@pikalovescoke : Bonjour, je m'incruste un peu dans ta conversation, et pardon si c'est maladroit de ma part, simplement, en te lisant, j'ai eu envie de te lancer une idée, à laquelle tu as peut-être déjà pensé…
Je sais combien "l'emprise familiale", même si parfois insidieuse, peut être pesante et limitante, et combien il est difficile de s'en défaire, malgré les bons conseils de ceux qui prônent l'autonomie, etc.
Je pense que lorsque l'on est dans ce type de situation, il faut trouver une orientation qui d'une part, et avant toute chose, te plaise, autrement tu vas droit à la dépression, et d'autre part, sache convaincre tes parents (je sais que l'on va me dire que qu'on n'a pas à convaincre nos parents, que c'est notre vie, etc. Mais parfois, c'est difficile d'être dans cette dynamique, alors afin d'éviter soit la rupture familiale complète, soit l'effondrement de la personne, il faut bien trouver des compromis).
Et donc, tu dis faire actuellement de la psychologie, mais que tu n'es pas sûre de vouloir en faire ton métier, et qu'en réalité, c'est l'équitation ou tout du moins les chevaux qui te passionnent, pourquoi ne t'orienterais-tu pas vers le métier de comportementaliste animalier, spécialisé dans l'équitation ? Tu pourrais ainsi évoluer dans le monde des courses et autres. Je suis sûre que ça intéresserait beaucoup de compétiteurs (… et ça pourrait te permettre par la même occasion, pourquoi pas, de multiplier tes chances d'avoir un cheval, sinon à toi, au moins des petits pensionnaires…). Autrement, il y a l'équithérapie qui est intéressante…
Bref, il y a plusieurs possibilités qui s'offrent à toi, à toi de faire preuve de créativité !
Courage, tu finiras bien par trouver ta voie !