@namaeganai Pour les catégories du Cold Winter Challenge ? @Saucisson. a ouvert le topic avec tous les renseignements compilés ! 
Quel livre lisez-vous en ce moment ?
- Initiateur de la discussion Yana
- Date de début
-
- Mots-clés
- les essentiels
@Aeonium Je n'ai pas de titre qui me vient, mais la description de la couverture m'évoque le style de "l'école des loisirs", ça peut peut-être t'aider à affiner les recherches ?
(en farfouillant je vois que Moka a écrit une histoire de sorcière et de confiture : https://booknode.com/sorcier_volume_7_secrets_et_confiture_035466 )
(en farfouillant je vois que Moka a écrit une histoire de sorcière et de confiture : https://booknode.com/sorcier_volume_7_secrets_et_confiture_035466 )
Merci pour vos réponses !
@Bulleuze C'est vrai que ça aurait pu être l'école des loisirs, mais dans mes souvenirs c'est un livre plus souple que ceux de l'école des loisirs
En tout cas ce n'est pas ça, mais je ne connaissais pas cette série de Moka alors que j'adorais cette autrice plus jeune, donc merci pour la découverte
@dodoindo Ce n'est pas ça non plus, je pense que c'était un roman sans illustrations !
@Bulleuze C'est vrai que ça aurait pu être l'école des loisirs, mais dans mes souvenirs c'est un livre plus souple que ceux de l'école des loisirs
En tout cas ce n'est pas ça, mais je ne connaissais pas cette série de Moka alors que j'adorais cette autrice plus jeune, donc merci pour la découverte @dodoindo Ce n'est pas ça non plus, je pense que c'était un roman sans illustrations !
@Aeonium l'écoel des loisirs fait des abonnements à l'année avec des classiques à elleux avec des couvertures souples et brillantes ;-) regarde peut etre de ce côté là
J'ai fini Un bûcher sous la neige de Susan Fletcher.
Au XVIIe siècle, un révérend irlandais acquis à la cause jacobite (aka pro Stuart catholique) rend visite à une "sorcière" condamnée au bûcher, avant qu'elle soit exécutée, afin d'enquêter sur le massacre de Glencoe à l'encontre d'un clan highlander. Elle en profite pour lui raconter sa vie.
C'est une histoire à la fois dure et touchante de 2 destins qu'a priori tout oppose qui vont se rapprocher et se comprendre dans des circontances improbables. A travers Corrag la condamnée, c'est aussi l'histoire de ces femmes trop libres trop tôt et qui le payèrent cher. Le style et la construction du récit rendent un hommage vibrant à ces "sorcières" et à ce beau pays qui me fait tellement envie, l'Ecosse.
J'ai aussi lu dimanche dernier Premier amour de Tourgueniev. Assez tendre, assez cruel, comme un premier amour adolescent en somme. Le style n'était pas renversant.
Après la mélancolie et l'atmosphère d'Un bûcher sous la neige, j'ai envie de légèreté. Je pense me mettre à une des reliques de ma pàl, Pyramides de Pratchett (dans ma pal depuis 2015^^)...
Au XVIIe siècle, un révérend irlandais acquis à la cause jacobite (aka pro Stuart catholique) rend visite à une "sorcière" condamnée au bûcher, avant qu'elle soit exécutée, afin d'enquêter sur le massacre de Glencoe à l'encontre d'un clan highlander. Elle en profite pour lui raconter sa vie.
C'est une histoire à la fois dure et touchante de 2 destins qu'a priori tout oppose qui vont se rapprocher et se comprendre dans des circontances improbables. A travers Corrag la condamnée, c'est aussi l'histoire de ces femmes trop libres trop tôt et qui le payèrent cher. Le style et la construction du récit rendent un hommage vibrant à ces "sorcières" et à ce beau pays qui me fait tellement envie, l'Ecosse.
J'ai aussi lu dimanche dernier Premier amour de Tourgueniev. Assez tendre, assez cruel, comme un premier amour adolescent en somme. Le style n'était pas renversant.
Après la mélancolie et l'atmosphère d'Un bûcher sous la neige, j'ai envie de légèreté. Je pense me mettre à une des reliques de ma pàl, Pyramides de Pratchett (dans ma pal depuis 2015^^)...
Merci pour ces mots ! Comme toi, cette lecture m'a mise souvent très mal à l'aise, remuant mes souvenirs et espoirs de lectrice de la première trilogie. Et pourtant, quelle plume encore une fois. Philip Pullman est vraiment une voix rare dans la littérature ! Mais ça m'a tellement chamboulée que j'hésite à lire le tome suivant.
J'avais noté Un bûcher sous la neige il y a longtemps, tu me (re)donnes envie @miss.acacia !
J'ai fini "Le Signal" de Maxime Chattam. Un tome de plus de cet auteur qui décidément est très bon. Mon frère me l'avait prêté en me disant : " Tu verras, tu ne dormira pas de la nuit. C'est le livre qui m'a fait le plus flipper. Bah finalement pas tant que ça." C'est un très bon livre mais je m'attendais à plus de peur. Finalement les seuls passages angoissants sont très courts et sans suite. Donc assez frustrant quand on s'attend à un livre qui donne des insomnies. Mais sinon les personnages sont très bien construits, pas clichés, la fin est également bien faite. Et j'aime quand un roman qui traite du sujet des apparitions fantomatiques se termine avec une explication "logique" et pas : Oh bah c'est comme ça et puis voila !
J'ai commencé the embarrasment of riches de Simon Chama. Un essai d'histoire sociale sur l'âge d'or des Pays Bas. J'aime beaucoup ma lecture, j'apprends plein de choses.
Plus tard dans la journée, j'aimerais donner une chance à elantris de Sanderson.
Plus tard dans la journée, j'aimerais donner une chance à elantris de Sanderson.
Je vous partage ici mes dernières lectures, ne rentrant pas dans le challenge Madmoizelle
Un bonheur que je ne souhaite à personne, S.LeBihan, 2018,247p
Roman pioché dans ma pile à lire, je vais essayer de profiter de ce second confinement pour l’alléger un peu de nouveau !
Ce roman raconte l’histoire de Laura mère divorcée, élevant seule ses 2 garçons dont l’un est Autiste. Elle se bat tous les jours pour offrir un futur à son fils, elle se bat tellement fort qu’elle en oublie sa propre vie jusqu’à l’épuisement … . Elle a fondé elle-même une structure accueillant les jeunes enfants autistes, elle jongle entre les divers rendez-vous médicaux de son fils et se bat pour qu’il puisse être scolarisé et avoir une AVS.
C’est un roman qui se lit très facilement, l’histoire est plaisante même si certains passages sont assez durs. Je ne sais pas quel souvenir je garderai de cette lecture, je n’ai pas trouvé le petit truc qui le rends spécial / différents d’autres romans du même genre. Et la fin est trop attendue et un peu « clichée »
Ce roman est inspiré de la vie de l’auteur et des rencontres qu’il a pu faire ; en effet, sa fille est également Autiste.
Simple, Marie-Aude Murail, 2004,210p
J’ai lu ce livre au cours de mon adolescence mais je ne m’en rappelais plus précisément, c’est donc avec bonheur que j’ai replongé dans l’univers de Kléber et Simple. Comme souvent avec cette autrice j’ai ri aux éclats au cours de ma lecture et j’ai dévoré ce roman jeunesse !
Bon après il est sorti en 2004, et l’on sent bien qu’il n’est pas tout récent : on y parle entre autres de disquette ! De plus mon regard d’adulte me fait m’interroger sur différents aspects du roman et notamment du personnage de Simple …. Cela restera donc une bonne relecture pour l’aspect souvenir et madeleine de Proust mais je ne sais pas si je l’offrirai à un.e ado.e d’aujourd’hui !
Les putes voilées n’iront jamais au Paradis, C.Djavann, 2016,205p
Dans ce roman l’on suit les destins parallèles de 2 amies Iraniennes extraordinairement belles, séparées alors qu’elles ont une dizaine d’années par le mariage forcée de l’une d’elle. Chacune va vivre une vie dure, difficile, marquée par la violence et notamment la violence sexuelle. Ces parcours de vie s’entremêlent aux témoignages d’outre-tombe de prostitués assassinés.
C’est le deuxième livre que je lis de cette autrice, après Je viens d’ailleurs. J’ai retrouvé la plume et le style assez abrupt et en même temps un peu fantasque de l’autrice. A travers ces parcours l’autrice réalise une critique de la société Iranienne et prend position en faveur d’une prostitution encadrée.
J’ai lu ce court roman très rapidement, même si je ne suis pas totalement habituée au style de l’autrice. J’ai aussi été un peu perturbée car les récits sont inspirés de faits divers réels et j’ai eu tendance à essayer de deviner ce qui tiens du roman et ce qui est « vrai ».
Va où ton cœur te porte, Tamarao, 1994,230p
Je poursuis ma tentative de vider ma pile à lire avant les fêtes de Noël. Ainsi je me suis plongée dans le roman « va où ton cœur te porte » pioché dans une boite à lire. Ce roman a été écrit par l’autrice Italienne Tamaro à la fin des années 90. Ce roman est en fait une série de « lettres » ou en tout cas de témoignages d’une grand-mère en fin de vie à sa petite fille qu’elle a élevée et qui est partie vivre en « Amérique ». Olga, est née au début du XXeme siècle et à vécu la guerre, le fascisme, mais aussi une vie stéréotypée de femme bourgeoise. A travers ses souvenirs elles tente à la fois d’expliquer sa vie et ses choix à sa petite fille mais aussi de lui donner des conseils pour ne pas faire les mêmes erreurs qu’elles.
C’est un roman qui se lit assez facilement malgré les considérations philosophiques / développement personnelles qui sont parfois un peu digressives. Malgré tout, les nombreuses métaphores ménagères m’ont souvent fait sourire ! J’ai apprécié ma lecture même si je ne suis pas sure d’en garde un souvenir très précis. J’ai un peu moins aimé la fin que j’ai trouvé vraiment datée puisque cette femme s’interroge sur ce que seront les années 2000 !
Un bonheur que je ne souhaite à personne, S.LeBihan, 2018,247p
Roman pioché dans ma pile à lire, je vais essayer de profiter de ce second confinement pour l’alléger un peu de nouveau !
Ce roman raconte l’histoire de Laura mère divorcée, élevant seule ses 2 garçons dont l’un est Autiste. Elle se bat tous les jours pour offrir un futur à son fils, elle se bat tellement fort qu’elle en oublie sa propre vie jusqu’à l’épuisement … . Elle a fondé elle-même une structure accueillant les jeunes enfants autistes, elle jongle entre les divers rendez-vous médicaux de son fils et se bat pour qu’il puisse être scolarisé et avoir une AVS.
C’est un roman qui se lit très facilement, l’histoire est plaisante même si certains passages sont assez durs. Je ne sais pas quel souvenir je garderai de cette lecture, je n’ai pas trouvé le petit truc qui le rends spécial / différents d’autres romans du même genre. Et la fin est trop attendue et un peu « clichée »
Ce roman est inspiré de la vie de l’auteur et des rencontres qu’il a pu faire ; en effet, sa fille est également Autiste.
Simple, Marie-Aude Murail, 2004,210p
J’ai lu ce livre au cours de mon adolescence mais je ne m’en rappelais plus précisément, c’est donc avec bonheur que j’ai replongé dans l’univers de Kléber et Simple. Comme souvent avec cette autrice j’ai ri aux éclats au cours de ma lecture et j’ai dévoré ce roman jeunesse !
Bon après il est sorti en 2004, et l’on sent bien qu’il n’est pas tout récent : on y parle entre autres de disquette ! De plus mon regard d’adulte me fait m’interroger sur différents aspects du roman et notamment du personnage de Simple …. Cela restera donc une bonne relecture pour l’aspect souvenir et madeleine de Proust mais je ne sais pas si je l’offrirai à un.e ado.e d’aujourd’hui !
Les putes voilées n’iront jamais au Paradis, C.Djavann, 2016,205p
Dans ce roman l’on suit les destins parallèles de 2 amies Iraniennes extraordinairement belles, séparées alors qu’elles ont une dizaine d’années par le mariage forcée de l’une d’elle. Chacune va vivre une vie dure, difficile, marquée par la violence et notamment la violence sexuelle. Ces parcours de vie s’entremêlent aux témoignages d’outre-tombe de prostitués assassinés.
C’est le deuxième livre que je lis de cette autrice, après Je viens d’ailleurs. J’ai retrouvé la plume et le style assez abrupt et en même temps un peu fantasque de l’autrice. A travers ces parcours l’autrice réalise une critique de la société Iranienne et prend position en faveur d’une prostitution encadrée.
J’ai lu ce court roman très rapidement, même si je ne suis pas totalement habituée au style de l’autrice. J’ai aussi été un peu perturbée car les récits sont inspirés de faits divers réels et j’ai eu tendance à essayer de deviner ce qui tiens du roman et ce qui est « vrai ».
Va où ton cœur te porte, Tamarao, 1994,230p
Je poursuis ma tentative de vider ma pile à lire avant les fêtes de Noël. Ainsi je me suis plongée dans le roman « va où ton cœur te porte » pioché dans une boite à lire. Ce roman a été écrit par l’autrice Italienne Tamaro à la fin des années 90. Ce roman est en fait une série de « lettres » ou en tout cas de témoignages d’une grand-mère en fin de vie à sa petite fille qu’elle a élevée et qui est partie vivre en « Amérique ». Olga, est née au début du XXeme siècle et à vécu la guerre, le fascisme, mais aussi une vie stéréotypée de femme bourgeoise. A travers ses souvenirs elles tente à la fois d’expliquer sa vie et ses choix à sa petite fille mais aussi de lui donner des conseils pour ne pas faire les mêmes erreurs qu’elles.
C’est un roman qui se lit assez facilement malgré les considérations philosophiques / développement personnelles qui sont parfois un peu digressives. Malgré tout, les nombreuses métaphores ménagères m’ont souvent fait sourire ! J’ai apprécié ma lecture même si je ne suis pas sure d’en garde un souvenir très précis. J’ai un peu moins aimé la fin que j’ai trouvé vraiment datée puisque cette femme s’interroge sur ce que seront les années 2000 !
