J'ai reçu récemment des compliments de la part de professionnels que j'admire, qui m'ont fait excessivement plaisir, et que pour une fois je pense mériter. Du coup, même si mon directeur de mémoire pense le plus grand mal de moi, je m'en fiche un peu, ce n'est pas ça qui importe. Dans ma vie professionnelle, je ne ferai pas des mémoires de recherche, je serai avec mes patients, avec les familles, et je sais que là dedans, je gère. Ces compliments me filent une confiance incroyable pour gérer le reste, j'arrive beaucoup mieux à relativiser et à me dire que si ce mémoire n'est pas top, c'est pas grave. Je ne joue pas ma vie sur ces 100 pages, ça n'est pas ça mon métier.