@LeeAnna_ : Pas mieux que les autres, ça me semble inadmissible aussi son comportement. C'est pas parce qu'on allaite qu'ils doivent ne rien faire. Il peut changer sa couche la nuit, te l'apporter pour la tétée etc.. se charger du bain, ou de l'endormissement. Et se lever le matin quoi.. (la phrase magique : t'as vraiment envie d'être ce père là ? normalement, c'est radical !)
J'ai fait un test ce midi, il est négatif.
4 ou 6 jours de retard selon mes cycles, mal au ventre comme avant les règles depuis trois jours, seins tendus et rien. Je comprends pas bien.
Où sont mes règles, si je suis pas enceinte ??
J'ai passé une partie de l'après midi d'hier avec une mère de famille nombreuse (5 enfants) de mon quartier, c'était chouette. Ca faisait du bien, en fait, de parler à quelqu'un qui a consacré son temps à ses enfants (et encore, le petit dernier n'a que trois ans) et qui ne semblait pas prompte à juger le fait que j'ai choisi de rester avec ma fille. En partant, elle m'a dit que notre complicité était super jolie à voir, que ça durerait jusqu'à la mort (ça serait bien
) et que ça faisait du bien de voir quelqu'un qui lui semblait aimer cette vie là. (elle m'a dit qu'elle avait appris avec le temps à se garder son bonheur pour elle, à force de se manger plein de remarques dans la gueule, et que ça lui avait fait du bien de pouvoir parler en bien de la maternité et de l'amour/la joie que lui apporte sa famille
)
J'ai fait un test ce midi, il est négatif.
4 ou 6 jours de retard selon mes cycles, mal au ventre comme avant les règles depuis trois jours, seins tendus et rien. Je comprends pas bien.

Où sont mes règles, si je suis pas enceinte ??
J'ai passé une partie de l'après midi d'hier avec une mère de famille nombreuse (5 enfants) de mon quartier, c'était chouette. Ca faisait du bien, en fait, de parler à quelqu'un qui a consacré son temps à ses enfants (et encore, le petit dernier n'a que trois ans) et qui ne semblait pas prompte à juger le fait que j'ai choisi de rester avec ma fille. En partant, elle m'a dit que notre complicité était super jolie à voir, que ça durerait jusqu'à la mort (ça serait bien
) et que ça faisait du bien de voir quelqu'un qui lui semblait aimer cette vie là. (elle m'a dit qu'elle avait appris avec le temps à se garder son bonheur pour elle, à force de se manger plein de remarques dans la gueule, et que ça lui avait fait du bien de pouvoir parler en bien de la maternité et de l'amour/la joie que lui apporte sa famille
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(là y'a plus de doutes par contre
)
), et on a une photo de ses trous de nez
).
) et ça ne suffisait pas... Alors on a introduit un peu de lait artificiel pour ma santé mentale ! J'ai aussi consulté une conseillère en lactation à la maternité quand j'étais à bout et ça m'a redonné un peu confiance. 



Il adore son fils, il lui parle, fait l'andouille pour le faire rire, lui fait des bisous, lui dit qu'il l'aime... Mais par la force des choses, il s'en occupe peu. Je sais qu'il en souffre de ne pas être très présent et en même temps il est incapable de lâcher prise sur le boulot.
Je sais qu'il lui arrive aussi de penser que j'en fais moins que lui parce que je suis à la maison et donc qu'il est forcément plus fatigué que moi mais la je ne me gêne pas pour remettre les points sur les i. Par contre quand il était en congé paternité on faisait 50/50 et je ne me souviens pas avoir eu besoin de réclamer son aide. Donc il n'y a pas de mauvaise volonté de sa part, juste un rapport à son travail que je trouve malsain... Et c'est quand même pas évident pour moi de m'adapter à son rythme, notamment quand j'ai besoin de lui laisser bébé pour des rdv à l'extérieur, parce que je sais qu'il n'est jamais disponible.

. Si j'y pense en début de travail à la maison (en supposant que ça se passe comme ça) j'aimerais bien les regarder à nouveau
Ma SF m'a conseillé d'attendre d'avoir fini la rééducation pour reprendre le sport de manière modérée.