Je viens de refermer Hypersensibles – mieux se comprendre pour mieux s'accepter d'Elaine N. Aron (j'avais pour objectif de l'avoir fini au plus tard à la mi-juin ✓). Je l'ai lu plusieurs fois, à différents moments de ma vie, et à chaque fois avec un œil neuf : je retiens des informations appropriées à ce que je vis dans le présent. Je suis systématiquement satisfaite par cet essai, et aussi à chaque fois dépitée quand je lis le passage (à la fin du livre), qui évoque l'ésotérisme (au sens populaire, j'entends par là : l'occultisme, le paranormal, la magie & co) qui pour moi doit être considéré avec un œil critique et sceptique (il faut absolument faire contrepoids, et si nécessaire débunker ; Elaine N. Aron introduit l’ésotérisme comme s'il s'agissait d'une réalité incontestable, et fait un étrange mélange entre celui-ci et la spiritualité). Du moins est-ce mon avis !
Il ne me reste que trois chapitres avant la fin de la première partie de Little Women !
Ça passe vite ! Louisa May Alcott alterne entre un chapitre qui se finit par une morale chrétienne (les filles tentent de se réformer dans leurs petits et grands défauts, elles y réussissent plus ou moins), et un chapitre inspirant qui décrit des productions intellectuelles, des jeux inventés, bref, qui fait l'apologie de la créativité et de la sociabilité, ce qui constitue un temps de loisir pour le cerveau de.du lae lecteur.rice. Pour résumer, Alcott alterne entre douleur et joie, entre tradition et innovation, ce que je trouve particulièrement plaisant (et ce qui rend selon moi cette fiction réaliste).
. Je respecte mon programme : demain, en plus d’enchaîner avec la seconde partie du best-seller de Louisa May Alcott, je commence en parallèle la lecture de L’Heure zéro d’Agatha Christie ! 
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