Je pense qu'il faut faire la différence entre les enfants qui sont en bas âge et bruyants et les enfant âgés d'un peu plus de 2 ans et très mal éduqué (et croyez-moi, c'est très facile de faire la différence).
Maintenant, tout ça est un problème d'espace public. Déjà, juste faire entrer plusieurs poussettes dans un bus ou un tram, c'est un galère. En heure de pointe, on sent l'agacement des gens sans poussette alors en plus lorsque l'enfant se met à crier... Ça créer des tensions. Idem pour le métro.
Pour les trains, t'as le bonus de la fameuse marché, si t'es seule avec une poussette ça doit être galère.
Faudrait des véhicules publics mieux conçus.
Je pense aussi que le fait que tout le monde ait des horaires type 9h,-18h ça aide pas. Si les gens commenceraient à des horaires différents, ça désengorger ait pas mal de créneaux.
Après pour le bruit, c'est un mauvais moment à passé. Perso, je vis en-dessous d'une famille qui a deux enfants, ils sont très bruyants, mais pas au point de me faire monter chez eux.
Le manque d'isolation de l'immeuble est en partie responsable, donc du coup, il n'y a rien à faire. Je pense que même moi, mon voisin du dessous doit m'entendre également parfois.
Il y a aussi des parents qui sont fatigués par le bruit de leur propre enfant. J'ai une amie qui a un casque antibruit car pour des raisons psychologiques, elle a absolument besoin d'avoir du calme.
Je pense que faut jamais oublier que les parents aimeraient aussi que leurs enfants soient plus calme (pourquoi il y en a qui mettent leurs enfants devant la télé ? Et d'autres qui leur donnent des portable pour avoir la paix ?)
Nous on ressent de l'agacement passager mais certains parents sont en souffrance aussi. Alors, oui ils ont le choix, mais avoir un enfant reste très valorisé socialement. Les futurs parents sous-estiment souvent l'implication que ça demande parce qu'ils ont une vision d'une famille idéale.
Maintenant, tout ça est un problème d'espace public. Déjà, juste faire entrer plusieurs poussettes dans un bus ou un tram, c'est un galère. En heure de pointe, on sent l'agacement des gens sans poussette alors en plus lorsque l'enfant se met à crier... Ça créer des tensions. Idem pour le métro.
Pour les trains, t'as le bonus de la fameuse marché, si t'es seule avec une poussette ça doit être galère.
Faudrait des véhicules publics mieux conçus.
Je pense aussi que le fait que tout le monde ait des horaires type 9h,-18h ça aide pas. Si les gens commenceraient à des horaires différents, ça désengorger ait pas mal de créneaux.
Après pour le bruit, c'est un mauvais moment à passé. Perso, je vis en-dessous d'une famille qui a deux enfants, ils sont très bruyants, mais pas au point de me faire monter chez eux.
Le manque d'isolation de l'immeuble est en partie responsable, donc du coup, il n'y a rien à faire. Je pense que même moi, mon voisin du dessous doit m'entendre également parfois.
Il y a aussi des parents qui sont fatigués par le bruit de leur propre enfant. J'ai une amie qui a un casque antibruit car pour des raisons psychologiques, elle a absolument besoin d'avoir du calme.
Je pense que faut jamais oublier que les parents aimeraient aussi que leurs enfants soient plus calme (pourquoi il y en a qui mettent leurs enfants devant la télé ? Et d'autres qui leur donnent des portable pour avoir la paix ?)
Nous on ressent de l'agacement passager mais certains parents sont en souffrance aussi. Alors, oui ils ont le choix, mais avoir un enfant reste très valorisé socialement. Les futurs parents sous-estiment souvent l'implication que ça demande parce qu'ils ont une vision d'une famille idéale.
au quotidien je lui apprends beaucoup à respecter les limites des gens, à exprimer les siennes etc, du coup maintenant en général je dis direct aux gens qu'ils n'hésitent pas à poser leurs limites si ma fille les importune. En + en général les gens ne savent pas trop poser leurs limites donc ça leur fait un petit exercice improvisé 
chiant, mais normal !
Mais déjà sur ce point-là, je trouve toujours bizarre de considérer que les enfants des autres ne devraient pas nous être "imposés" alors qu'au final, nous sommes responsables de ces enfants en tant que société, comme la société était responsable de nous quand on était enfants, et donc dans un certain sens, on devrait tous manifester un minimum d'empathie vis-à-vis des enfants des autres, qu'on les aime ou pas du tout, qu'on trouve les parents pas très dégourdis ou non, de la même manière qu'on doit ressentir un minimum d'empathie et de compréhension vis-à-vis de toutes les personnes vulnérables de notre société.
"Hate the sin, love the sinner" (hais le péché mais aime le pécheur). En gros, pour eux, être gay n'est pas un choix (donc pas condamnable), mais coucher/vivre en couple avec quelqu'un du même sexe que soi, si (donc on peut commencer à leur jeter des pierres). Partir du principe qu'on est exempté des discriminations à partir du moment où on a choisi sa situation, ça peut vite entraîner sur des pentes pas mal foireuses (à mon sens). Je suis sûre qu'on peut trouver nombres de mascu qui nous diraient de ne pas nous plaindre si on subit le sexisme en entreprise ou autres milieux à dominance masculine : après tout, si on voulait pas se faire emmerder, on n'avait qu'à se cantonner à des boulots dits "de femmes", devenir institutrices plutôt qu'ingénieures (*) (ou mieux, rester au foyer, quitte à faire !) Quoi, tu vas pas pleurer pour une main aux fesses, t'as choisi d'être ici, non ? Ça vaut pour plein d'autres choses : une femme choisit de rentrer chez elle à pieds après une soirée au lieu de rester dormir sur place, etc.