@8
Je comprends totalement cette histoire d’immobilisme... J’en ai parlé à ma psychologue qui me disait que peut être que justement, parfois il faut accepter de ne pas bouger. A force de réfléchir à faire ceci ou cela on se met une pression monstre qui est difficile à gérer.
Je suis comme toi : je vois des gens qui ont l’air heureux en faisant ci ou ça (de la couture à la cuisine en passant par le yoga) et je me dis que je devrais faire pareil. En +, je veux toujours prouver des choses à des gens (et à moi) sans jamais me demander si c’est ce que moi je veux. Par exemple j’ai arrêté de fumer pendant deux ans parce que j’etais avec un non fumeur et que j’adorais voir « l’admiration » des fumeurs qui me voyaient arrêter facilement. Cependant, à la première contrariété j’ai repris parce que moi je ne voulais pas arrêter de fumer.
Je me suis rendue compte de ça il n’y a pas si longtemps, j’ai fait beaucoup de choses pour les autres et pour prouver des choses aux autres. (Autre exemple : le minimalisme, j’ai été à fond dedans pendant six mois et un jour je me suis rendue compte que j’etais malheureuse comme les pierres sans mes séances de shopping)
Alors du coup, j’ai décidé de reprendre les choses point par point et me demander ce que moi j’aime et ce que je veux faire. C’est difficile quand tu t’es oubliée pendant x années à trop regarder comment les autres vivent mais finalement j’arrive enfin à reprendre le contrôle petit à petit sur ma vie. Et à faire des choses que je veux vraiment faire.
La première chose que j’ai fait a été d’arreter de parler aux autres de ce que je faisais/allais faire. J’ai repris la course mais c’est entre moi et moi alors qu’avant je postais sur Instagram chaque sortie, j’en parlais à mes potes, à ma famille, presque à des inconnus dans la rue. Maintenant ce que je fais, je le fais pour moi et uniquement pour moi. Et j’y prends beaucoup plus de plaisir parce que j’attends pas la validation d’autrui sur mon activité.
Ça implique de tester des trucs (je fais 10min de yoga très facile tous les matins, mais je pense qu’en je n’irais jamais faire une retraite de deux semaines alors que les gens ont l’air tous heureux et épanouis après avoir fait ce genre de truc) et parfois de se planter, mais c’est pas grave, il faut être indulgent envers soi même ! Bon courage en tous cas, je crois savoir que c’est une situation inconfortable et que c’est difficile d’en sortir...
Je comprends totalement cette histoire d’immobilisme... J’en ai parlé à ma psychologue qui me disait que peut être que justement, parfois il faut accepter de ne pas bouger. A force de réfléchir à faire ceci ou cela on se met une pression monstre qui est difficile à gérer.
Je suis comme toi : je vois des gens qui ont l’air heureux en faisant ci ou ça (de la couture à la cuisine en passant par le yoga) et je me dis que je devrais faire pareil. En +, je veux toujours prouver des choses à des gens (et à moi) sans jamais me demander si c’est ce que moi je veux. Par exemple j’ai arrêté de fumer pendant deux ans parce que j’etais avec un non fumeur et que j’adorais voir « l’admiration » des fumeurs qui me voyaient arrêter facilement. Cependant, à la première contrariété j’ai repris parce que moi je ne voulais pas arrêter de fumer.
Je me suis rendue compte de ça il n’y a pas si longtemps, j’ai fait beaucoup de choses pour les autres et pour prouver des choses aux autres. (Autre exemple : le minimalisme, j’ai été à fond dedans pendant six mois et un jour je me suis rendue compte que j’etais malheureuse comme les pierres sans mes séances de shopping)
Alors du coup, j’ai décidé de reprendre les choses point par point et me demander ce que moi j’aime et ce que je veux faire. C’est difficile quand tu t’es oubliée pendant x années à trop regarder comment les autres vivent mais finalement j’arrive enfin à reprendre le contrôle petit à petit sur ma vie. Et à faire des choses que je veux vraiment faire.
La première chose que j’ai fait a été d’arreter de parler aux autres de ce que je faisais/allais faire. J’ai repris la course mais c’est entre moi et moi alors qu’avant je postais sur Instagram chaque sortie, j’en parlais à mes potes, à ma famille, presque à des inconnus dans la rue. Maintenant ce que je fais, je le fais pour moi et uniquement pour moi. Et j’y prends beaucoup plus de plaisir parce que j’attends pas la validation d’autrui sur mon activité.
Ça implique de tester des trucs (je fais 10min de yoga très facile tous les matins, mais je pense qu’en je n’irais jamais faire une retraite de deux semaines alors que les gens ont l’air tous heureux et épanouis après avoir fait ce genre de truc) et parfois de se planter, mais c’est pas grave, il faut être indulgent envers soi même ! Bon courage en tous cas, je crois savoir que c’est une situation inconfortable et que c’est difficile d’en sortir...