@123pourquoi Et donc c'est toi qui décide de manière arbitraire ce qui est une fraude "compréhensible" et ce qui ne l'est pas ?
Le problème c'est pas que tu utilises le mot "fraude" en fait. Je me doute bien qu'il y a des gens qui "fraudent" les aides au sens strict du terme. Le problème c'est tout l'imaginaire que tu y associes ("profiteurs", "se laisser vivre"). Tu ne sais pas pourquoi les gens fraudent (la bourse ou autre), peut-être qu'iels sont en grande souffrance, qu'iels peinent à trouver leur place dans le monde professionnel, peut-être qu'iels sont lassé.e.s par le monde du travail.
Et même si ces personnes veulent vraiment se la "couler douce" et disons, pour prendre un exemple un peu extrême, utiliser leur bourse pour faire des voyages, faire la fête ou je ne sais quoi. Quel est le problème en fait ? Sans travailler, en touchant la bourse et les APL, on peut grand max toucher 700-800 euros (et je le rappelle, seulement 6,5% des boursiers le sont à l'échelon max). Y a pas de quoi vivre comme un prince hein.
Pour moi, même si une personne souhaitait ne "rien" faire de sa vie, elle devrait pourvoir toucher une somme décente pour simplement vivre. Si l'argent était mieux réparti en France ça pourrait être le cas. (mais c'est là où nos opinions divergent j'imagine)
Et sinon je n'ai pas de préjugés envers tes opinions, j'ai déja lu suffisamment de tes messages sur ce genre de sujet pour avoir une idée de tes opinions. Rien que le fait que tu interviennes dans cette discussion pour souligner qu'il y a bien des "profiteurs" de bourse et que c'est une réalité en dit long sur tes opinions. Je suis pratiquement sûre que si on avait parlé de fraude fiscale on ne t'aurait pas entendue sur le sujet (ou alors tu serais intervenue pour parler du fait qu'on est trop taxé en France...).
Je suis tout à fait d'accord avec ta vision des aides sociales
@Auburn. Je ne comprends pas comment on peut se permettre de juger la façon dont les personnes qui touchent des aides utilisent leur argent. Il ne faut pas oublier que les aides visent à compenser des inégalités sociales, qui commencent dès la naissance.