@hecate-hedog Pan ! (pour moi )
Je suis un peu comme ça, du moins, on me l'a déjà fait remarquer. Je crois que le mieux à faire, c'est de leur dire, quelquefois on se rend pas du tout compte que c'est blessant. Enfin, pour ma part, j'ai tendance à beaucoup extrapoler/théoriser quand une personne en face ne me fait pas part de ses sentiments, pour essayer d'agir sans cette information, et c'est pas toujours bienvenu. Par exemple quelqu'un qui a l'air triste et qui me dit que ça ne va pas trop, je vais vouloir l'aider, je vais réfléchir aux dernières nouvelles que j'ai eu de lui. Et sachant que par exemple, il s'était disputé avec sa copine, si ça se trouve je vais lui parler des problèmes qu'elle a en ce moment, que ce n'est probablement pas de sa faute à lui si elle est sur les nerfs et que ce serait peut-être pas mal qu'ils s'organisent une petite soirée en amoureux.
Et s'il ne me dit pas qu'en fait, il fait la gueule parce qu'ils sont en train de licencier dans sa boîte et qu'il a peur d'être concerné, je risque de continuer là-dessus et d'effectivement le psychanalyser sans qu'on me demande rien (insupportable, moi ? Mais non)
Tout ça pour dire que si quelqu'un commence à faire ça avec toi, sois ferme pour leur dire qu'ils ont tort et défends tes avis ! Et ton droit de ne pas partager tes sentiments, aussi. On a besoin d'être remis à notre place de temps en temps, nous les psychologues de comptoir, sinon on croit qu'on est sur la bonne voie
Je suis un peu comme ça, du moins, on me l'a déjà fait remarquer. Je crois que le mieux à faire, c'est de leur dire, quelquefois on se rend pas du tout compte que c'est blessant. Enfin, pour ma part, j'ai tendance à beaucoup extrapoler/théoriser quand une personne en face ne me fait pas part de ses sentiments, pour essayer d'agir sans cette information, et c'est pas toujours bienvenu. Par exemple quelqu'un qui a l'air triste et qui me dit que ça ne va pas trop, je vais vouloir l'aider, je vais réfléchir aux dernières nouvelles que j'ai eu de lui. Et sachant que par exemple, il s'était disputé avec sa copine, si ça se trouve je vais lui parler des problèmes qu'elle a en ce moment, que ce n'est probablement pas de sa faute à lui si elle est sur les nerfs et que ce serait peut-être pas mal qu'ils s'organisent une petite soirée en amoureux.
Et s'il ne me dit pas qu'en fait, il fait la gueule parce qu'ils sont en train de licencier dans sa boîte et qu'il a peur d'être concerné, je risque de continuer là-dessus et d'effectivement le psychanalyser sans qu'on me demande rien (insupportable, moi ? Mais non)
Tout ça pour dire que si quelqu'un commence à faire ça avec toi, sois ferme pour leur dire qu'ils ont tort et défends tes avis ! Et ton droit de ne pas partager tes sentiments, aussi. On a besoin d'être remis à notre place de temps en temps, nous les psychologues de comptoir, sinon on croit qu'on est sur la bonne voie