@Cépamoi Et autres mais je n'ai pas pris tous les pseudos
Melenchon s'est opposé à la perquisition sauf que la perquisition des locaux et des habitations avec saisie des PC, téléphones et tablettes est habituelle dans ce cas de figure, à ce qu'il me semble. C'est ce qui permet la saisie de pièces à conviction qu'autrement on aurait jamais.
J'espère que ce n'est pas irrespectueux, juste pour corriger les maladresses. Pour le moment, dans le cadre des faits sur les attachés parlementaires (et non les comptes de campagne il me semble) en est stade de l'enquête préliminaire. Dans ce cadre, le consentement de la personne qui doit être perquisitionné est forcément requis sinon il n'y a pas de perquisitions sans acceptation et dans les affaires semblables, la perquisition a eu lieu biiiiien plus tard (au niveau de l'instruction donc sous la houlette d'un magistrat indépendant) or durant l'enquête préliminaire il s'agit de magistrats subordonnés à l'autorité du Ministère de la Justice (la France se fait condamner ultra souvent pour ça à des amendes). Du coup la procédure est certes logique mais son refus est possible et ceux pour toutes personnes.
Donc il a refusé et vu que les perquisitions ont eu lieu, cela signifie qu'il y a eu une ordonnance du juge des libertés et des détentions donc une autorisation mais la question de la neutralité face à l'ampleur des perquisitions est inévitable (comme à ce demander ce que pouvait bien faire ici les journalistes ?)
Melenchon s'est opposé à la perquisition sauf que la perquisition des locaux et des habitations avec saisie des PC, téléphones et tablettes est habituelle dans ce cas de figure, à ce qu'il me semble. C'est ce qui permet la saisie de pièces à conviction qu'autrement on aurait jamais.
J'espère que ce n'est pas irrespectueux, juste pour corriger les maladresses. Pour le moment, dans le cadre des faits sur les attachés parlementaires (et non les comptes de campagne il me semble) en est stade de l'enquête préliminaire. Dans ce cadre, le consentement de la personne qui doit être perquisitionné est forcément requis sinon il n'y a pas de perquisitions sans acceptation et dans les affaires semblables, la perquisition a eu lieu biiiiien plus tard (au niveau de l'instruction donc sous la houlette d'un magistrat indépendant) or durant l'enquête préliminaire il s'agit de magistrats subordonnés à l'autorité du Ministère de la Justice (la France se fait condamner ultra souvent pour ça à des amendes). Du coup la procédure est certes logique mais son refus est possible et ceux pour toutes personnes.
Donc il a refusé et vu que les perquisitions ont eu lieu, cela signifie qu'il y a eu une ordonnance du juge des libertés et des détentions donc une autorisation mais la question de la neutralité face à l'ampleur des perquisitions est inévitable (comme à ce demander ce que pouvait bien faire ici les journalistes ?)