoratif car je suis consciente que tout le monde n'a pas ça, donc c'est plus une vraie hypothèse), tu te rendras compte s'ils n'ont pas envie de parler de ce sujet.
Mais ceci dit pour pas paraitre trop curieuse-de-quoi-je-me-mêle, la première partie de la conversation, je commence par poser des questions sur les choses qu'on a en commun. Dans ton cas par exemple, depuis combien de temps elle est bénévole, quels projets elle a fait, est-ce que ça lui plait, est-ce qu'elle fait d'autres bénévolats, etc.
La clé à ce moment de la conversation, c'est de repérer les choses que vous avez en commun et qui peuvent vous intéresser toutes les deux. Par exemple, imaginons qu'elle te raconte qu'elle fait du bénévolat car sa tante était là avant, et l'a emmenée, et elle a trouvé ça sympa. Là, tu ne vois rien en commun, donc tu poses d'autres questions pour la pousser à développer un peu. Et à un moment, peut-être qu'elle va te dire quelque chose du genre "ma tante était super investie dans une association de fans de vélo, j'ai essayé mais je me sens pas à l'aise à vélo", et toi tu es pas hyper à l'aise à vélo, ben du coup, tu vas lui dire "ah moi aussi" et partager ton expérience à vélo, et peut-être que ça va ouvrir une conversation marrante et sympa sur le sujet.
Ensuite, quand la conversation s'épuise, tu vas rebondir sur un truc qu'elle disait plus tôt et qui peut potentiellement t'intéresser mais que tu n'avais pas relevé au moment où elle l'a dit.
Par exemple "tu disais que ta tante habitant à Perpignan. Ta famille est de là-bas?"
Et petit à petit, tu commences à aller vers des sujets plus personnels si tu sens que la personne est ouverte.
L'idéal aussi, c'est de trouver un sujet de conversation que vous aimez toutes les deux beaucoup. En général, on s'y retrouve souvent niveau loisirs. Moi par exemple, quand je sais pas quoi dire à un mec que je connais pas trop, avec qui je n'ai pas spécialement l'intention de flirter mais je suis un peu obligée de lui faire la conversation pour xyz raisons, dans au moins 50% des cas, si je lance le sujet du sport, ça tourne en très bon moment. Parce que moi j'aime bien parler d'un sport spécifique, et si c'est le cas en face, c'est parfait pour passer un moment sympa sans connaitre la personne. A tel point que je suis souvent déçue quand je tâte le terrain sur le sujet du sport et que le gars me répond "je regarde pas du tout le sport" Sinon, ce qui peut bien marcher, ça va être de trouver un jeu vidéo ou une série que vous pourriez avoir en commun, ou un concert, ou que sais-je. En gros, si la conversation va sur un sujet qui procure des émotions positives à la personne, il y a de bonnes chances qu'elle soit contente d'en parler. C'est d'ailleurs pour ça que beaucoup de parents sont intarissables si tu les lances sur le sujet de leurs enfants et que tu les relances avec intérêt
Bref, mon conseil, c'est donc de procéder par étape :
- Poser des questions à la personne sur ce que tu sais d'elle, donc les choses que vous avez en commun/qui vous ont mis en relation
- Identifier les sujets qui vous rapprochent ou qui te permettraient de mieux comprendre qui est cette personne pour pouvoir poser d'autres questions et creuses davantage
- Partager tes anecdotes et histoires si ça permet de créer une connexion par rapport à ce que la personne vient de dire
- Ne pas hésiter à tester des questions sur des loisirs parce que ça marche souvent bien
- Partir sur des sujets plus personnels quand la conversation devient plus décontractée
- Si vraiment la conversation s'éteint et tu ne vois pas sur quoi rebondir, tu peux toujours essayer de raconter une anecdote en rapport avec quelque chose que tu vois (par exemple, tu vois un chien blanc qui se balade, tu fais "oh t'as vu ce chien, ça me rappelle ce film xyz").
Evidemment, ça parait très schématique et organisé ce que je dis, mais j'essaye d'analyser comment je fonctionne. En général, c'est plus naturel. Et je pense que c'est aussi une questions d'entrainement de savoir faire la conversation (pas pour rien qu'à l'époque de Bridgerton, les jeunes de bonne famille apprenaient à converser!), mais il faut bien commencer quelque part et plus tu "pratiques", plus tu vas réussir à combler les moments de blanc et de gêne.
Et s'il y a des moments de blanc et de gêne, c'est pas très grave. Une personne sociable cherchera à rebondir, une personne moins sociable sera probablement moins gênée de toute façon.
Bref, je pense qu'on peut avoir des choses à dire à n'importe qui! Mais pour réussir à avoir des sujets de conversation et entretenir une conversation, un point vraiment important, c'est de vraiment écouter ce que dit la personne, et d'être en mode écoute active, sinon on ne trouve effectivement rien sur quoi rebondir et la conversation meurt.
Je ne sais pas si c'est moi qui ai écrit ça (je ne me reconnais pas trop dans le fait de me "forcer" à proposer des sorties), mais je me débrouille plutôt bien pour les conversations avec n'importe qui
Donc je vais décrire comment ça se passe pour moi (même si c'est dur à "analyser"). Je ne sais pas trop à quel point ça pourra t'être utile mais comme tu m'as taguée et que tu demandes des idées de conversation je me dis allons-y
La première chose, c'est que quand j'étais plus jeune et très timide, je n'osais pas trop poser des questions aux gens car j'avais peur d'être indiscrète. Donc souvent, je ne leur demandais rien sur eux s'ils n'en parlaient pas
Maintenant, je fais l'inverse. Je pose tout le temps plein de questions aux gens pour apprendre à les connaitre. J'essaye de ne pas trop me poser la question de si c'est indiscret ou pas, car bien souvent les gens aiment qu'on s'intéresse à eux et si tu as quand même un minimum d'empathie et de sens des conventions sociales (je dis "un minimum" pas dans le sens péjoratif car je suis consciente que tout le monde n'a pas ça, donc c'est plus une vraie hypothèse), tu te rendras compte s'ils n'ont pas envie de parler de ce sujet.
Mais ceci dit pour pas paraitre trop curieuse-de-quoi-je-me-mêle, la première partie de la conversation, je commence par poser des questions sur les choses qu'on a en commun. Dans ton cas par exemple, depuis combien de temps elle est bénévole, quels projets elle a fait, est-ce que ça lui plait, est-ce qu'elle fait d'autres bénévolats, etc.
La clé à ce moment de la conversation, c'est de repérer les choses que vous avez en commun et qui peuvent vous intéresser toutes les deux. Par exemple, imaginons qu'elle te raconte qu'elle fait du bénévolat car sa tante était là avant, et l'a emmenée, et elle a trouvé ça sympa. Là, tu ne vois rien en commun, donc tu poses d'autres questions pour la pousser à développer un peu. Et à un moment, peut-être qu'elle va te dire quelque chose du genre "ma tante était super investie dans une association de fans de vélo, j'ai essayé mais je me sens pas à l'aise à vélo", et toi tu es pas hyper à l'aise à vélo, ben du coup, tu vas lui dire "ah moi aussi" et partager ton expérience à vélo, et peut-être que ça va ouvrir une conversation marrante et sympa sur le sujet.
Ensuite, quand la conversation s'épuise, tu vas rebondir sur un truc qu'elle disait plus tôt et qui peut potentiellement t'intéresser mais que tu n'avais pas relevé au moment où elle l'a dit.
Par exemple "tu disais que ta tante habitant à Perpignan. Ta famille est de là-bas?"
Et petit à petit, tu commences à aller vers des sujets plus personnels si tu sens que la personne est ouverte.
L'idéal aussi, c'est de trouver un sujet de conversation que vous aimez toutes les deux beaucoup. En général, on s'y retrouve souvent niveau loisirs. Moi par exemple, quand je sais pas quoi dire à un mec que je connais pas trop, avec qui je n'ai pas spécialement l'intention de flirter mais je suis un peu obligée de lui faire la conversation pour xyz raisons, dans au moins 50% des cas, si je lance le sujet du sport, ça tourne en très bon moment. Parce que moi j'aime bien parler d'un sport spécifique, et si c'est le cas en face, c'est parfait pour passer un moment sympa sans connaitre la personne. A tel point que je suis souvent déçue quand je tâte le terrain sur le sujet du sport et que le gars me répond "je regarde pas du tout le sport"
Sinon, ce qui peut bien marcher, ça va être de trouver un jeu vidéo ou une série que vous pourriez avoir en commun, ou un concert, ou que sais-je. En gros, si la conversation va sur un sujet qui procure des émotions positives à la personne, il y a de bonnes chances qu'elle soit contente d'en parler. C'est d'ailleurs pour ça que beaucoup de parents sont intarissables si tu les lances sur le sujet de leurs enfants et que tu les relances avec intérêt Bref, mon conseil, c'est donc de procéder par étape :
- Poser des questions à la personne sur ce que tu sais d'elle, donc les choses que vous avez en commun/qui vous ont mis en relation
- Identifier les sujets qui vous rapprochent ou qui te permettraient de mieux comprendre qui est cette personne pour pouvoir poser d'autres questions et creuses davantage
- Partager tes anecdotes et histoires si ça permet de créer une connexion par rapport à ce que la personne vient de dire
- Ne pas hésiter à tester des questions sur des loisirs parce que ça marche souvent bien
- Partir sur des sujets plus personnels quand la conversation devient plus décontractée
- Si vraiment la conversation s'éteint et tu ne vois pas sur quoi rebondir, tu peux toujours essayer de raconter une anecdote en rapport avec quelque chose que tu vois (par exemple, tu vois un chien blanc qui se balade, tu fais "oh t'as vu ce chien, ça me rappelle ce film xyz").
Evidemment, ça parait très schématique et organisé ce que je dis, mais j'essaye d'analyser comment je fonctionne. En général, c'est plus naturel. Et je pense que c'est aussi une questions d'entrainement de savoir faire la conversation (pas pour rien qu'à l'époque de Bridgerton, les jeunes de bonne famille apprenaient à converser!), mais il faut bien commencer quelque part et plus tu "pratiques", plus tu vas réussir à combler les moments de blanc et de gêne.
Et s'il y a des moments de blanc et de gêne, c'est pas très grave. Une personne sociable cherchera à rebondir, une personne moins sociable sera probablement moins gênée de toute façon.
Bref, je pense qu'on peut avoir des choses à dire à n'importe qui! Mais pour réussir à avoir des sujets de conversation et entretenir une conversation, un point vraiment important, c'est de vraiment écouter ce que dit la personne, et d'être en mode écoute active, sinon on ne trouve effectivement rien sur quoi rebondir et la conversation meurt.
Dernière édition :
@MorganeGirly, t'es plus claire qu'un manuel Ikea premier degrés
Je me demande comment on fait pour accéder à la propriété 
Par curiosité j’ai fait une simulation de prêt (pas avec un conseiller, juste les petites rubriques qui apparaissent sur les sites des banques) et le résultat dans mon cas était de 122 000€.
Avec cette somme il n’y a vraiment rien dans le coin où je vis
Par curiosité j’ai fait une simulation de prêt (pas avec un conseiller, juste les petites rubriques qui apparaissent sur les sites des banques) et le résultat dans mon cas était de 122 000€.
Avec cette somme il n’y a vraiment rien dans le coin où je vis
@Prunylle il y à plusieurs façons d’accéder à la propriété. Tu peux acheter petit, habiter quelques années dedans et revendre pour plus gros (la vente du petit bien permet de constituer l’apport du second). Il y en a aussi qui habitent chez papa/maman ou la tante Germaine à titre gracieux le temps de se constituer un apport.
Et tu peux aussi être propriétaire sans habiter le logement, tu peux acheter un bien pour le louer à quelqu’un d’autre ou en Airbnb, tu peux aussi acheter des parts de SCPI pour quelques centaines d’euros ou via un crédit immobilier.
Et tu peux aussi être propriétaire sans habiter le logement, tu peux acheter un bien pour le louer à quelqu’un d’autre ou en Airbnb, tu peux aussi acheter des parts de SCPI pour quelques centaines d’euros ou via un crédit immobilier.
M
Membre supprimé 334633
Guest
Je me demande pourquoi beaucoup de gens sur instagram et twitter "censurent" des mots comme racisme, décolonialisme, viol... ? Censurer n'est pas le bon mot mais iels écrivent r4cisme, d3colonialism3, vi0l par exemple. Quelqu'une sait pourquoi?
M
Membre supprimé 50439
Guest
@Unefougère @Unefougère les algorithmes censurent (pas officiellement) les posts qui contiennent ces mots. Cet article l’explique bien : https://www.telerama.fr/plateformes...-tiktok-et-autres-reseaux-sociaux-7018644.php
M
Membre supprimé 334633
Guest
@shampoo_ merci! Pfff par contre relayer des fakes news et de la propagande d'extrême droite ça passe crème hein.
Je me demande si ça vous arrive aussi d’avoir votre linge propre qui sent pas ouf après plusieurs semaines sans être utilisé?
J’en ai parlé à plusieurs personnes et ils disent qu’ils ne voient pas de quoi je parle car ils n’ont pas du tout ce problème. Une collègue m’a dit qu’elle voyait de quoi je parle mais qu’en changeant ma lessive, ça devrait s’arranger, et ma coloc me dit qu’elle n’a pas du tout ce problème et croyait que je parlais de l’odeur du linge quand il a mal séché. Quand je dis “le linge qui sent une sorte d’odeur de renfermé pour le linge”, elle ne voit pas du tout.
Je ne comprends pas pourquoi c’est que moi car
1) J’ai plusieurs lessives que j’utilise alternativement donc ça ne peut pas être une lessive en particulier
2) ça me fait ça aussi bien dans un placard fermé ou sur des étagères ouvertes à l’air libre
3) j’ai vécu dans plusieurs maisons et pays, avec différentes machines à laver et le problème revient tout le temps
4) ma coloc et moi on vit littéralement au même endroit donc si c’était l’atmosphère de la maison, on aurait le même problème?
Ce que je ne comprends pas non plus, c’est qu’il y a parfois des vêtements/linge qui échappent à cette odeur après des mois sans utilisation et d’autres qui semblent les chopper en quelques semaines.
Donc pourquoi est-ce personne ne semble voir de quoi je parle? Est-ce que je fais un truc avec mon linge qui cause ça chez moi et que du coup les autres n’ont pas?
Ou alors cette odeur qui me paraît ultra désagréable n’est pas classée comme particulièrement mauvaise par les autres et du coup, ils ne comprennent pas ce que j’explique?
Vous avez ce problème, vous?
J’en ai parlé à plusieurs personnes et ils disent qu’ils ne voient pas de quoi je parle car ils n’ont pas du tout ce problème. Une collègue m’a dit qu’elle voyait de quoi je parle mais qu’en changeant ma lessive, ça devrait s’arranger, et ma coloc me dit qu’elle n’a pas du tout ce problème et croyait que je parlais de l’odeur du linge quand il a mal séché. Quand je dis “le linge qui sent une sorte d’odeur de renfermé pour le linge”, elle ne voit pas du tout.
Je ne comprends pas pourquoi c’est que moi car
1) J’ai plusieurs lessives que j’utilise alternativement donc ça ne peut pas être une lessive en particulier
2) ça me fait ça aussi bien dans un placard fermé ou sur des étagères ouvertes à l’air libre
3) j’ai vécu dans plusieurs maisons et pays, avec différentes machines à laver et le problème revient tout le temps
4) ma coloc et moi on vit littéralement au même endroit donc si c’était l’atmosphère de la maison, on aurait le même problème?
Ce que je ne comprends pas non plus, c’est qu’il y a parfois des vêtements/linge qui échappent à cette odeur après des mois sans utilisation et d’autres qui semblent les chopper en quelques semaines.
Donc pourquoi est-ce personne ne semble voir de quoi je parle? Est-ce que je fais un truc avec mon linge qui cause ça chez moi et que du coup les autres n’ont pas?
Ou alors cette odeur qui me paraît ultra désagréable n’est pas classée comme particulièrement mauvaise par les autres et du coup, ils ne comprennent pas ce que j’explique?
Vous avez ce problème, vous?
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