Je m'en veux de penser ça mais...
- Initiateur de la discussion Ipsie
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J'ai adopté un petit chat dimanche et je m'en veux énormément de penser ça parce que je n'arrive pas à avoir ne serait ce que de l'affection pour lui. Depuis qu'il est la mon autre chat ne vient plus dormir avec moi comme il est sur le lit. Elle me manque énormément, on ne peut plus partager autant de choses. J'en tiens le chaton pour responsable et je culpabilise énormément de penser ça.
Il est mignon, gentil, câlin, mais il m'énerve. Je voudrais qu'il ne soit plus la et qu'elle puisse revenir avec moi pour qu'on retrouve notre relation fusionnelle.
C'est terrible, quand je le regarde je le trouve mignon comme le chat de quelqu'un d'autre.
Il est mignon, gentil, câlin, mais il m'énerve. Je voudrais qu'il ne soit plus la et qu'elle puisse revenir avec moi pour qu'on retrouve notre relation fusionnelle.
C'est terrible, quand je le regarde je le trouve mignon comme le chat de quelqu'un d'autre.
@-Loreleï- si ça peut te rassurer, j’ai adopté un chaton après 2 ans de vie commune avec mon chat et au début, c’était vraiment compliqué : chat Numero 1 ne supportait pas cette intrusion et il a passé deux semaines à se cacher dans un placard (alors qu’il avait toujours été câlin et affectueux). Je m’en suis beaucoup voulue, j ai eu l’impression de le trahir avec le chaton, il me fuyait et se réfugiait loin de moi. Surtout qu’étant mon 1er chat, vous avions partagé plein de choses et je le préférais au nouveau venu (très mignon mais agaçant) (autant j’adore les chats, autant j’ai toujours eu du mal avec les chatons 
) Et petit à petit, au fil des semaines, il est revenu vers moi (il a commencé à avoir faim ), il est devenu copain avec l’autre chat, cet autre chat a complètement gagné mon cœur, et maintenant Tout va bien. Les deux chats me font peut être un peu moins de câlins que s’ils étaient seuls avec moi (je le vois lorsqu’ils sont séparés : le chat qui reste avec moi devient alors plus collant que jamais) mais je me dis que leur complicité est quelque chose que moi même je n’aurais jamais pu leur apporter en tant qu’humain. Et ils dorment tous les deux avec moi lorsqu’ils voient que mon copain n’est pas là. bref J’espère que ça va aller mieux pour tes chats et toi avec un peu de temps !
) Et petit à petit, au fil des semaines, il est revenu vers moi (il a commencé à avoir faim ), il est devenu copain avec l’autre chat, cet autre chat a complètement gagné mon cœur, et maintenant Tout va bien. Les deux chats me font peut être un peu moins de câlins que s’ils étaient seuls avec moi (je le vois lorsqu’ils sont séparés : le chat qui reste avec moi devient alors plus collant que jamais) mais je me dis que leur complicité est quelque chose que moi même je n’aurais jamais pu leur apporter en tant qu’humain. Et ils dorment tous les deux avec moi lorsqu’ils voient que mon copain n’est pas là. bref J’espère que ça va aller mieux pour tes chats et toi avec un peu de temps !
@-Loreleï- Si ton chat est âgé il peut faire une dépression dû à la présence du nouveau chat, c'est malheureusement ce que mon chat à vécu quand on a gardé un chaton pendant une semaine, il s'est complètement replié sur lui même. Il lui faudra peut-être du temps avant qu'elle s'habitue !
@Kirjava En effet je me dis que si ça va mieux entre eux j'aurais plus de facilités à aimer ce chaton (et tout comme toi je préfère clairement les chats adultes, il me fatigue un peu le petit 
heureusement il a déjà presque un an).
@Moriarty' Heureusement je ne crois pas qu'elle fasse de dépression, elle mange normalement, réclame et vient me câliner. Juste elle ne vient plus dans la chambre parce que c'est son terrain à lui.
Merci de vos réponses en tout cas !
heureusement il a déjà presque un an).@Moriarty' Heureusement je ne crois pas qu'elle fasse de dépression, elle mange normalement, réclame et vient me câliner. Juste elle ne vient plus dans la chambre parce que c'est son terrain à lui.
Merci de vos réponses en tout cas !
C
ClemBouBou
Guest
Je m’en veux de penser ça parce que c’est vraiment superficiel mais j’aimerais bien être plus jolie (sans mettre des tonnes de maquillage, ce que je ne fais pas de toute façon).
Je m'en veux de penser ça mais
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JMVDPC mais je n'ai pas envie de rappeler l'ami qui m'a appelée tout à l'heure alors que je rentrais du travail. Cet ami n'a rien d'horrible je vous rassure, mais disons qu'il a plein de temps disponible (il ne travaille pas, a femme de ménage pour ben nettoyer et repasser et sa famille pour tout le reste (y compris l'argent) or moi le temps disponible, c'est un truc que je dois économiser si je veux pouvoir tout faire ! J'ai bossé non stop aujourd'ui (bon oui, j'avoue j'ai pris 30 grosses mins pour manger, la grosse flemmarde) de 7h45 à 18h45 (sachant que je me suis farcie 7h de cours, et qu'une heure de cours heure de cours est considérée en terme d'energie dépensée comme 1h30, et que j'ai encore du taf' pour ce soir, plus ben tout le reste (cuisine - vaisselle - nettoyer - ranger). Donc là entre 19h30 et 00hh, je considère que c'est du temps pour moi, pour travailler, pour décompresser, pour me reposer, et tout ce que je veux, mais je ne veux absolument pas me sentir obligée de passer 1h au tél avec un ami qui va me parler de ses problèmes de princesse aux petits pois entre autres. Je suis sur-sollicitée toute la journée (par les élèves / collègues / parents / l'administration et tout le reste), et le soir qd je rentre, j'ai encore du travail en plus de devoir me farcir tout le reste, et aussi, PLUS le fait que je doive aussi communiquer avec ma famille (oui DOIS). Or le soir j'ai vraiment besoin de ne plus me sentir sous pression, de ne plus ressentir d'obligation (enfin si, mais à mon rythme). Du coup je ressens cette demande d'ami de le rappeler comme une obligation, or des obligations je n'ai que ça (enfin j'en ai l'impression) toute la journée, du coup ben je suis en constant pétage de plomb ! Probablement que cet ami ne veut que me parler et me raconter sa vie, vu qu'on s'est déjà souhaité Noël et la Bonne Année, sauf que moi le soir, après 19h, entre le travail, le repos et les tâches obligatoires, je ne veux /peux plus écouter / parler / subir une conversation forcée avec qui que ce soit une fois rentrée ; je veux juste qu'on me foute la paix, surtout si c'est au final plus pour me raconter ses problèmes que de discuter avec moi pour de vrai !! je sais pas si je suis claire, mais le soir, vraiment, je n'arrive à communiquer quasiment que sur les forums, où je contrôle ce que je dis et lis / entend et peux stopper quand je veux ou ignorer ce que je veux !! Discuter au tél en fait m'use énormément, je préfère l'écrit où je peux plus ou moins tout contrôler...
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Intéressant, je suis donc une sous-bourgeoiseSur la notion de classes et sans passer par des lectures (la plupart des Pinçon-Charlot et leur jeux de société est vraiment pas mal pour apprendre dessus en s'amusant), y a ce test qui est cool: "êtes-vous un.e bourgeois.e", parce qu'il en prend en compte les différents types de capitaux.
pas très flatteur comme mot mais assez exact
Euh, non, faut arrêter le délire de privilégiés là.
On est pas "pauvre" ou "modeste" par rapport "aux 1%" car la pauvreté, ça ne se calcule pas comme ça: il y a des barèmes, des prises en compte d'autres facteurs (configuration familiale, immobilier, lieu de vie, etc).
Croire ça, c'est pour moi une cécité aux réalités socio-économiques qui flirte avec l'indécence (des personnes (réellement) pauvres lisent ce topic), illustrée la référence au fameux "1%": pour moi il n'y a pas pire """outil""" pour penser les inégalités socio-économiques que cette "référence" qui est quand même majoritairement utilisée pour gommer ses privilèges quand on est aisé, c'est vraiment le degré zéro de réflexion je trouve (mais c'est SI pratique pour éviter de réfléchir à la question de la (vraie) pauvreté).
C'est pas grave d'être dans la classe moyenne supérieure, c'est pas grave non plus d'être aisé, comme c'est pas grave d'être privilégié. Mieux: c'est au contraire plutôt (très) cool.
Par contre l'être en le minimisant, en le niant, voire en voulant jouer au pauvre, comme je le croise un peu trop souvent à mon goût dans ma vie perso :
(C'est pas spécifiquement contre toi, cette référence au fameux 1% on la voit partout et je comprends qu'elle soit séduisante, mais c'est vraiment pour moi le summum de la pauvreté (lolilol) de la réflexion sur les classes sociales, les inégalités socio-économiques et le fait qu'elles perdurent, ainsi que sur le classisme. Je déplore de la voir convoquée aussi souvent, ça donne l'illusion que c'est une référence pertinente pour parler de pauvreté et d'inégalités, et du coup elle est très reprise et on continue à la voir convoquer de plus en plus).
(Edit: ah bah du coup j'ai fait le test et il illustre bien tout ce que je déteste dans les discours sur les classes sociales et la pauvreté: beaucoup de questions sont au ras des paquêrettes avec des réponses caricaturales au possible, le capital culturel passe à la trappe et les questions sur l'orientation politique et la devise, wtf c'est quoi le rapport. Et visiblement c'est un discours de gauche... on est pas sorti le c*l des ronces avec ce type de discours simpliste...)
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@TennanTen l'enjeu du test c'est de déterminer si tu appartiens ou pas à la bourgeoisie. Tu peux naître handicapé dans une famille bourgeoise très riche! C'est sûr que ça n'aura pas les mêmes répercussions sur ta vie que si tu viens au monde avec un handicap dans une famille d'ouvriers, mais en soi, même si le handicap peut rendre difficile voire impossible l'accès à certains emplois et donc revenus, je ne crois pas que ce soit un facteur qui détermine l'appartenance à une classe sociale. Par contre dans certains cas ça doit encore plus limiter les possibilités de s'en émanciper.
Édit: après t'as aussi des professions qui sont dures physiquement et qui entraînent des maladies et des handicaps, mais du coup c'est plus une conséquence qu'une cause de l'appartenance à une classe sociale.
Édit: après t'as aussi des professions qui sont dures physiquement et qui entraînent des maladies et des handicaps, mais du coup c'est plus une conséquence qu'une cause de l'appartenance à une classe sociale.
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Moi ce qui me « choque » un peu avec ce quizz c’est que ça parle d’une seule personne et jamais de foyer fiscal, de combien vous êtes dans votre couple, de combien gagne votre partenaire ou si vous avez des enfants.
Parce que gagner 3000€ seul et 3000€ avec un conjoint qui ne travaille pas et 2 enfants par exemple, on est pas du tout dans le même délire.
Parce que gagner 3000€ seul et 3000€ avec un conjoint qui ne travaille pas et 2 enfants par exemple, on est pas du tout dans le même délire.
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