j'avais mollement tenté l'homme qui rit de Hugo, mais j'ai pas adoré. le style est beau, je me suis bien fait chier.
de nouveau dans une phase de gros finissage:
anton reiser: roman psychologique de karl philipp morritz. c'est un livre important car c'est un des premiers romans (1765) a vraiment s'intéresser à la la psychologie du personnage principal dans une autofiction, en pleine sturm and drang. mais concrètement, c'est ultra relou. le style est un peu pompeux, ce qui en général ne me gêne pas trop, mais en gros c'est l'histoire du pauvre petit anton à qui il n'arrive que des misères jusqu'à ce qu'il trouve sa route. la préface parle d'un roman anti-initiatique.
l'internationale raciste de michael billig, où comment les sciences raciales ont émergé d'un domaine de la psychologie, comment l'extrême droite s'en est emparée, et comment ca perdure. j'ai toute roses et papillons après cette lecture. pas angoissée pour un sou.
j'ai commencé la trilogie morgenstern, d'hervé jubert et en ai lu le premier tome. c'est des enquêtes, c'est très moyen. le seul point positif est l'univers steampunk.
ce soir, j'ai le droit d'avancer, voire de finir the virtu. une lecture très chouette. mais qui est passée en non prioritaire, car je devais avancer dans mes bouquins de la biblio. c'est maintenant chose faite, il n'y en a plus que deux de non commencés pour cette semaine.
et ce matin, j'aimerais finir trouble dans le genre de judith butler. c'est un ouvrage fondateur dans la réflexion su les mouvements queer, le genre, etc. je ne ais pas si je vais apprendre du neuf, mais ca fait toujours du bien de réviser les bases.
de nouveau dans une phase de gros finissage:
anton reiser: roman psychologique de karl philipp morritz. c'est un livre important car c'est un des premiers romans (1765) a vraiment s'intéresser à la la psychologie du personnage principal dans une autofiction, en pleine sturm and drang. mais concrètement, c'est ultra relou. le style est un peu pompeux, ce qui en général ne me gêne pas trop, mais en gros c'est l'histoire du pauvre petit anton à qui il n'arrive que des misères jusqu'à ce qu'il trouve sa route. la préface parle d'un roman anti-initiatique.
l'internationale raciste de michael billig, où comment les sciences raciales ont émergé d'un domaine de la psychologie, comment l'extrême droite s'en est emparée, et comment ca perdure. j'ai toute roses et papillons après cette lecture. pas angoissée pour un sou.
j'ai commencé la trilogie morgenstern, d'hervé jubert et en ai lu le premier tome. c'est des enquêtes, c'est très moyen. le seul point positif est l'univers steampunk.
ce soir, j'ai le droit d'avancer, voire de finir the virtu. une lecture très chouette. mais qui est passée en non prioritaire, car je devais avancer dans mes bouquins de la biblio. c'est maintenant chose faite, il n'y en a plus que deux de non commencés pour cette semaine.
et ce matin, j'aimerais finir trouble dans le genre de judith butler. c'est un ouvrage fondateur dans la réflexion su les mouvements queer, le genre, etc. je ne ais pas si je vais apprendre du neuf, mais ca fait toujours du bien de réviser les bases.