@Sol Invictus Oui bonne remarque pour cette histoire de tailles de fringues
Du coup peut-être qu'on peut dire qu'il y a une pression plus forte pour rester en dessous d'un certain seuil de poids pour les femmes (et ce, dès le plus jeune âge), mais qu'une fois que ce seuil a été dépassé, on s'en prend plein la tête indépendamment de son genre ? Ce raisonnement me semble tenir la route, parce qu'on voit dès l'enfance (et ça ne fait que se confirmer par la suite) que les petites filles sont davantage préoccupées par la question. Et c'est d'ailleurs très triste... De même, on encourage les jeunes adolescents à manger à leur faim et même plus parce qu'ils sont en pleine croissance et que dans l'inconscient collectif, "il faut de ça pour faire un homme", alors qu'au même âge, on recommandera aux jeunes filles de "commencer à faire attention" et de "surveiller leur ligne" (alors qu'elles sont aussi en pleine croissance)
Ça me choquait d'ailleurs beaucoup quand j'étais adolescente. Du coup, on pourrait dire que les femmes sont davantage victimes de la grossophobie indépendamment de leur poids réel, mais que si tu es bel et bien gros.se, tu vas t'en prendre plein la tronche que tu sois un homme ou une femme.
Du coup peut-être qu'on peut dire qu'il y a une pression plus forte pour rester en dessous d'un certain seuil de poids pour les femmes (et ce, dès le plus jeune âge), mais qu'une fois que ce seuil a été dépassé, on s'en prend plein la tête indépendamment de son genre ? Ce raisonnement me semble tenir la route, parce qu'on voit dès l'enfance (et ça ne fait que se confirmer par la suite) que les petites filles sont davantage préoccupées par la question. Et c'est d'ailleurs très triste... De même, on encourage les jeunes adolescents à manger à leur faim et même plus parce qu'ils sont en pleine croissance et que dans l'inconscient collectif, "il faut de ça pour faire un homme", alors qu'au même âge, on recommandera aux jeunes filles de "commencer à faire attention" et de "surveiller leur ligne" (alors qu'elles sont aussi en pleine croissance)
Ça me choquait d'ailleurs beaucoup quand j'étais adolescente. Du coup, on pourrait dire que les femmes sont davantage victimes de la grossophobie indépendamment de leur poids réel, mais que si tu es bel et bien gros.se, tu vas t'en prendre plein la tronche que tu sois un homme ou une femme.

(Ouf ! Le monde est sauf !)
) et aspie (pas encore confirmée mais dans deux trois ans normalement, dès qu'elle en aura la possibilité) qui souffre tous les jours d'un système non adapté à sa façon de penser, de voir et de comprendre les choses, qui fait sans cesse des efforts pour s'adapter et se rend malade car elle n'y arrive pas toujours. 
Mais parfois quand le ton monte, c'est bien qu'une personne extérieure fasse un peu retomber la tension 

(ça va je suis sur le bon topic).