O
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L
leina-2
Guest
@sakureaban @hecate-hedog Oui c'est bien de la dépendance affective, clairement. Et ça peut s'expliquer par les choses difficiles qu'elle a vécu étant plus jeune. Elle est un peu une "caricature" de tout ça, son père est mort quand elle était enfant, sa mère l'a mise dehors à l'âge de 15 ans, depuis elle s'entoure d'animaux et ne supporte pas d'être seule. Elle rêve de faire un métier ou elle sera admirée, vue par tout le monde. Et quand on la connait "en profondeur" on se rend compte que c'est une personne totalement différente de ce qu'elle veut montrer à tous. J'avais essayé de lui en parler quand on était encore proches, mais là depuis 2 ans elle va de plus ou plus loin dans l'absurde, alors j'ai arrêté de la suivre.. mais c'est très triste oui, ça me fait mal pour elle..
orion;4103122 a dit :Mais, mais c'est trop cool Dizzee Rascal
Ca va, je la trouve pas mal cette chanson, même si je suis pas hyper réceptive.
Mais au concert que j'ai vu, c'était vraiment affreux, alors je sais pas si c'est qu'il est (était) nul en live, ou que ses chansons il y a 7 ans étaient nazes.
Mais quoi qu'il en soit, j'aurai préféré entendre un son que j'aime. Je comprends tout à fait l'idée de se dire "on va faire découvrir des sons qu'ils n'écoutent pas forcément", mais à la limite je trouverai mieux de faire pendant le set un duo avec un artiste d'un autre genre musical, que toute une première partie alors que tu as payé (souvent cher) pour écouter quelque chose que tu aimes.
En 2011, toujours à Bercy, les Red Hot avaient un groupe de musique world en première partie, c'était sympa mais c'était pareil, le public n'était pas très réceptif et se faisait chier (surtout que ça avait duré genre 1h30).
Je ne comprends pas les gens qui ne font rien de leur journées et ne s'ouvrent à rien qui ne fasse pas partie de leur petit monde mais qui se plaignent de ne voir personne / d'être seuls / de s'ennuyer.
J'ai un couple d'amis comme ça, à chaque fois que mon copain et moi leur proposons de sortir ils nous disent non, on a réussi une fois à les traîner en ville pour faire les magasins (et puis il faisait beau, c'était aussi histoire de prendre un peu le soleil, de profiter du beau temps, et pourquoi pas d'aller boire un verre en terrasse) et toute l'après-midi ils se sont plaints parce qu'on marchait trop, qu'ils étaient fatigués... Alors qu'on a marché au maximum 1H30 (et en flânant dans les magasins, donc pas vraiment à vive allure).
Quand on leur propose d'aller boire un verre dans le bar en bas de chez eux ils nous disent "non, on a la flemme" alors que franchement ils n'ont qu'à descendre un escalier
Rien ne les intéresse, ils ne veulent jamais sortir de leur appartement, c'est tout le temps mon copain et moi qui devons aller chez eux sinon on ne se voit pas, et quand on y va ils sont collés devant la télé / leurs PC / leurs smartphones.
J'ai tenté une fois de les emmener à une soirée avec des concerts et ils ont fais la tronche toute la soirée, l'endroit ne leur plaisait pas, les groupes non plus, ils ne parlaient à personne, bref c'était une catastrophe.
Il n'essayent pas de s'ouvrir au monde et j'ai l'impression que rien ne leur plait, ils n'ont d’intérêt que pour ce qu'ils connaissent déjà : ils ont leurs groupes préférés (et il ne faudrait surtout pas écouter autre chose que du métal), leurs films préférés, leurs jeux vidéos préférés, et tout le reste c'est "de la merde". A chaque fois qu'on essaye de leur faire découvrir quelque chose, ne serait-ce qu'un nouveau bar, ils nous disent "j'aime pas, c'est de la merde".
Bon après c'est leur façon de vivre, s'ils sont bien comme ça tant mieux pour eux, mais clairement ce que je ne comprends pas (et ce qui m'énerve) c'est qu'ils se plaignent de ne pas sortir, de ne voir personne et de s'ennuyer (d'autant plus qu'ils ne travaillent pas donc ils sont toute la journée sur leur canapé avec les ordinateurs) alors que quand on leur propose quelque chose soit ils refusent, soit ils acceptent mais font ensuite la tronche parce que ce n'est pas assez bien pour eux.
J'ai un couple d'amis comme ça, à chaque fois que mon copain et moi leur proposons de sortir ils nous disent non, on a réussi une fois à les traîner en ville pour faire les magasins (et puis il faisait beau, c'était aussi histoire de prendre un peu le soleil, de profiter du beau temps, et pourquoi pas d'aller boire un verre en terrasse) et toute l'après-midi ils se sont plaints parce qu'on marchait trop, qu'ils étaient fatigués... Alors qu'on a marché au maximum 1H30 (et en flânant dans les magasins, donc pas vraiment à vive allure).
Quand on leur propose d'aller boire un verre dans le bar en bas de chez eux ils nous disent "non, on a la flemme" alors que franchement ils n'ont qu'à descendre un escalier
Rien ne les intéresse, ils ne veulent jamais sortir de leur appartement, c'est tout le temps mon copain et moi qui devons aller chez eux sinon on ne se voit pas, et quand on y va ils sont collés devant la télé / leurs PC / leurs smartphones.J'ai tenté une fois de les emmener à une soirée avec des concerts et ils ont fais la tronche toute la soirée, l'endroit ne leur plaisait pas, les groupes non plus, ils ne parlaient à personne, bref c'était une catastrophe.
Il n'essayent pas de s'ouvrir au monde et j'ai l'impression que rien ne leur plait, ils n'ont d’intérêt que pour ce qu'ils connaissent déjà : ils ont leurs groupes préférés (et il ne faudrait surtout pas écouter autre chose que du métal), leurs films préférés, leurs jeux vidéos préférés, et tout le reste c'est "de la merde". A chaque fois qu'on essaye de leur faire découvrir quelque chose, ne serait-ce qu'un nouveau bar, ils nous disent "j'aime pas, c'est de la merde".
Bon après c'est leur façon de vivre, s'ils sont bien comme ça tant mieux pour eux, mais clairement ce que je ne comprends pas (et ce qui m'énerve) c'est qu'ils se plaignent de ne pas sortir, de ne voir personne et de s'ennuyer (d'autant plus qu'ils ne travaillent pas donc ils sont toute la journée sur leur canapé avec les ordinateurs) alors que quand on leur propose quelque chose soit ils refusent, soit ils acceptent mais font ensuite la tronche parce que ce n'est pas assez bien pour eux.
@miyun Pareil pour moi, je ne sais vraiment pas recevoir un compliment. Je vais spontanément sortir tous les facteurs qui font que non, c'est pas si extraordinaire que ça (qu'on me complimente sur mes cheveux ou sur un boulot d'un an d'ailleurs). C'est même pas que j'essaie de paraître modeste, mais j'ai l'impression que la personne ne prend pas tout en compte, du coup j'essaie de rétablir l'équilibre. Mais je réussis qu'à me rabaisser 
N
nairi
Guest
Je ne comprends pourquoi les articles de presse ou le J.T mentionnent souvent la nationalité ou l'origine supposée des "criminels".
Si c'est un avis de recherche, évidemment j'en vois l'intérêt ou alors dans des affaires de terrorisme internationale où ça revet une forme d'importance pour la compréhension de l'affaire mais par exemple, le fait de savoir que les séquestreurs de Cleveland sont des Hispaniques, ben je vois pas ce que ça apporte.
Je retrouve parfois la mention de la nationalité, l'origine, le typé même dans les faits divers et je tique souvent dessus.
Quelqu'un aurait une explication?
Si c'est un avis de recherche, évidemment j'en vois l'intérêt ou alors dans des affaires de terrorisme internationale où ça revet une forme d'importance pour la compréhension de l'affaire mais par exemple, le fait de savoir que les séquestreurs de Cleveland sont des Hispaniques, ben je vois pas ce que ça apporte.
Je retrouve parfois la mention de la nationalité, l'origine, le typé même dans les faits divers et je tique souvent dessus.
Quelqu'un aurait une explication?
@hawley : 
Pareil. Je m'auto-clashe systématiquement quand on me complimente, et c'est exactement ce que tu dis, c'est pour rétablir l'équilibre.
Sinon je voulais juste rebondir sur ton post, @hecate-hedog : pour moi, c'est pas parce que tu ne reconnais pas ta réussite que tu es "modeste", et c'est pas parce que tu la reconnais que tu es "immodeste".
Il y a plein de gens qui parlent ouvertement de leurs réussite et que je respecte et trouve hyper humbles malgré tout.
Par contre, je comprends ce qui te surprend hecate-hedog, même si j'ai plutôt tendance à réagir comme la fille que tu as cité.
Comme l'ont dit les autres, la fille a sûrement du mal à recevoir les compliments, pour tout un tas de raisons... Mais je trouve qu'il y a un monde entre constater sa réussite ("oui j'ai des bonnes notes"/"oui j'ai réussi mon concours" etc), savoir l'expliquer (là ça devient déjà plus compliqué), et s'en gargariser... Parfois ça me titille les gens qui, à l'extrême, nient l'évidence de leurs bons résultats (je parle pas pour ta pote, je la connais pas donc bon). Faut pas pousser, y'a d'autres moyens pour montrer qu'on est modeste ou qu'on ne se trouve pas méritant que de nier les résultats positifs de notre action, ça ressemble à du voilage de face et ça peut être irritant. Ok c'est souvent de la gêne, mais je comprends tout à fait que ça puisse laisser perplexe le spectateur.
Pareil. Je m'auto-clashe systématiquement quand on me complimente, et c'est exactement ce que tu dis, c'est pour rétablir l'équilibre.Sinon je voulais juste rebondir sur ton post, @hecate-hedog : pour moi, c'est pas parce que tu ne reconnais pas ta réussite que tu es "modeste", et c'est pas parce que tu la reconnais que tu es "immodeste".
Il y a plein de gens qui parlent ouvertement de leurs réussite et que je respecte et trouve hyper humbles malgré tout.
Par contre, je comprends ce qui te surprend hecate-hedog, même si j'ai plutôt tendance à réagir comme la fille que tu as cité.
Comme l'ont dit les autres, la fille a sûrement du mal à recevoir les compliments, pour tout un tas de raisons... Mais je trouve qu'il y a un monde entre constater sa réussite ("oui j'ai des bonnes notes"/"oui j'ai réussi mon concours" etc), savoir l'expliquer (là ça devient déjà plus compliqué), et s'en gargariser... Parfois ça me titille les gens qui, à l'extrême, nient l'évidence de leurs bons résultats (je parle pas pour ta pote, je la connais pas donc bon
). Faut pas pousser, y'a d'autres moyens pour montrer qu'on est modeste ou qu'on ne se trouve pas méritant que de nier les résultats positifs de notre action, ça ressemble à du voilage de face et ça peut être irritant. Ok c'est souvent de la gêne, mais je comprends tout à fait que ça puisse laisser perplexe le spectateur.
felix;4104928 a dit :@hecate-hedog : je ne pense pas que ça soit moins chaud qu'une grenouillère.. Je sais pas, ça me rend juste hyper mal à l'aise. Comme pas mal de choses qui tournent autour des bébés, d'ailleurs. Ca doit être parce que j'aime pas trop les bébés
Une grenouillère, c'est juste pour faire la sieste, afin qu'il soit à l'aise (pas comprimé). Sinon ça n'est pas plus chaud qu'une tenue typique, au contraire, et Bébé n'est pas à même de bouger autant qu'il veut (tu peux pas ramener ton orteil à la bouche en grenouillère. Tu peux pas)
Alors, peut-être que les minis-chemises, certaines trouvent ça mignon. C'est surtout très chiant à enlever et à remettre
.Par contre une tenue 2 pièces, ça va, au contraire, je trouve que c'est le plus adapté, si tu veux changer bébé, c'est plus pratique qu'une pièce.
diana-prince;4104943 a dit :
Haha! Tu vas pouvoir m'éclairer sur une chose que je ne comprends pas: pourquoi est-ce que j'entends "bébé" utilisé comme un nom propre ("si tu veux changer bébé" plutôt que "si tu veux changer un/le/ton bébé")? Qu'est-ce que ça signifie, pourquoi cette préférence?
On ne le fait que pour lui à ma connaissance (ni pour les enfants, ni pour les animaux... qui n'ont pas la parole/à qui on la donne peu).
"Bébé" Ça me fait penser à mes livres de Martine Perso je sais pas si je trouve ça chou ou déstabilisant, les mouflets habillés comme des adultes. Mais quand je regarde les photos des bébés de mon époque, je me dis que quand même, c'était plus cool, parce qu'ils avaient un style bien à eux (multicolore, bariolé, des formes incohérentes, etc...) et ils n'étaient pas de simples bébés fringués comme des adultes miniatures (quoi qu'en fait, peut-être que si, étant donné que dans les années 90 la mode était assez bariolée justement ).
Je ne comprends pas comment c'est possible d'être aussi compliquée que je le suis. En fait j'aime pas l'expression "éternelle insatisfaite", mais je crois qu'elle me définit très bien. Là je suis en période de partiels, ça me soule, j'ai envie de sortir, de voir mes amis, de zoner sur le forum, d'aller au cinéma, de m'acheter des fringues, de faire de nouvelles rencontres... J'ai envie d'avoir du temps pour moi quoi. À tel point qu'au début de la semaine, quand mes partiels ont commencé, j'étais vraiment déprimée (faut dire que les nuits de 2h n'arrangent rien au phénomène).
Et puis là, je suis en train de réviser un cours que je trouve passionnant pour demain (et je ne suis même pas stressée à l'idée que je lis très lentement, que j'ai un autre cours qui m'attend pour demain et 2 dossiers à faire cette nuit). Au lieu de savourer l'instant présent, maintenant je pense à demain soir, où, me connaissant, je sais que j'aurai les boules. Je sais que je vais être dégoûtée une fois que mes épreuves de demain seront terminées, parce que ce sera presque la fin des partiels, que la pression va retomber, que j'aurai envie de parler avec tous mes camarades mais que j'aurai pas le temps parce qu'il y en a plein qui vont se barrer après l'épreuve... Et puis parce que je suis quasi sûre que je vais encore me sentir vide. Y'aura plus de stimulation, plus d'enjeu, plus de pression de dernière minute. Je vais avoir l'impression que tout le monde a encore plein de trucs à faire et que moi je suis face au néant. J'aurai tout mon temps devant moi, je vais me souvenir que j'ai pas de but dans la vie, et j'aurai envie de m'entarter. Ou alors il faudrait que je cherche un job. Tiens ouais, faut que je prenne cette résolution.
Enfin c'est quand même particulièrement chiant : quand je suis dans l'engrenage, j'ai envie de crever, et quand j'en sors, je ne réclame qu'une chose : de la tension et du stress. C'est comme si ça me rendait vivante
Je suis horriblement reloue ma parole. J'espère que tout ça n'est que pur pessimisme et que demain je serai de super bonne humeur. Surtout qu'aujourd'hui je suis plutôt contente, alors faudrait que j'arrête d'anticiper sur mes propres réactions parce que ça va finir par devenir une prophétie auto-réalisatrice cette affaire...
Pas citer svp, j'éditerai peut-être dans un élan d'optimisme
Ça me fait penser à mes livres de Martine Perso je sais pas si je trouve ça chou ou déstabilisant, les mouflets habillés comme des adultes. Mais quand je regarde les photos des bébés de mon époque, je me dis que quand même, c'était plus cool, parce qu'ils avaient un style bien à eux (multicolore, bariolé, des formes incohérentes, etc...) et ils n'étaient pas de simples bébés fringués comme des adultes miniatures (quoi qu'en fait, peut-être que si, étant donné que dans les années 90 la mode était assez bariolée justement ).Je ne comprends pas comment c'est possible d'être aussi compliquée que je le suis. En fait j'aime pas l'expression "éternelle insatisfaite", mais je crois qu'elle me définit très bien
. Là je suis en période de partiels, ça me soule, j'ai envie de sortir, de voir mes amis, de zoner sur le forum, d'aller au cinéma, de m'acheter des fringues, de faire de nouvelles rencontres... J'ai envie d'avoir du temps pour moi quoi. À tel point qu'au début de la semaine, quand mes partiels ont commencé, j'étais vraiment déprimée (faut dire que les nuits de 2h n'arrangent rien au phénomène).Et puis là, je suis en train de réviser un cours que je trouve passionnant pour demain (et je ne suis même pas stressée à l'idée que je lis très lentement, que j'ai un autre cours qui m'attend pour demain et 2 dossiers à faire cette nuit). Au lieu de savourer l'instant présent, maintenant je pense à demain soir, où, me connaissant, je sais que j'aurai les boules. Je sais que je vais être dégoûtée une fois que mes épreuves de demain seront terminées, parce que ce sera presque la fin des partiels, que la pression va retomber, que j'aurai envie de parler avec tous mes camarades mais que j'aurai pas le temps parce qu'il y en a plein qui vont se barrer après l'épreuve... Et puis parce que je suis quasi sûre que je vais encore me sentir vide. Y'aura plus de stimulation, plus d'enjeu, plus de pression de dernière minute. Je vais avoir l'impression que tout le monde a encore plein de trucs à faire et que moi je suis face au néant. J'aurai tout mon temps devant moi, je vais me souvenir que j'ai pas de but dans la vie, et j'aurai envie de m'entarter. Ou alors il faudrait que je cherche un job
. Tiens ouais, faut que je prenne cette résolution.Enfin c'est quand même particulièrement chiant : quand je suis dans l'engrenage, j'ai envie de crever, et quand j'en sors, je ne réclame qu'une chose : de la tension et du stress. C'est comme si ça me rendait vivante
Je suis horriblement reloue ma parole
. J'espère que tout ça n'est que pur pessimisme et que demain je serai de super bonne humeur. Surtout qu'aujourd'hui je suis plutôt contente, alors faudrait que j'arrête d'anticiper sur mes propres réactions parce que ça va finir par devenir une prophétie auto-réalisatrice cette affaire...Pas citer svp, j'éditerai peut-être dans un élan d'optimisme
C'est pour ne pas avoir à "genrer " ton fils/ ta fille et ne pas avoir à définir ( CE bébé là, TON bébé) c'est une notion général du bébé. Comme on pourrait qualifier un amoureux/amant/conjoint de "Jules" quelquepart. "Le" Jules, etc...chasc;4104972 a dit :
Après, pour ce qui est de considérer un enfant, je pense qu'il y a 2 façons de voir un bébé/ enfant:
Une façon "rabaissante" -je cherche un synonyme moins péjoratif- ("C'est un mini humain qui ne sait rien faire d'autre que manger dormir chier , il ne comprends rien, il ne comprends pas ce que je dis, à quoi bon m'y intéresser, il n'est pas si mignon que ça " )
Une façon plus humanisante ("Un bébé est un humain comme les autres , très sensible, capable de comprendre beaucoup de choses non verbalisées, il fait des exploits étonnants en apprenant et en grandissant en si peu de temps, il y a un mois il n'était pas capable d’attraper quoi que ce soit, aujourd'hui il me balance ses jouets à la figure")
- Statut
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