Grâce à vos messages, j'ai trouvé le courage d'avoir une explication claire avec lui aujourd'hui.
Déjà, il a fait l'effort de m'appeler, il y a du progrès. J'ai pu formuler tout ce que j'avais sur le coeur (à vrai dire, ça allait partir par messages juste au moment où il m'a appelée, son appel est tombé pile au bon moment
).
Je ne vais pas recopier tout ce qui s'est dit, mais l'idée c'est que je lui laisse quelques mois pour me prouver qu'il est ok pour passer la seconde et m'intégrer vraiment à sa vie. Jusque là il me demandait toujours d'attendre ("promis, dans 6 mois", "promis, dans un an"), là c'est moi qui fixe la limite.
Et que si jamais j'étais toujours aussi frustrée par la situation dans 6 mois, eh bien je suis encore jeune, j'irai faire ma vie ailleurs tout simplement. J'ai aussi pris le parti, pour lui faire prendre du recul, de comparer ma situation avec celle qu'une de ses amies aurait pu vivre : effectivement, il reconnaît que ce n'est pas normal.
Il va falloir qu'il se bouge le cul dans son petit confort, car je ne vais pas continuer à sacrifier le mien plus longtemps. Donc soit on se lance (et tant pis si on se casse la gueule : au moins, on aura vécu), soit on arrête là. Je lui ai aussi rappelé mon mode de fonctionnement et mes besoins (pour la 350ème fois), et donné des pistes sérieuses pour l'aider (notamment pour me présenter ses enfants : il a des amis qui sont déjà passés par là et sont de très bon conseil !). En précisant bien que c'était la dernière fois. Franchement je déteste son côté mou du genou "oui oui je vais le faire" et qui ne fait rien ensuite, zut à son âge c'est vraiment dérangeant tant d'indolence !
A partir de là, je considère que j'ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour arranger les choses. S'il ne prend aucune initiative en ce sens dans les prochains mois, c'est qu'il n'a pas de réelle envie de s'engager auprès de moi. Merci encore à toutes pour vos messages, vos mots très justes, qui m'ont aidée à faire du tri dans mes idées et m'affirmer ce soir
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Déjà, il a fait l'effort de m'appeler, il y a du progrès. J'ai pu formuler tout ce que j'avais sur le coeur (à vrai dire, ça allait partir par messages juste au moment où il m'a appelée, son appel est tombé pile au bon moment
).Je ne vais pas recopier tout ce qui s'est dit, mais l'idée c'est que je lui laisse quelques mois pour me prouver qu'il est ok pour passer la seconde et m'intégrer vraiment à sa vie. Jusque là il me demandait toujours d'attendre ("promis, dans 6 mois", "promis, dans un an"), là c'est moi qui fixe la limite.
Et que si jamais j'étais toujours aussi frustrée par la situation dans 6 mois, eh bien je suis encore jeune, j'irai faire ma vie ailleurs tout simplement. J'ai aussi pris le parti, pour lui faire prendre du recul, de comparer ma situation avec celle qu'une de ses amies aurait pu vivre : effectivement, il reconnaît que ce n'est pas normal.
Il va falloir qu'il se bouge le cul dans son petit confort, car je ne vais pas continuer à sacrifier le mien plus longtemps. Donc soit on se lance (et tant pis si on se casse la gueule : au moins, on aura vécu), soit on arrête là. Je lui ai aussi rappelé mon mode de fonctionnement et mes besoins (pour la 350ème fois), et donné des pistes sérieuses pour l'aider (notamment pour me présenter ses enfants : il a des amis qui sont déjà passés par là et sont de très bon conseil !). En précisant bien que c'était la dernière fois. Franchement je déteste son côté mou du genou "oui oui je vais le faire" et qui ne fait rien ensuite, zut à son âge c'est vraiment dérangeant tant d'indolence !
A partir de là, je considère que j'ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour arranger les choses. S'il ne prend aucune initiative en ce sens dans les prochains mois, c'est qu'il n'a pas de réelle envie de s'engager auprès de moi. Merci encore à toutes pour vos messages, vos mots très justes, qui m'ont aidée à faire du tri dans mes idées et m'affirmer ce soir
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mais en tout cas, si la volonté et les sentiments sont partagés des deux côtés, je pense que ça peut aller vite sans que ce soit de la précipitation. Et à l'inverse il y a des couples qui ne se reconnaissent pas du tout dans ce fonctionnement et idem, si ça leur convient à tous les deux c'est très bien comme ça ! Je pense que le souci vient plutôt lorsqu'il y a déséquilibre des volontés dans ce domaine, si l'un se projette beaucoup et l'autre pas du tout par exemple. A ce propos Endless je ne te poke pas parce que les autres ont déjà dit des choses très pertinentes mais je te souhaite du courage dans ta réflexion ! A mon sens tu n'as pas à passer au second plan dans une relation, même quand l'autre personne a déjà eu une vie remplie avant. Je comprends qu'on ne veuille pas présenter ses enfants à n'importe qui mais justement, tu n'es pas n'importe qui et à ce stade ce n'est plus le comportement de quelqu'un qui veut protéger sa famille mais plutôt celui de quelqu'un qui ne veut pas s'engager à mon humble avis. Tout mon soutien !