Je ne supporte pas la culpabilisation qui me prend aux tripes lorsque j'estime ne pas avoir assez bien réagi devant un événement/une agression dans un lieu public.
Par exemple, ce matin, une mamie a passé son temps à se plaindre du chauffeur de bus qui n'avançait pas parce qu'un véhicule bloquait la voie (et que selon elle, le bus pouvait passer "si le chauffeur se décidait à bouger"). Je vous passe les remarques racistes à l'égard du chauffeur (mais oui, la compétence des gens est liée à leur origine, c'est bien connu). J'ai proposé un autre itinéraire à cette femme, qui a rejeté mon intervention d'un revers de la main et qui, lorsque je suis partie, a balancé un beau "Personne ne dit rien et en plus on se permet de me faire la morale" (personne ne disait rien parce que ce "problème" a duré au pire, dix minutes, et que s'énerver ne servait à rien). Je lui ai demandé de confirmer qu'elle parlait de moi, ça l'a mise mal à l'aise et elle m'a sorti le couplet "Vous les jeunes, si vous prenez les choses comme ça, il faudra pas vous étonner de ce que va devenir la France". Je lui ai répondu que j'espérai qu'elle regrettait ses "propos malheureux" et elle s'est rengorgée par un "Pas le moins du monde". Je vais passer la journée à culpabiliser de n'avoir pas mieux réagi, parce que le chauffeur de bus et bien d'autres personnes subissent ce genre de propos dégueulasses à longueur de temps, tandis que moi, non, et que, du fait de ma situation, je pourrais au moins me comporter comme une véritable alliée.
Par exemple, ce matin, une mamie a passé son temps à se plaindre du chauffeur de bus qui n'avançait pas parce qu'un véhicule bloquait la voie (et que selon elle, le bus pouvait passer "si le chauffeur se décidait à bouger"). Je vous passe les remarques racistes à l'égard du chauffeur (mais oui, la compétence des gens est liée à leur origine, c'est bien connu). J'ai proposé un autre itinéraire à cette femme, qui a rejeté mon intervention d'un revers de la main et qui, lorsque je suis partie, a balancé un beau "Personne ne dit rien et en plus on se permet de me faire la morale" (personne ne disait rien parce que ce "problème" a duré au pire, dix minutes, et que s'énerver ne servait à rien). Je lui ai demandé de confirmer qu'elle parlait de moi, ça l'a mise mal à l'aise et elle m'a sorti le couplet "Vous les jeunes, si vous prenez les choses comme ça, il faudra pas vous étonner de ce que va devenir la France". Je lui ai répondu que j'espérai qu'elle regrettait ses "propos malheureux" et elle s'est rengorgée par un "Pas le moins du monde". Je vais passer la journée à culpabiliser de n'avoir pas mieux réagi, parce que le chauffeur de bus et bien d'autres personnes subissent ce genre de propos dégueulasses à longueur de temps, tandis que moi, non, et que, du fait de ma situation, je pourrais au moins me comporter comme une véritable alliée.
) Mais 30m² je pense que ça semble bien pour le commun des mortels... Enfin, si on a pas des exigences de fou, du moins 

Puis on s'y habitue, à force, même si c'est soûlant quand on est dans ses mauvais jours et qu'on a qu'une envie : rentrer chez nous pour se blottir dans un appart' lumineux et un minimum spacieux, plutôt qu'une cage à oiseaux
(je suis un peu dans ma période "ras-le-bol je veux bouger d'ici" ça doit jouer
), rien que le salon devait faire 100 m². A la fin de son contrat, on est rentré "chez nous", dans notre appartement de banlieue parisienne (qui faisait quand même 90 m² environ, pour 4), et je me souviens très précisément de la sensation que j'ai eue en ouvrant la porte : "Mon dieu mais c'est minuscule !!
" C'était vraiment ouf ce ressenti, j'ai eu la nette impression que les murs étaient les uns sur les autres ! (Heureusement c'est vite passé
Si c'est 100% jus de mangue, y peut pas y avoir de la poire !
(call me Stéphane Plaza).
. C'était horrriiiiiiiiiiible, je lui disais bien de prendre des 100% (promis c'étaient mes seules doléances, ma mère n'était pas mon esclave), mais comme elle 'en buvait pas elle ne percevait pas toute la différence. Quel traumatisme
(comment ça j'en fais trop
?)