Epidaure;2155386 a dit :Tout d'abord, je tiens à préciser que je comprends parfaitement ce que tu veux dire même si je ne partage pas ton point de vue, et que loin de moi l'idée de faire l'apologie de l'alcoolisme.
Cela dit: l'alcool est un désinhibant très fort. Franchement, tant mieux pour toi si tu es la fille la plus sociable du monde à la base, mais quand on est une grosse introvertie et qu'on veut s'intégrer, notamment en soirée, eh bien y'a pas à dire, l'alcool aide bien. En plus ça intensifie le ressenti, et ça permet de lâcher un peu prise. Après, faut pas trop en abuser, mais si c'est que de temps en temps, y'a moyen de se marrer.
Et les souvenirs de cuites soudent les groupes d'amis, quoique tu puisses en penser.
En fait, je ne supporte pas les blablas moralisateurs sur l'alcoolisme étudiant. J'ai envie de dire, c'est une parenthèse, à un âge où on n'a pas encore trop de responsabilités, c'est sans conséquences. Bah oui parce qu'une fois en entreprise à faire 8h-20h c'est pas le même mode de vie. Alors foutez-nous la paix.
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Nadja;2156752 a dit :Je déteste les faux gentils. C'est quelque chose qui me rend folle. J'ai toujours préféré les profs "secs" et délicieusement cyniques voire cassants plutôt que les profs trop gentils. J'ai l'impression d'avoir un radar et de voir à 15 bornes que ces gens sont faux (alors qu'à d'autres il leur faut trois mois pour arriver à la même conclusion ...).
Et ça me fait penser que je ne supporte, quand je dis "Truc c'est vraiment un mec gentil", qu'on me réponde "Pfff dire de quelqu'un qu'il est "gentil" ça veut dire qu'il est niais, qu'il est con". Mais à mes yeux être "gentil" ça veut dire "être profondément bon", ou être doux, faire attention aux autres et pour moi c'est la plus belle qualité du monde alors que pour d'autres ça n'en est pas une.
Edgar;2156772 a dit :Je ne supporte pas les gens qui te rabaissent devant les autres pour paraitre plus fort.
J'ai un """pote""" de fac comme ça. Il lui arrive d'être super gentil et drôle. Le truc c'est qu'il se sert toujours de moi pour se valoriser.
Quand il a une baisse de confiance, il se réjouit (ou se moque) de ma mauvaise note pour la comparer à la sienne et voir qu'il est loin d'être nul, quand quelqu'un me demande une information et que je réponds, il m'imite pour couper court à la conversation et ne pas me laisser le temps de finir, il pense que quand je ne viens pas en cours, c'est simplement par flemme, quand je pose une question, il rigole en insistant bien sur le fait que je ne sais pas alors que tout le monde sait, il me fait comprendre que ça ne sert à rien d'apprendre car quoiqu'il en soit, j'aurais quand même une mauvaise note. Dernier exemple en date : en sortant des cours, je dis : "Il fait du vent !" et il se moque de moi en disant : "ahahahaha, c'est IL Y A du vent et pas il fait du vent, ahahahaha". Une copine me répond que je parle bien la france, comme elle, et il réplique : "ouais, mais encore pire !".
Je n'ai pas confiance en moi et je me dévalorise sans cesse donc c'est un comportement qui me fout vraiment mal, qui m'amène à me dire, qu'effectivement, je suis nulle.
Ah mais pareil et moi aussi j'y ai droit.Iaoranamoana;2157076 a dit :Je me prend toujours ce genre de réflexion, gentille = bonne poire. J'ai longtemps eu "honte" de ma gentillesse ...
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Je ne le cache pas, je suis assez choquée par ce que je lis là. L'alcoolisme c'est une maladie, grave, qui tue. En parler de manière aussi légère me fait un peu frémir...Epidaure;2155386 a dit :En fait, je ne supporte pas les blablas moralisateurs sur l'alcoolisme étudiant. J'ai envie de dire, c'est une parenthèse, à un âge où on n'a pas encore trop de responsabilités, c'est sans conséquences. Bah oui parce qu'une fois en entreprise à faire 8h-20h c'est pas le même mode de vie. Alors foutez-nous la paix.
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