Je n'ai pas bien compris cette phrase, tu peux la développer ? ça m'intéresse vraiment de savoir les bienfaits de l'existence d'une monnaie d'échange. Presque toutes les fois où j'ai posé la question, j'ai eu pour seule réponse que ça remplaçait avantageusement le troc, ce qui n'est évidemment pas le type de réponse que j'attendais.Si on supprime le systeme monétaire actuel, mais qu'on continue le principe d'humain spécialisé et qui donc n'ont pas accés à tout par leur propre personne, on conserve l'idée d'avoir besoin de faire des échanges.
Je parle principalement de patrons de multinationales. On est d'accord, il y en a certainement dans le lot qui ont un tant soit peu le sens de l'éthique, mais ils sont davantage l'exception que la règle. Il suffit de voir l'état catastrophique du monde du travail, où les travailleurs sont esclavagisés sous prétexte de coût, où même de grosses sociétés qui ne semblent pas dérangés par le fait de causer un potentiel génocide (coucou Monsanto) juste pour satisfaire leur addiction à l'argent.Et tu soulèves un second point qui m'interpelle, "les gros patrons" (notion à définir d'ailleurs), ont ils un comportement qui sort de la norme éthique générale parce qu'ils sont plus cupide que les autres ? ou parce qu'ils sont devenu des "gros patrons" ? Et dans le second cas, y aurait ils des gens capables de ne pas tomber dans se vices ?
Et n'y a-t-il vraiment aucune exeption ? Sont-ils tous comme tu les dépeins dans ton poste ? (si c'est le cas, c'est encore plus triste... :/)
Ce n'est clairement pas la cupidité le problème. Les produits cultivés ou fabriqués éthiquement sont marginaux. Pourquoi ? Parce qu'ils sont chers à produire, donc chers à l'achat, donc financièrement inabordables pour la plupart des gens. Il y a aussi des gens qui vivent à peine, voire qui meurent faute de pouvoir s'acheter des biens de première nécessité.Question: le problème se situe t il au niveau de l'argent ? ou de la cupidité de l'être humain ?
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