Je l'ai dans ma liste de livres à lire, merci pour cet avis détaillé, je commencerai Norek sans doute dès que j'aurai fini de lire L'Illusion de Maxime Chattam.
Quel livre lisez-vous en ce moment ?
- Initiateur de la discussion Yana
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- les essentiels
Terminé Il faut qu'on parle de Kevin, il me faudrait une lecture facile et légère mais je n'en ai pas sous la main. Du coup j'ai commencé Pot-Bouille en attendant d'aller à la médiathèque.
Je suis en train de lire Mr Brown d'Agatha Christie, et je m'amuse follement ! 
C'est le premier roman de la série avec Tuppence Cowley et Thomas Beresford. J'ai lu de cette même série, pour un (super) club, Le Cheval à bascule, qui est sans doute le texte le plus fantaisiste et foufou d'Agatha Christie qui m'ait été donné de parcourir.
J'ai l'impression de lire un Alice de “Caroline Quine” ou un Club des cinq d'Enid Blyton, comme lorsque, petite, j'étais en vacances chez mes grands-parents maternels. C'est léger, bon enfant, divertissant, il y a plein de petites péripéties et ça se lit vite !
C'est le premier roman de la série avec Tuppence Cowley et Thomas Beresford. J'ai lu de cette même série, pour un (super) club, Le Cheval à bascule, qui est sans doute le texte le plus fantaisiste et foufou d'Agatha Christie qui m'ait été donné de parcourir.
J'ai l'impression de lire un Alice de “Caroline Quine” ou un Club des cinq d'Enid Blyton, comme lorsque, petite, j'étais en vacances chez mes grands-parents maternels. C'est léger, bon enfant, divertissant, il y a plein de petites péripéties et ça se lit vite !
J ai fini l intégrale de Wake Up America de John Lewis, Andrew Aydin et Nate Powell.
Ces 560 pages couvrent la lutte pour les droits civiques des Afro-américains sur 25 années décisives, de 1940 à 1965.
En partant de la biographie de John Lewis, cette BD remarquable offre un panorama des mouvements, des figures et des événements qui marquèrent ce combat, un combat qui résonne toujours aujourd'hui, y compris hors USA, en promouvant l égalité entre les concitoyens et en réaffirmant l'importance du vote. Indispensable!
J ai aussi lu Nos richesses de Kaouther Adimi sur l histoire d une librairie algéroise, Les vraies Richesses.
Elle met en parallèle les trajectoires de 2 jeunes hommes, Edmond Charlot qui fonda ce haut lieu culturel dans les années 30 et Ryad qui est chargé de le fermer en 2017, entre les 2 le vieil Abdallah sert de trait d union réticent.
Tout y respire l amour des livres. Du nom, Les vraies Richesses, qui est une référence à Giono, à la fonction hybride de ce lieu d émulation intellectuelle et d échanges qui permettra de lancer Camus, Roblès, Yacine et d autres : "Ce sera une bibliothèque, une librairie, une maison d édition, mais ce sera avant tout un lieu pour les amis qui aiment la littérature et la Méditerranée."
C est aussi l Histoire poignante de l Algérie (la 2e Guerre Mondiale côté Afrique du Nord, celle de l Indépendance, le colonialisme et sa fin, le terrorisme des annees 90).
Bref, un livre sur les livres (oui encore et toujours
), sur le fou de littérature qu était Edmond Charlot, un livre qui touchera les rats de bibliothèque comme moi et qui me laisserait presque un goût de trop peu. Une jolie découverte.
Ces 560 pages couvrent la lutte pour les droits civiques des Afro-américains sur 25 années décisives, de 1940 à 1965.
En partant de la biographie de John Lewis, cette BD remarquable offre un panorama des mouvements, des figures et des événements qui marquèrent ce combat, un combat qui résonne toujours aujourd'hui, y compris hors USA, en promouvant l égalité entre les concitoyens et en réaffirmant l'importance du vote. Indispensable!
J ai aussi lu Nos richesses de Kaouther Adimi sur l histoire d une librairie algéroise, Les vraies Richesses.
Elle met en parallèle les trajectoires de 2 jeunes hommes, Edmond Charlot qui fonda ce haut lieu culturel dans les années 30 et Ryad qui est chargé de le fermer en 2017, entre les 2 le vieil Abdallah sert de trait d union réticent.
Tout y respire l amour des livres. Du nom, Les vraies Richesses, qui est une référence à Giono, à la fonction hybride de ce lieu d émulation intellectuelle et d échanges qui permettra de lancer Camus, Roblès, Yacine et d autres : "Ce sera une bibliothèque, une librairie, une maison d édition, mais ce sera avant tout un lieu pour les amis qui aiment la littérature et la Méditerranée."
C est aussi l Histoire poignante de l Algérie (la 2e Guerre Mondiale côté Afrique du Nord, celle de l Indépendance, le colonialisme et sa fin, le terrorisme des annees 90).
Bref, un livre sur les livres (oui encore et toujours
), sur le fou de littérature qu était Edmond Charlot, un livre qui touchera les rats de bibliothèque comme moi et qui me laisserait presque un goût de trop peu. Une jolie découverte.
J'ai pris le train aujourd'hui, et j'ai glissé dans mon sac Parfums des thés (une anthologie de haïkus autour du thé).
À l'aller j'étais très fatiguée, des ados étaient particulièrement bruyant·e·s (j'avais déjà fui une voiture car un jeune homme téléphonait à sa place, il parlait vraiment fort), alors je lisais cahin-caha. J'ai quand même pris des notes, et j'ai apprécié le début du livre qui décrit une cérémonie japonaise du thé (autrice : Chantal Peresan-Roudil, si j'ai bien recopié son nom).
En tant qu'objet, ce livre m'a réjouie. Le papier choisi, son grammage, la police d'écriture, les illustrations... Tout est luxueux, agréable, jouissif. Ça m'a rappelé quand j'ai réalisé des articles de papeterie (j'ai été amenée à choisir le papier et son grammage auprès de l'excellent groupe Fedrigoni, en grande sensorielle cette expérience m'a marquée...).
Au retour, j'étais assise confortablement, il n'y avait qu'une autre personne aux alentours. Je venais de déjeuner, de voir ma psy, j'étais rassérénée. J'ai donc fini Parfums des thés. Cette fois des images me sont venues, comme avec ce haïku de Damien Gabriels :
thé matinal
la tache de soleil descend
une marche après l'autre
Ou encore :
magasin de thé
les gestes mesurés
de la vendeuse
(Delphine Eissen). J'ai tout de suite pensé à ma boutique de thé préférée et à la vendeuse qui tire la tronche, limite agressive, mais qui est ultra pro et précise.
Bref, un doux et confortable édredon, ce bouquin. Des éclats de lumières, ces haïkus. Dommage que les auteur·rice·s n'étaient pas plus nombreux·ses, ça manquait de variété (les mêmes gen·te·s revenaient encore et encore, dont les deux hommes qui ont coordonné l'anthologie).
-
En rentrant j'ai repris ma lecture de Mr Brown d'Agatha Christie.
À l'aller j'étais très fatiguée, des ados étaient particulièrement bruyant·e·s (j'avais déjà fui une voiture car un jeune homme téléphonait à sa place, il parlait vraiment fort), alors je lisais cahin-caha. J'ai quand même pris des notes, et j'ai apprécié le début du livre qui décrit une cérémonie japonaise du thé (autrice : Chantal Peresan-Roudil, si j'ai bien recopié son nom).
En tant qu'objet, ce livre m'a réjouie. Le papier choisi, son grammage, la police d'écriture, les illustrations... Tout est luxueux, agréable, jouissif. Ça m'a rappelé quand j'ai réalisé des articles de papeterie (j'ai été amenée à choisir le papier et son grammage auprès de l'excellent groupe Fedrigoni, en grande sensorielle cette expérience m'a marquée...).
Au retour, j'étais assise confortablement, il n'y avait qu'une autre personne aux alentours. Je venais de déjeuner, de voir ma psy, j'étais rassérénée. J'ai donc fini Parfums des thés. Cette fois des images me sont venues, comme avec ce haïku de Damien Gabriels :
thé matinal
la tache de soleil descend
une marche après l'autre
Ou encore :
magasin de thé
les gestes mesurés
de la vendeuse
(Delphine Eissen). J'ai tout de suite pensé à ma boutique de thé préférée et à la vendeuse qui tire la tronche, limite agressive, mais qui est ultra pro et précise.
Bref, un doux et confortable édredon, ce bouquin. Des éclats de lumières, ces haïkus. Dommage que les auteur·rice·s n'étaient pas plus nombreux·ses, ça manquait de variété (les mêmes gen·te·s revenaient encore et encore, dont les deux hommes qui ont coordonné l'anthologie).
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En rentrant j'ai repris ma lecture de Mr Brown d'Agatha Christie.
J'ai fini Cigales blues, cigales blondes d'Amandine Brasey, finalement je suis un peu déçue... L'idée était intéressante mais c'était trop, tout était trop absurde, sans queue ni tête, trop ridicule, trop rapide... Dommage même si j'ai passé un bon moment.
Aucune idée de ma prochaine lecture pour le moment!
Aucune idée de ma prochaine lecture pour le moment!
J ai terminé les 2 parties du tome 8 d Outlander qui m aura accompagné depuis le début de l année.
Ce tome démarre sur les chapeaux de roues dans la suite directe du volume précédent. Le rythme ne s essoufle pas, dans un foisonnement d intrigues et d aventures, entre 3 temporalités et 7 personnages principaux. On croise même Lafayette et Washington !
Ce 8e tome m aura fait passer par toutes les émotions : du rire aux larmes (entre les mariages, les naissances, les morts regrettables et les retrouvailles prometteuses), de l admiration devant la documentation et de l agacement parfois devant le traitement de certains sujets.
Ça reste un plaisir de lecture sans cesse renouvelé !
Ce tome démarre sur les chapeaux de roues dans la suite directe du volume précédent. Le rythme ne s essoufle pas, dans un foisonnement d intrigues et d aventures, entre 3 temporalités et 7 personnages principaux. On croise même Lafayette et Washington !
Ce 8e tome m aura fait passer par toutes les émotions : du rire aux larmes (entre les mariages, les naissances, les morts regrettables et les retrouvailles prometteuses), de l admiration devant la documentation et de l agacement parfois devant le traitement de certains sujets.
Ça reste un plaisir de lecture sans cesse renouvelé !
Je l'ai fini !(...).
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En rentrant j'ai repris ma lecture de Mr Brown d'Agatha Christie.
Mr Brown est le deuxième roman publié par Agatha Christie (1922). Je peux dire que c'est un de mes préférés (et j'ai lu une trentaine de romans et recueils de nouvelles de la reine du crime) ! J'ai été réellement divertie, c'est si léger, avec tout un tas de rebondissements !
Prudence et Thomas Beresford sont jeunes et fougueux, et j'ai trouvé la proposition d'Agatha Christie pleine de fraîcheur. Un bonheur !Si j'avais des enfants, je leur recommanderais ce livre dès le collège : il est ultra accessible. Bon, je préciserais au passage que l'autrice a une fâcheuse tendance à faire de la morphopsychologie, qu'elle tient des propos racistes, qu'elle est clairement conservatrice, histoire qu'iels portent un regard critique sur ce qu'iels lisent. Mais boudu, que j'aime l'Œuvre de cette femme ! Ce récit est indéniablement bourré de qualités (et la VF de coquilles en tous genres, on sent qu'iels ont voulu publier trèèès vite
).Demain changement d'ambiance : j'attaque Méduse (2020), de Martine Desjardins (poke @Luthéa et @Deilephila elpenor).
Ca fait très longtemps que je n'ai pas posté ici mais j'aime toujours autant vous lire.
En ce moment, je lis le tome 2 de la saga Grisha. J'avais adoré le tome 1, le côté orpheline pauvre qui a en fait un destin extraordinaire et s'introduit à la cour du roi marche toujours très bien sur moi et surtout j'avais adoré le méchant.
Ce tome 2 est un peu moins prenant bien que l'autrice reprenne des ficelles qui, à mon sens, doivent marcher sur beaucoup de lecteurs :
Il y a pas mal de raccourcis mais franchement ça se lit tout seul. Je comprends pourquoi cette saga young adult a eu du succès.
En ce moment, je lis le tome 2 de la saga Grisha. J'avais adoré le tome 1, le côté orpheline pauvre qui a en fait un destin extraordinaire et s'introduit à la cour du roi marche toujours très bien sur moi et surtout j'avais adoré le méchant.
Ce tome 2 est un peu moins prenant bien que l'autrice reprenne des ficelles qui, à mon sens, doivent marcher sur beaucoup de lecteurs :
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Il y a pas mal de raccourcis mais franchement ça se lit tout seul. Je comprends pourquoi cette saga young adult a eu du succès.
Dernière édition :
J'ai terminé la biographie romancée de Louise Michel !
poke @Esmé.
Le livre est fascinant. Bon, la collection est adressée aux jeunes/adolescent·es, donc l'écriture est assez simple, mais le contenu vaut le détour. De nombreuses notes abondent le récit, ce qui l'enrichit considérablement et pose les bases historiques.
On part d'avant la naissance de la petite Louise, ce qui contextualise sa future jeunesse et la chance qu'elle a pu avoir dans son éducation, qui lui a ensuite permis de se construire. Cela permet aussi de décerner le caractère fort de cette femme emblématique dès son plus jeune âge.
Le récit est fin et retrace minutieusement les moments forts de la vie de Louise Michel, jusqu'à sa mort. En plus des notes, il y a de nombreuses annexes (ses correspondances avec Victor Hugo notamment, ou encore des poèmes).
C'est une belle lecture, quoi que dure par son sujet forcément. J'ai énormément aimé et je trouve la collection "Litt' destin" vraiment top pour cela : elle peut inspirer des jeunes lecteurs et lectrices.
Edit : ouspi, j'avais posté mon message sans l'avoir fini, fausse manip.
Bon, maintenant je vais reprendre le livre posé sur ma table de chevet depuis un mois.
J'aurais pu devenir millionnaire, j'ai choisi d'être vagabond d'Alexis Jenni.
Voici le résumé : " Le parcours inspirant de Muir, pionnier de l’écologie, qui fut à l’origine des parcs nationaux américains.
Né en Écosse en 1838, débarqué à dix ans dans la région des Grands Lacs, aux États-Unis, le jeune Muir s’échine chaque jour dans les champs et lève parfois la tête pour regarder la nature environnante qui l’émerveille. Il consacre une partie de ses nuits à l’invention d’objets mécaniques.
Très vite, John Muir s’interroge sur le sens de cette vie de labeur, alors qu’il pourrait vivre en autonomie dans la nature. Il quitte le Wisconsin, sillonne le pays à pied, vit en ermite dans les bois, fasciné et nourri par la vie qui l’entoure. Dans la Californie de la ruée vers l’or, on fait fortune en creusant une dette écologique abyssale, que personne ne voit encore. Sauf Muir, qui la pressent grâce à son attention aux hommes et son amour du paysage.
Figure mythique aux États-Unis, fondateur des parcs nationaux, sauveur du Yosemite, John Muir posa clairement la question du sens de la vie dans la nouvelle société industrielle. Ancêtre du concept d’écologie, il fut, selon Roosevelt, « l’homme le plus libre que j’ai jamais rencontré »."
poke @Esmé.
Le livre est fascinant. Bon, la collection est adressée aux jeunes/adolescent·es, donc l'écriture est assez simple, mais le contenu vaut le détour. De nombreuses notes abondent le récit, ce qui l'enrichit considérablement et pose les bases historiques.
On part d'avant la naissance de la petite Louise, ce qui contextualise sa future jeunesse et la chance qu'elle a pu avoir dans son éducation, qui lui a ensuite permis de se construire. Cela permet aussi de décerner le caractère fort de cette femme emblématique dès son plus jeune âge.
Le récit est fin et retrace minutieusement les moments forts de la vie de Louise Michel, jusqu'à sa mort. En plus des notes, il y a de nombreuses annexes (ses correspondances avec Victor Hugo notamment, ou encore des poèmes).
C'est une belle lecture, quoi que dure par son sujet forcément. J'ai énormément aimé et je trouve la collection "Litt' destin" vraiment top pour cela : elle peut inspirer des jeunes lecteurs et lectrices.
Edit : ouspi, j'avais posté mon message sans l'avoir fini, fausse manip.
Bon, maintenant je vais reprendre le livre posé sur ma table de chevet depuis un mois.
J'aurais pu devenir millionnaire, j'ai choisi d'être vagabond d'Alexis Jenni.
Voici le résumé : " Le parcours inspirant de Muir, pionnier de l’écologie, qui fut à l’origine des parcs nationaux américains.
Né en Écosse en 1838, débarqué à dix ans dans la région des Grands Lacs, aux États-Unis, le jeune Muir s’échine chaque jour dans les champs et lève parfois la tête pour regarder la nature environnante qui l’émerveille. Il consacre une partie de ses nuits à l’invention d’objets mécaniques.
Très vite, John Muir s’interroge sur le sens de cette vie de labeur, alors qu’il pourrait vivre en autonomie dans la nature. Il quitte le Wisconsin, sillonne le pays à pied, vit en ermite dans les bois, fasciné et nourri par la vie qui l’entoure. Dans la Californie de la ruée vers l’or, on fait fortune en creusant une dette écologique abyssale, que personne ne voit encore. Sauf Muir, qui la pressent grâce à son attention aux hommes et son amour du paysage.
Figure mythique aux États-Unis, fondateur des parcs nationaux, sauveur du Yosemite, John Muir posa clairement la question du sens de la vie dans la nouvelle société industrielle. Ancêtre du concept d’écologie, il fut, selon Roosevelt, « l’homme le plus libre que j’ai jamais rencontré »."
Dernière édition :
@Kazia Qu'as-tu pensé de Il faut qu'on parle de Kevin, alors ?
J'avais adoré perso, je trouve que c'est un roman magistral et incroyablement bien écrit (ou bien traduit, en tout cas !). Une grosse claque, et des personnages sacrément fouillés. Je ne me rappelle pas d'avoir lu des passages racistes, mais, même si ça n'excuse rien, le bouquin a été écrit il y a plus de 20 ans, et je crois que l'autrice n'est pas super "woke"
Mais elle a, à mon sens, un très grand talent.
@Deilephila elpenor J'ai lu Le pouvoir il y a un peu trop longtemps pour bien m'en souvenir, mais je n'avais pas aimé non plus ! Mal écrit, très mal exploité... L'idée de base était géniale, mais comme souvent, il ne suffit pas d'une bonne idée pour faire un bon livre. Il faudrait le faire réécrire entièrement par quelqu'un d'autre
De mon côté, après une grosse panne de lecture (j'ai dû ouvrir et refermer une dizaine de bouquins après en avoir lu 30 pages, incapable d'accrocher à quoi que ce soit), je retrouve enfin le plaisir d'être plongée dans un bon livre.
J'ai emprunté "Nos pères, nos frères, nos amis - Dans la tête des hommes violents " de Mathieu Palain à la bibliothèque, c'est une enquête auprès de plusieurs groupes de parole d'hommes ayant été condamnés pour violences conjugales. Bon, c'est pas feel good évidemment, et ça fout souvent la rage... Mais ça donne quelques bonnes clés de compréhension sur la violence conjugale, et la violence en général. On voit que tout part de l'enfance, et que la violence peut être assimilée à un virus qui se transmet d'être en être. Pas une lecture facile, mais une analyse très intéressante.
Là je poursuis avec une autre lecture feel good (LOL non) sur le génocide du Rwanda. Dans Le convoi, Beata Umubyeyi Mairesse raconte comment elle a été sauvée par un convoi humanitaire, et les recherches qu'elle entreprend plusieurs années après pour retrouver les individus qui l'ont aidée.
Je ne l'ai pas terminé, mais j'aime beaucoup. C'est fin, bien écrit, et ça aborde plein de sujets intéressants comme la mémoire, la transmission, la fabrication de la violence, etc.
J'avais adoré perso, je trouve que c'est un roman magistral et incroyablement bien écrit (ou bien traduit, en tout cas !). Une grosse claque, et des personnages sacrément fouillés. Je ne me rappelle pas d'avoir lu des passages racistes, mais, même si ça n'excuse rien, le bouquin a été écrit il y a plus de 20 ans, et je crois que l'autrice n'est pas super "woke"
Mais elle a, à mon sens, un très grand talent.@Deilephila elpenor J'ai lu Le pouvoir il y a un peu trop longtemps pour bien m'en souvenir, mais je n'avais pas aimé non plus ! Mal écrit, très mal exploité... L'idée de base était géniale, mais comme souvent, il ne suffit pas d'une bonne idée pour faire un bon livre. Il faudrait le faire réécrire entièrement par quelqu'un d'autre
De mon côté, après une grosse panne de lecture (j'ai dû ouvrir et refermer une dizaine de bouquins après en avoir lu 30 pages, incapable d'accrocher à quoi que ce soit), je retrouve enfin le plaisir d'être plongée dans un bon livre.
J'ai emprunté "Nos pères, nos frères, nos amis - Dans la tête des hommes violents " de Mathieu Palain à la bibliothèque, c'est une enquête auprès de plusieurs groupes de parole d'hommes ayant été condamnés pour violences conjugales. Bon, c'est pas feel good évidemment, et ça fout souvent la rage... Mais ça donne quelques bonnes clés de compréhension sur la violence conjugale, et la violence en général. On voit que tout part de l'enfance, et que la violence peut être assimilée à un virus qui se transmet d'être en être. Pas une lecture facile, mais une analyse très intéressante.
Là je poursuis avec une autre lecture feel good (LOL non) sur le génocide du Rwanda. Dans Le convoi, Beata Umubyeyi Mairesse raconte comment elle a été sauvée par un convoi humanitaire, et les recherches qu'elle entreprend plusieurs années après pour retrouver les individus qui l'ont aidée.
Je ne l'ai pas terminé, mais j'aime beaucoup. C'est fin, bien écrit, et ça aborde plein de sujets intéressants comme la mémoire, la transmission, la fabrication de la violence, etc.
@Chat-au-Chocolat J'ai bien aimé la manière dont le récit est construit mais mon Dieu que les personnages étaient horripilants
J'ai failli décrocher en partie à cause de ça mais je suis quand même contente de ne pas avoir abandonné.
En ce moment je lis le dernier tome de la saga Vampyria de Victor Dixen, La Cour des Ouragans . Des longueurs mais moins que dans le second tome.
J'ai failli décrocher en partie à cause de ça mais je suis quand même contente de ne pas avoir abandonné.
En ce moment je lis le dernier tome de la saga Vampyria de Victor Dixen, La Cour des Ouragans . Des longueurs mais moins que dans le second tome.
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