Je rejoins @jeanne-des-brumes sur son explication très intéressante et j'ajoute ma propre vision des choses. Le café, j'adore ça (dis-je avec une tasse à côté du clavier) mais par contre, j'adore le boire seule. J'ai un travail où je suis constamment en interaction avec les autres, je ne peux pas être passive une minute et je m'oublie totalement (je ne pense pas que j'ai faim, mal à tel endroit, que j'ai tel souci). Du coup, quand je peux prendre un café, j'aime bien le boire seulement, tranquillement, ça me permet de déconnecter du travail, de me recentrer sur moi et de souffler, donc dans ce cas, c'est vraiment l'équivalent de la clope en solo mais je ne suis pas fumeuse. Voilà pourquoi à la pause de dix heures je prends un café même si j'en ai pris un deux heures plus tôt
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Bon le problème est que ce n'est pas très bien vu de vouloir s'isoler dans le monde du travail donc la plupart du temps, je me déconnecte juste mentalement, j'écoute la conversation sans trop y participer en m'asseyant un peu à l'écart et je passe pour quelqu'un de distant ou timide ou froid mais tant pis, j'en ai besoin et je compense en sociabilité pendant d'autres moments ou par d'autres moyens.
Bon le problème est que ce n'est pas très bien vu de vouloir s'isoler dans le monde du travail donc la plupart du temps, je me déconnecte juste mentalement, j'écoute la conversation sans trop y participer en m'asseyant un peu à l'écart et je passe pour quelqu'un de distant ou timide ou froid mais tant pis, j'en ai besoin et je compense en sociabilité pendant d'autres moments ou par d'autres moyens.
Elle n'a pas connu ça de toute évidence, elle vient dire qu'elle ne comprend pas, du coup. Ne pas comprendre, ça ne veut pas dire haïr, mépriser... Juste ne pas comprendre.
Mais pourquoi souhaiter ce même schéma à tout le monde alors qu'on sait tous qu'on fonctionne différemment les uns des autres?
), cela me laisse de plus en plus perplexe. D'autant plus qu'à force de se dire "bouuuuh ma vie est nulle" effectivement on s'enferme dans une spirale infernale, et là, la vie devient "nulle".



