@Destiel Mok´ l'utérus glissant 
@Kettricken on a déjà parlé de cette pression de l'allaitement ici, moi je trouvais aussi que l'allaitement était présenté comme la bonne façon correcte de nourrir son bébé, et le biberon comme une alternative si on n'avait pas la possibilité d'allaiter au sein, mais donc forcément une alternative moins bonne. Or il y a des nanas qui ont raconté qu'elles avaient pas perçu cette pression là, cet environnement là, mais plutôt que les différents professionnels les en avaient découragées.
Il n'empêche que partout, l'allaitement est mis en avant et notamment tu peux pas acheter une boîte de lait sans tomber sur l'avertissement : "le lait maternel est le meilleur aliment pour votre bébé, gala/guigoz/moncul soutient l'allaitement maternel selon les recommandations de l'oms" etc. Les entreprises qui fabriquent du lait en poudre n'ont pas le droit d'en faire la publicité, le message du gouvernement à travers ses différentes agences et notamment l'anses c'est que le lait maternel doit toujours être privilégié etc etc. Les brochures officielles n'abordent le biberon que par "vous ne pouvez ou ne voulez pas allaiter ?" donc comme une espèce soit de preuve d'incapacité, soit de refus avec je trouve une connotation négative, au lieu de dire par exemple : "vous avez choisi de nourrir au biberon ?" qui laisserait moins entendre qu'on est en conscience en train de refuser à notre bébé le meilleur truc.
Et DANS LE MEME TEMPS, parce qu'en France on kiffe mettre la pression sans assurer derrière, les femmes doivent reprendre le travail pour la plupart au bout de 6 semaines, et sont quand même priées d'allaiter jusqu'à 6 mois alors même que les conditions pour le faire sont très rarement offertes. Et ça aussi c'est scandaleux. Devoir tirer dans les chiottes au boulot, trimballer ta glacière qui pèse un bras avec le tire-lait, devoir si t'as de la chance négocier pour obtenir les pauvres 30 minutes par jour auxquelles tu as droit... c'est franchement dégueulasse je trouve. Et pendant ce temps-là, les bonshommes se font taper dans le dos quoi. Et ça fait peser la responsabilité sur l'individu alors que si l'Etat donc la collectivité souhaite encourager l'allaitement comme la meilleure façon de nourrir un bébé, bah il faut mettre en place les conditions pour que ce soit possible, sinon tu laisses genre deux choix aux femmes : se sentir comme des merdes parce qu'elles choisissent de pas faire "le mieux" (ce qui est présenté comme le mieux hein, j'adhère pas) ; ou s'épuiser à la tâche.
Voilà maintenant je vais manger mon reste de pizza

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@Kettricken on a déjà parlé de cette pression de l'allaitement ici, moi je trouvais aussi que l'allaitement était présenté comme la bonne façon correcte de nourrir son bébé, et le biberon comme une alternative si on n'avait pas la possibilité d'allaiter au sein, mais donc forcément une alternative moins bonne. Or il y a des nanas qui ont raconté qu'elles avaient pas perçu cette pression là, cet environnement là, mais plutôt que les différents professionnels les en avaient découragées.
Il n'empêche que partout, l'allaitement est mis en avant et notamment tu peux pas acheter une boîte de lait sans tomber sur l'avertissement : "le lait maternel est le meilleur aliment pour votre bébé, gala/guigoz/moncul soutient l'allaitement maternel selon les recommandations de l'oms" etc. Les entreprises qui fabriquent du lait en poudre n'ont pas le droit d'en faire la publicité, le message du gouvernement à travers ses différentes agences et notamment l'anses c'est que le lait maternel doit toujours être privilégié etc etc. Les brochures officielles n'abordent le biberon que par "vous ne pouvez ou ne voulez pas allaiter ?" donc comme une espèce soit de preuve d'incapacité, soit de refus avec je trouve une connotation négative, au lieu de dire par exemple : "vous avez choisi de nourrir au biberon ?" qui laisserait moins entendre qu'on est en conscience en train de refuser à notre bébé le meilleur truc.
Et DANS LE MEME TEMPS, parce qu'en France on kiffe mettre la pression sans assurer derrière, les femmes doivent reprendre le travail pour la plupart au bout de 6 semaines, et sont quand même priées d'allaiter jusqu'à 6 mois alors même que les conditions pour le faire sont très rarement offertes. Et ça aussi c'est scandaleux. Devoir tirer dans les chiottes au boulot, trimballer ta glacière qui pèse un bras avec le tire-lait, devoir si t'as de la chance négocier pour obtenir les pauvres 30 minutes par jour auxquelles tu as droit... c'est franchement dégueulasse je trouve. Et pendant ce temps-là, les bonshommes se font taper dans le dos quoi. Et ça fait peser la responsabilité sur l'individu alors que si l'Etat donc la collectivité souhaite encourager l'allaitement comme la meilleure façon de nourrir un bébé, bah il faut mettre en place les conditions pour que ce soit possible, sinon tu laisses genre deux choix aux femmes : se sentir comme des merdes parce qu'elles choisissent de pas faire "le mieux" (ce qui est présenté comme le mieux hein, j'adhère pas) ; ou s'épuiser à la tâche.
Voilà maintenant je vais manger mon reste de pizza

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à celui qui se dit qu'il a du mal entendre
en passant par celui qui a entendu mais que ça choque beaucoup
donc il se sent obligé de dire "quand même c'est un enfant, il doit dire zizi ou zézette" ou celui qui a entendu et qui approuve


Je crois qu'à ta place je ne laisserais pas passer, quitte à les décommander pour l'anniversaire. Parce que c'est une chose qu'ils aient leur avis et soient convaincus de leur façon de faire, mais là c'est ton bébé, c'est toi la mère (+ ton conjoint le père) et c'est vous qui décidez comment gérer votre enfant. Ce qu'ils ont fait est hyper irrespectueux. Je critique beaucoup ma mère qui est souvent insupportable (et partisane du laisser pleurer), mais quand je l'ai laissée une fois gérer Poupouts un soir, Poupouts a beaucoup pleuré, ne voulait pas aller dormir etc., et ma mère l'a gardée sur elle ou près d'elle (bon je pense qu'elle l'a laissée un peu pleurer en fin de soirée mais elle m'a tout expliqué comment ça s'était passé et pour le coup je pense qu'elle disait la vérité). Bref, pour UN soir, tes parents auraient dû faire l'effort de suivre votre consigne.
(et ça puait
)
" ouais ta gueule 