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). Je te comprends un petit peu. Une des choses qui m'agacent, c'est l'impression de toujours mal faire avec mon vélo. (Mon copain adore les vélos) : genre la peinture va se rayer, ou il faut faire comme ça;.. Ce n'est pas méchant, mais j'estime que j'y fais suffisamment attention. Pareil, il va avoir tendance à vouloir me convaincre d'un truc. Sauf que je ne partage pas toujours son avis
. Et ce n'est pas méchant encore, il ne "s'impose" pas. Mais il a une manière de prouver par a+b.
). Et je ne sais pas si je suis trop "susceptible" de le prendre ainsi, ou si j'ai le droit de le dire. Je me connais un peu mieux maintenant, et je sais que j'ai le droit de ressentir des choses, mais j'estime qu'elles ne sont pas toujours à exprimer, car je m'interroge justement sur leur rationnalité. (Je sais pas si je suis claire
) : En gros, n'est-ce pas mes failles et mes doutes qui me font ressentir ça ?
C'est exactement ça. Je suis beaucoup dans l'introspection, j'estime que si quelqu'un m'agace, c'est que ça vient toucher un truc en moi et que techniquement ça n'a pas vraiment à voir avec l'autre personne. En l'occurrence, je manque beaucoup de confiance en moi en ce moment, et j'ai même parfois l'impression que remettre en cause ce que lui il me dit, ça revient à remettre en cause la confiance que j'ai en lui..En gros, n'est-ce pas mes failles et mes doutes qui me font ressentir ça ?
en fait je me demande si j'ai pas un peu trop tendance aussi à idéaliser l'autre, à me dire que "il a tout compris il est trop fort", et quand les avis divergent, ça me ramène un peu à ma propre naïveté, au fait que je peux facilement croire quelqu'un que j'admire alors qu'en vrai si ça se trouve il dit complètement de la merde (#MonEx).
). J'ai ressenti cet état d'esprit ces derniers jours, je pense que ça joue aussi, car du coup j'ai pas spécialement envie d'intrusion dans ma sphère personnelle et tenter de me convaincre sur un truc qui, dans le fond, ne m'intéresse pas vraiment... bah non quoi 
) ça m'a beaucoup rassérénée en fait. Maintenant quand je me sens dans une phase hyper énergique et sociable, j'en profite pour faire un max de choses. Quand je suis dans une phase plus "fatiguée", j'accepte tout simplement ce passage (bon aussi je ne travaille pas donc ça me permet d'être peut-être plus facilement à l'écoute de tout ça), je sais que ça va passer, que ça dépend pas complètement de moi. 
) alors qu'il a aussi besoin de solitude, même si on se voit 3 jours par mois, ça n'empêche pas qu'au bout de quelques heures on a besoin l'un et l'autre d'un petit peu de "calme intérieur" et de silence.