J'ai pas fait de sport depuis 2013, date de mon bac de sport, et je pète le feu ! 
Je m'en veux de penser ça mais...
- Initiateur de la discussion Ipsie
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S
Sadala
Guest
J'ai pas fait de sport depuis 2013, date de mon bac de sport, et je pète le feu !
Tu es confiné depuis 2013 ? Ça doit commencer à faire long.
Je m'en veux de penser ça mais les dialogues de sourds m'épuisent un peu 
J'écris à une pote de manière hyper claire :
"Est-ce que tu as des preuves de ton envoi ? Tu as gardé l'accusé de réception des courriers que t'as envoyés ?
- Oui j'ai trouvé des articles de loi qui prouvent que j'ai raison.
- D'accord, mais je veux dire quand tu leur as écrit tu as envoyé ça par lettre recommandée avec accusé de réception?
- De toutes façons s'ils ne me répondent pas je ne peux plus rien faire."
Dialogue de sourds...
J'écris à une pote de manière hyper claire :
"Est-ce que tu as des preuves de ton envoi ? Tu as gardé l'accusé de réception des courriers que t'as envoyés ?
- Oui j'ai trouvé des articles de loi qui prouvent que j'ai raison.
- D'accord, mais je veux dire quand tu leur as écrit tu as envoyé ça par lettre recommandée avec accusé de réception?
- De toutes façons s'ils ne me répondent pas je ne peux plus rien faire."
Dialogue de sourds...
C'est pas vraiment un "je m'en veux", mais plutôt un "j'ai du mal à me positionner".
En gros, un pote (que je connais depuis des années, mais dont je ne suis pas forcément proche) m'a dit quelque chose l'autre soir qui m'a beaucoup choquée (une critique très vive des couples de femmes qui ont recours à la PMA). Sur le coup, ça m'a tellement écoeurée que je n'ai pas répondu. Je sais que lui et moi avons des opinions et valeurs éloignées, qui viennent du fait qu'on a un grand écart d'âge. Il n'est pas très progressiste, et autant jusque là j'argumentais, autant là ça m'a juste séchée.
Et donc ça doit faire une, deux semaines ? Et je n'ai toujours pas répondu. Il m'a relancée, plusieurs fois, et je n'ai absolument pas envie de donner d'explications (on n'était pas très proches après tout), pas la foi de me lancer dans un débat. Et en même temps je m'en veux un peu d'agir ainsi, même si d'un côté je trouve que j'ai de bonnes raisons (ce n'est pas la première fois que je trouve ses propos limites). Mais il y a des choses pour lesquelles je n'ai plus aucune tolérance ni patience, et l'homophobie et le sexisme en font partie.
Bref je ne sais pas trop comment appréhender ça, d'un côté je me dis que je m'en fous, de l'autre ça me gêne de couper les ponts de manière si abrupte (mais je SAIS qu'il n'entendra pas mon avis de toute façon, que mes explications seront vaines).
En gros, un pote (que je connais depuis des années, mais dont je ne suis pas forcément proche) m'a dit quelque chose l'autre soir qui m'a beaucoup choquée (une critique très vive des couples de femmes qui ont recours à la PMA). Sur le coup, ça m'a tellement écoeurée que je n'ai pas répondu. Je sais que lui et moi avons des opinions et valeurs éloignées, qui viennent du fait qu'on a un grand écart d'âge. Il n'est pas très progressiste, et autant jusque là j'argumentais, autant là ça m'a juste séchée.
Et donc ça doit faire une, deux semaines ? Et je n'ai toujours pas répondu. Il m'a relancée, plusieurs fois, et je n'ai absolument pas envie de donner d'explications (on n'était pas très proches après tout), pas la foi de me lancer dans un débat. Et en même temps je m'en veux un peu d'agir ainsi, même si d'un côté je trouve que j'ai de bonnes raisons (ce n'est pas la première fois que je trouve ses propos limites). Mais il y a des choses pour lesquelles je n'ai plus aucune tolérance ni patience, et l'homophobie et le sexisme en font partie.
Bref je ne sais pas trop comment appréhender ça, d'un côté je me dis que je m'en fous, de l'autre ça me gêne de couper les ponts de manière si abrupte (mais je SAIS qu'il n'entendra pas mon avis de toute façon, que mes explications seront vaines).
@Endless Dis lui que tu n'as pas envie de débattre. Et si il s'en fout, peut-être qu'il ne mérite pas que tu le considères comme un ami et que ça te gênera moins de couper les ponts avec lui.
Après, je dis ça, mais c'est surtout le reflet de ma vision de l'amitié. Jamais je ne considèrerai une personne oppressive par hostilité comme une amie.
Après, je dis ça, mais c'est surtout le reflet de ma vision de l'amitié. Jamais je ne considèrerai une personne oppressive par hostilité comme une amie.
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@skippy01 : Tu as raison. Je pense que c'est pour ça que malgré toutes ces années, je ne le vois que comme un vague pote (disons que je n'irai pas l'inviter chez moi). Je crois que je me prends trop la tête, pour changer 
!
!
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@Lord Griffith
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@Elliana
Je m'en veux un peu de penser ça car c'est orgueilleux mais j'ai l'impression d'avoir été la première à penser aux violences conjugales. On voit des articles en parler maintenant mais dès le J1 du confinement pratiquement j'ai pensé : merde y'a des gens qui vont se retrouver enfermés avec des types violents qui en plus seront à cran à cause du chômage technique.
J'en avais même parlé sur le forum.
Sinon je m'en veux de penser ça mais les applaudissements à 20h me stressent. La journée est super calme et d'un coup le vacarme se réveille. Et il met un peu de temps pour redescendre. J'ai l'impression que ça "active" certaines personnes : c'est à dire qu'après les applaudissements et les sifflements on commence à entendre de la musique par les fenêtres ouvertes et des gens qui essayent de relancer les applaudissements 10 minutes après.
Bref pour une introvertie le vacarme me fatigue. Je sais que c'est qu'une fois par jour et que ça dure max 10-15 min (le temps que les extravertis se calment faute de public chez eux ou dehors) mais je le ressens comme une claque. Je suis tranquille chez moi, y'a un silence paisible et d'un coup ces applaudissements.
C'est comme si je dormais et que d'un coup quelqu'un venait me réveiller par une gifle.
En tant qu'introvertie je n'aime pas les manifestations de groupe (les cris, les gens qui sifflent, les célébrations de match, la musique des voisins etc.) Voilà c'est comme ça que je le ressens.
Et je m'en veux de le penser car c'est pour la "bonne" cause...
Je m'en veux un peu de penser ça car c'est orgueilleux mais j'ai l'impression d'avoir été la première à penser aux violences conjugales. On voit des articles en parler maintenant mais dès le J1 du confinement pratiquement j'ai pensé : merde y'a des gens qui vont se retrouver enfermés avec des types violents qui en plus seront à cran à cause du chômage technique.
J'en avais même parlé sur le forum.
Sinon je m'en veux de penser ça mais les applaudissements à 20h me stressent. La journée est super calme et d'un coup le vacarme se réveille. Et il met un peu de temps pour redescendre. J'ai l'impression que ça "active" certaines personnes : c'est à dire qu'après les applaudissements et les sifflements on commence à entendre de la musique par les fenêtres ouvertes et des gens qui essayent de relancer les applaudissements 10 minutes après.
Bref pour une introvertie le vacarme me fatigue. Je sais que c'est qu'une fois par jour et que ça dure max 10-15 min (le temps que les extravertis se calment faute de public chez eux ou dehors) mais je le ressens comme une claque. Je suis tranquille chez moi, y'a un silence paisible et d'un coup ces applaudissements.
C'est comme si je dormais et que d'un coup quelqu'un venait me réveiller par une gifle.
En tant qu'introvertie je n'aime pas les manifestations de groupe (les cris, les gens qui sifflent, les célébrations de match, la musique des voisins etc.) Voilà c'est comme ça que je le ressens.
Et je m'en veux de le penser car c'est pour la "bonne" cause...
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