Sans défendre Antoine Frérot, j'ai un peu l'impression qu'il s'est emmêlé les pinceaux en parlant de "brillants à l'école", j'ai un peu compris ça comme une référence aux CAP, BAC pro et pas à l'apprentissage post bac.
Le problème c'est qu'à part de rares cas, j'en connais une notamment que j'ai poussé à faire un cap alors qu'elle avait de bonnes notes au collège car elle était passionnée par la patisserie et le bac général ne lui aurait servi à rien. Mais à part ces cas là, la plupart des élèves à 14 ans n'ont absolument aucune idée de ce qu'ils veulent faire, donc si ils sont bons à l'école effectivement la question ne se pose pas vraiment, il vaut mieux continuer vers un bac général (surtout S qui permet malheureusement d'ouvrir toutes les portes sans que ce soit réellement justifié) quitte à changer juste après pour un métier manuel. Disons que c'est plus facile dans un sens que dans l'autre.
Je prends mon exemple, j'aimais aussi beaucoup la patisserie, j'étais très bonne à l'école et je suis partie vers la voie générale pas par mépris des voies pro loin de là mais parce que n'étant pas du tout sûr de ce que je voulais faire plus tard ça permettait de repousser le choix à plus tard.
Pour une touche de positif je pense que les gens se rendent compte réellement de l'avantage de l'apprentissage, beaucoup de voies le rendent obligatoire : BTS, DUT. Et les formations dites "élitistes" le proposent de plus en plus à leurs élèves, je pense notamment aux écoles de commerce donc on ne peut plus dire que l'élite réserve l'apprentissage aux classes populaires et non à leurs enfants je pense. Surtout dans le contexte actuel ou ce qui fait le plus défaut aux étudiants ce n'est pas leur formation mais le manque d'expérience professionnelle, c'est aussi l'une des raisons pour lesquelles les élèves d'école de co s'insèrent mieux sur le marché que les élèves provenant de facs.
Le problème c'est qu'à part de rares cas, j'en connais une notamment que j'ai poussé à faire un cap alors qu'elle avait de bonnes notes au collège car elle était passionnée par la patisserie et le bac général ne lui aurait servi à rien. Mais à part ces cas là, la plupart des élèves à 14 ans n'ont absolument aucune idée de ce qu'ils veulent faire, donc si ils sont bons à l'école effectivement la question ne se pose pas vraiment, il vaut mieux continuer vers un bac général (surtout S qui permet malheureusement d'ouvrir toutes les portes sans que ce soit réellement justifié) quitte à changer juste après pour un métier manuel. Disons que c'est plus facile dans un sens que dans l'autre.
Je prends mon exemple, j'aimais aussi beaucoup la patisserie, j'étais très bonne à l'école et je suis partie vers la voie générale pas par mépris des voies pro loin de là mais parce que n'étant pas du tout sûr de ce que je voulais faire plus tard ça permettait de repousser le choix à plus tard.
Pour une touche de positif je pense que les gens se rendent compte réellement de l'avantage de l'apprentissage, beaucoup de voies le rendent obligatoire : BTS, DUT. Et les formations dites "élitistes" le proposent de plus en plus à leurs élèves, je pense notamment aux écoles de commerce donc on ne peut plus dire que l'élite réserve l'apprentissage aux classes populaires et non à leurs enfants je pense. Surtout dans le contexte actuel ou ce qui fait le plus défaut aux étudiants ce n'est pas leur formation mais le manque d'expérience professionnelle, c'est aussi l'une des raisons pour lesquelles les élèves d'école de co s'insèrent mieux sur le marché que les élèves provenant de facs.