@Lord Griffith
Mais pour moi ça c’est pas le même problème.
Tu peux être attiré par des gens qui ont l’air visiblement de plus briller que toi (plus heureux, plus sociable, plus à l’aise avec son corps) sans forcément ne pas supporter que cette personne ait des défauts.
Je suis pas spécialement d’accord avec l’article d’ailleurs. Je sais pas quand est née l’auteure mais perso à bientôt 25 ans, j’ai lu beaucoup de livres avec des héroïnes et où la femme était LE perso number one. Il y en a énormément dans la littérature jeune adulte-ado.
+ dans l’article elle explique clairement qu’elle était attirée par CE genre de mecs (intelligent mais déprimé) alors qu’elle aurait pu aller vers un type de mecs qui auraient pas cherché en elle un réconfort.
Je connais pas son âge donc si elle est âgée, effectivement les hommes étaient peut être au centre.
Mais une jeune femme entre 15-25 ans a beaucoup de choix d’histoires qui ne l’influenceront pas à se comporter comme le personnage secondaire.
Mais pour moi ça c’est pas le même problème.
Tu peux être attiré par des gens qui ont l’air visiblement de plus briller que toi (plus heureux, plus sociable, plus à l’aise avec son corps) sans forcément ne pas supporter que cette personne ait des défauts.

Je suis pas spécialement d’accord avec l’article d’ailleurs. Je sais pas quand est née l’auteure mais perso à bientôt 25 ans, j’ai lu beaucoup de livres avec des héroïnes et où la femme était LE perso number one. Il y en a énormément dans la littérature jeune adulte-ado.
+ dans l’article elle explique clairement qu’elle était attirée par CE genre de mecs (intelligent mais déprimé) alors qu’elle aurait pu aller vers un type de mecs qui auraient pas cherché en elle un réconfort.
Je connais pas son âge donc si elle est âgée, effectivement les hommes étaient peut être au centre.
Mais une jeune femme entre 15-25 ans a beaucoup de choix d’histoires qui ne l’influenceront pas à se comporter comme le personnage secondaire.
).
c'est vraiment marginal comme trope actuel (et peut s'inclure dans le domaine plus large des stéréotypes qui jouent sur le "syndrome de l'infirmière"), je trouve que d'autres sont bien plus présents et "normalisés" (Je pense par exemple au film Deadpool vendu comme "subversif" alors que c'est le schéma narratif classique de la "demoiselle en détresse" / "princesse à sauver", c'était assez comique
Pour m'aider de temps en temps je le mets simplement sur ma liste de choses à faire dans la journée.